Thermidor... La croisée des chemins.

Un nouveau SV qui portera sur Thermidor !

Nous sommes le 27 juillets 1794. Deux heure de l'après midi. Le gouvernement révolutionnaire vacille sur ses bases. Une bande de criminels et de corrompus a réussi à manipuler les députés modérés de la plaine, qui constituent la majorité de la Convention Nationale, et ont fait décréter Robespierre, son frère et trois de ses partisans d'accusation puis d'arrestation. Peu avant, l'incorruptible a tenté de se défendre face à la meute ultra-terroriste, en tentant de rallier à lui les députés de la droite, en vain. Cet évènement fait suite à l'attaque de front de Robespierre contre ses ennemis, impliqués dans les pires dérives de la Terreur, le jour précédent. Ceux-ci, craignant pour leur vie ou leur fortune amassé illégalement, se sont concerté la nuit pour neutraliser les robespierristes lors de la séance suivante, le lendemain. Le jour J, Robespierre et ses amis, inconscient du danger, pénètre dans la gueule du loup sous les applaudissements du public. A midi, l'un d'eux, Saint-Just, monte à la tribune et commence son discours, avec l'intention d'appeler à l'union du gouvernement et à la recherche du pardon. Malheureusement, dès les première phrase prononcé, la meute lui coupe la parole, s'empare de la tribune, avec la complicité du président de séance et écrase Robespierre sous une montagne de calomnie et de contre-vérité. Craignant qu'il contre-attaque avec la force de ses arguments, les conjurés l'empêche de se faire entendre en assourdissant ses cris en lui hurlant à plusieurs reprises les mots "A bas le tyran" à la figure. Deux heure plus tard, Robespierre écrasé est emmené par les gendarmes, dans les locaux du comité de sûreté général, la police politique. Une heure passe et le conseil générale de la Commune de Paris se réunit enfin et apprends via le Maire Fleuriot Lescot, la terrible nouvelle (la commune étant robespierriste). Elle se proclame aussitôt, à l'unanimité, en insurrection dans l'intention de faire délivrer les conventionnels capturés et instituer un gouvernement provisoire.

Il existe deux factions.

- La Commune de Paris, pro Robespierre. Son objectif est de prendre le contrôle de Paris et de la Convention. Un peu plus de la moitié des sections (quartier) la soutient. Peut compter sur la garde nationale et surtout ses canonniers, le club des jacobins et plusieurs milliers de sans-culottes.

- La Convention National, le CSP (gouvernement) et le CSG (police politique) : anti Robespierre. Leur but est de réprimer la révolte parisienne et de mener les robespierristes à la guillotine. Ont avec eux les troupes des quartiers bourgeois, long à mobiliser.

Même principe que le SV de Thorn, sauf que je ne vous donne aucun choix ! C'est à vous de décider (un seul choix possible par camp et par tour).

Commune de Paris.
?


Convention nationale et comités
?


De la démocratie sociale mais autoritaire ou de la république libérale, mais corrompu, qui vaincra ?

N'hésitez pas si vous avez des questions.

La Commune de Paris attaque les chiens fascistes libéraux pour libérer Robespierre à la force de la baïonnette, comme en 89 !

La convention nationale commence la mobilisation des troupes bourgeoises et protège l’extraction de Robespierre et de ses amis vers les extérieurs de Paris.

- Surpris et affolé par la rapide mobilisation de la Commune, le comité de salut public décida d'extraire les prisonniers de la Capitale. C'est seulement escortés de quelques gendarmes et agents des comités que Robespierre et ses amis se dirigèrent vers les portes de la ville, que la Commune négligea imprudemment de fermer. Croisant sur leur chemin des insurgés, ils furent délivrer de force, malgré une résistance acharné des soldats, qui préférèrent ensuite s'enfuir en province, plutôt que d'avouer la perte des proscrits. Ceux-ci furent porté en triomphe jusqu'à l’hôtel de ville, siège de la Commune.

Celle-ci ne ménageait pas ses efforts. Réunissant quelques bataillions de la garde nationale envoyé par seize sections, elle les lançait à l'assaut de la Convention. Sous les ordres du général Hanriot et du vice-président du Tribunal révolutionnaire, Coffinhal, les soldats communaux investirent l’hôtel de Brionne et le pavillon de Flore, ce qui provoqua la fuite des commissaires du gouvernement et de la police, qui allèrent se réfugier dans d'autres parties du château des tuileries. Pourtant, les rebelles hésitèrent à envahir la salle des séances, arrêté par la crainte d'une telle action et le respect, sûrement inconscient de la Convention Nationale. Les chefs eux-même consultèrent du regard leur troupes et se concertèrent rapidement. Finalement, ils évacuèrent le palais et se contentèrent de l'encercler en pointant sur lui une trentaine de canon.

Les députés soufflèrent de soulagement et se remirent en travaux. Ils comptaient sur le renfort des troupes bourgeoises pour rompre le siège et l'humiliation.

Il est six heure.

Pour ce cycle, je vous propose des pistes.

Commune
Ses forces encercle le palais des tuileries, où siège la Convention et occupe l'hôtel de Brionne (police politique) et le pavillon de Flore (gouvernement). L’hôtel de ville est sans protection. Robespierre et Cie ont été délivrés.

- Massé plusieurs compagnie pour défendre l'Hotel de ville contre une attaque, avec pour conséquence d'affaiblir le siège.

- Autre (préciser).


Convention et comités
La mobilisation des troupes bourgeoises continue lentement de se faire. Les députés subissent un siège, sous la menace de l'artillerie.

- Décréter hors la loi les insurgés (qui seront ainsi guillotinés sans jugement). Bon moyen pour inciter à la désertion des soldats ennemis.

- Autre (préciser).

Comune: autre
signer une alliance avec une puissance étrangère pour éliminer totalement la convention.

COMMUNE !

commune aussi !

Convention victorieuse !

Convention je prends ! A mort la racaille !