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 [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !

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Endwars

Endwars


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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeMer 21 Avr - 11:33

Le mot raisonna dans toutes les agences de presses : London Bridge is Down... We repeat London Bridge is Down

Le sang des rédacteurs s’arrêta de circuler pendant quelques instant... Trop de nouvelles s'accumulaient et tout d'une gravité sans nom...

Boris, stoppe la rotative IMMEDIATEMENT. Philipp, ou est-il !!! Tu pars pour rejoindre le premier vol pour Calcutta... Elle est là-bas pour le moment, il est stationné dans la 8th Fleet. Marcus, tu pars pour le palais et tout de suite... Les ordres fusaient ainsi dans toutes les agences de presses britanniques, la situation était... complexe.


Les drapeaux sont de sortie...:


L'état de guerre non déclaré avait tournée à la guerre après que l'Empereur de tout l'Amérique se soit déclaré maitre d'un continent alors qu'il n'avait formé qu'une alliance militaire. Une insulte de plus aux gouvernements du monde mais l'on pouvait pardonner à certain de céder face à la peur devant pareil folie...


On ne pouvait pardonner la mise à mort d'innocent et du personnel diplomatique européens. Le dernier qui avait commis pareille infamie en avait subi les conséquences... Lourde conséquences qui avaient provoquer le début des troubles qui allaient provoquer la chute d'un Empire dans le futur. Les images avaient circulé sur bon nombre de moniteurs britanniques... La police avait du intervenir pour nombreux cas d'actes de violences envers des platéens présent sur le territoire britannique. 4 morts et 521 blessées avaient été recensé. La folie d'un homme avait provoqué la colère et la haine de millions d'autres. L'armée avait très vite pris le relais et quelques milliers d'individus furent embarquer et stationné dans des camps de prisonniers.

Mais maintenant... ça... le rédacteur posa sa cigarette dans le cendrier et regarda le plafond...
Le monde devient fou, que Dieu protège l'Angleterre et l'Empire

Calcutta, Raj britannique

Reculant de trois pas derrière la jeune femme, le Commodore mit un genou à terre.

Ma Reine, vous êtes désormais ma souveraine, je serai votre plus fidèle serviteur et l'épée qui portera votre vengeance

Relevez-vous donc mon cher, vous commencerez par venger les notre en détruisant le fou qui a cru faire massacrer sans une once d'humanité des enfants et des diplomates. Nos frères australiens nous ont rejoins en respectant notre alliance, nos cousins allemands et hollandais se joindront aux forces de la civilisation pour écraser les démons qui veulent plonger l'humanité dans la peur et la souffrance
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Firias

Firias


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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeSam 24 Avr - 17:05

(Bonjour, je suis tombé sur votre forum par hasard. Je prendrais le Khaganat du Turkestan, merci.)
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Silvio007

Silvio007


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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeSam 24 Avr - 23:46

L'Italie signe la paix avec la Perse et remercie l'Empire Ottoman de sa médiation
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labtecldlc

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeVen 30 Avr - 13:36

Tour 4 - 2e semestre 1952

Cartes:

Théâtre américain : La croisade anti-platensés tourne au carnage


Après une rapide réunion du Conseil des Nations qui n'était qu'une façade pour essayer de justifier leur invasion - ce qui déplut à un certain nombre de membre au passage - le Royaume-Uni (Endwars), les Pays-Bas (Berlioz), l'Allemagne (Tonkar), l'Australie Nouvelle-Zélande (Ilthanir) et le Japon (Maraud) se lancèrent dans la planification de leur invasion libération du continent sud-américain. Il fut décidé que les britanniques et les allemands débarqueraient sur les côtes brésiliennes, que les néerlandais débarqueraient au Venezuela - ils connaissaient les lieux après tout - et que les japonais et les australiens débarqueraient au Chili. De cette manière, l'Union Sacrée des Peuples Sud-Américains (Kevin.A et PNJs) serait encerclé et attaqué de toute part. Au total du côté des coalisés se trouvaient 4 flottes et 240 000 britanniques, 2 flottes et 120 000 allemands, 2 flottes et 60 000 néerlandais, 1 flotte et 60 000 australiens et enfin 3 flottes et 240 000 japonais (dont 60 000 soldats divers provenant de la Force d'Intervention Internationale de la Sphère de Co-prospérité Asiatique) amenant à un total de 12 flottes et 720 000 soldats. En face, l'Union Sacrée des Peuples Sud-Américains alignait 4 flottes de divers horizons et 780 000 soldats (dont 420 000 plantensés), affichant donc une légère supériorité numérique. En effet, l'empereur Juan Péron savait bien qu'il n'obtiendrait jamais la supériorité sur les mers mais que sur terre il pouvait l'emporter, d'autant plus qu'il était sur SON continent.

Après plusieurs semaines de voyage, ce qui était désormais la plus grande opération aéronavale de l'histoire de l'humanité arriva finalement en vue des côtes américaines au matin du 24 août. Sous leurs yeux, un spectacle macabre s'étendait à perte de vue : alignés sur des centaines, des milliers de kilomètres se trouvaient des corps empalés pour la plupart encore en vie. Hommes, femmes, vieillards, enfants parfois même étaient accrochés à des poteaux sur la plage. Partout sur la plage des débris métalliques étaient visibles pour gêner l'avancée des envahisseurs et de leurs véhicules. Cependant, aucun signe de l'armée ennemie n'étais visible. Après plusieurs minutes de silence, les différentes amirautés donnèrent le signale du lancement de l'opération nommé poétiquement par les japonais "Petite Feuille de Lotus qui repose sur un délicat fumet de cochons" - abrégé par les allemands et les australien en "Expédition punitive péronèse" - et les flottes se séparèrent dans leur théâtre de guerre respectif. Sur les côtes nord et sud du Brésil les soldats britanniques et allemands débarquèrent sans soucis majeur en dehors de l'aviation platensés qui bombardait leurs barges de débarquement mais qui fut rapidement mis en fuite par la Royal Air Force et les DCA britanniques. A peine à terre, les soldats furent assaillis non pas par les balles... mais par des centaines milliers, voir des millions de réfugiés brésiliens qui se massaient sur les plages ! En effet, plutôt que de risquer son armée, Juan Péron avait préféré lâcher sur ses ennemis les millions de prisonniers et d'esclaves affamés que comptait son empire sur les côtes ! Les britanniques reçurent l'ordre de se porter au secours de ces pauvres diables, quitte à retarder ou annuler totalement les opérations militaires. Du côté allemand, les ordres étaient plus Welktpolitk : les réfugiés furent incités très fortement à se rendre au nord auprès des anglais si ils voulaient de l'aide humanitaire, l'armée allemande n'ayant pas le temps pour ça. Les réfugiés rapportèrent que le Brésil avait été lourdement et intentionnellement pollué par la Plata à l'aide d'armes chimiques et de poison afin de rendre les terres et l'eau impropres à l'agriculture et à la consommation. Des maladies comme le typhus et le choléra faisaient des milliers de victimes et les services de santé britanniques furent rapidement débordés par l'afflux de malades. Après de coûteuses et longues opérations de déminage, les britanniques réussirent à sécuriser une large bande de terre le long de la côte nord du Brésil et entreprirent de remettre en place un gouvernement brésilien légitime sous leur supervision. Les allemands se contentèrent d'établir une zone d'occupation militaire afin de se concentrer exclusivement sur l'opération en cours. Justement, après quelques semaines de préparation et d'installation les troupes allemandes se lancèrent dans la conquête du sud du Brésil avec pour but de pénétrer en territoire argentin. Les combats s'engagèrent à grande échelle contre les forces platensés. Sentant que la résistance serait féroce en face, l'état-major allemand ne réfléchis pas longtemps : chargeant leurs bombardiers, les pilotes de la Luftwaffe déversèrent sur les lignes de défense ennemies plusieurs tonnes de gaz et de liquide hautement toxique. Bien qu'équipés en conséquences, les forces platensés subirent de plein fouet cette attaque brutale et accusèrent de nombreuses pertes. Craignant que cette désorganisation soudaine permette aux allemands de percer le front, ils réagirent promptement en renvoyant aux allemands la monnaie de leur pièce : dispensant les derniers sacrements à leurs pilotes, l'état-major de la Plata ordonna à ses pilotes de se crasher sur les lignes allemandes en pleine avancée, leurs cuves à carburant remplies de gaz et de produits chimiques toxiques. Bien que moins important que l'attaque allemande, l'assaut chimique platensés porta un lourd coup de gourdin à l'armée allemande qui fut stoppée dans son assaut par la violence du choc. Le front se stabilisa ensuite progressivement sur un territoire hautement pollué qui tuait bien plus de soldats que les balles et les obus.

Loin de là, l'armée néerlandaises se préparaient à lancer l'invasion du Venezuela. Alors que les barges de débarquement étaient en chemin, l'amirauté des Pays-Bas reçu une transmission en provenance de Caracas :

Ici le colonel James May de l'armée impériale américaine (Lune) : faites demi-tour, le Conseil Impérial du Venezuela PNJ) est désormais sous la protection de sa Majesté l'Empereur de toute l'Amérique. Nous avons reçu l'ordre de ne pas ouvrir le feu sur vos navires car vous avez cédé à nos exigences pétrolières, mais sachez que je n'hésiterais pas à réduire en cendre vos pathétiques soldats si vous approchez.

Après une courte période d'hésitation, les néerlandais passèrent le bonjour aux américains et rembarquèrent sur leurs navires. Ils firent ensuite voile faire le Guaracha (PNJ) afin de superviser l'exposition d'art latino-africain mise en place par le roi des Pays-Bas au même moment. Le Venezuela n'était plus une menace pour la coalition, ils avaient donc accompli leur objectif. En effet quelques semaines plus tôt l'Empire d'Amérique du Nord avait envoyé un important contingent militaire afin de prendre le contrôle du Venezuela. Après plusieurs jours d'intenses affrontement, la menace d'une utilisation d'armes chimiques de destruction massives avait fait plier le gouvernement vénézuélien qui avait choisi la voix de la collaboration avec l'Empire. Les américains avaient ensuite lâché en Amazonie des milliers de volontaires natifs américains qui devinrent dans les jours suivant une véritable plaie pour les démineurs britanniques qui devaient subir un harcèlement constant. Comme le disaient les soldats anglais, "quand les buissons commencent à parler navajo, c'est là qu'il faut commencer à se faire du soucis".

Sur le front chilien enfin, rien ne va plus. Malgré un débarquement en force des troupes australo-japonaises, les armées de l'Union furent trop puissantes pour les forces coalisés qui ne purent sécuriser qu'une tête de pont sur le continent. En manque cruel de ravitaillement et harcelés quotidiennement, le contingent risque de devoir rembarquer rapidement si aucune aide ne leur parvient de la part de leurs alliés. De son côté, Juan Péron jubile : malgré la perte d'une grande partie du Brésil et le bombardement constant de ses villes côtières par les marines coalisés, il a tenu et a même triomphé à plusieurs endroits ! Les frappes chimiques de ses ennemis ont, à défaut d'améliorer son image de monstre sanguinaire, terni celle de ses ennemis. Ses soldats sont fanatisés et la population soutiendra l'effort de guerre jusqu'à la mort contre les envahisseurs d'outre-mer. Seul point noir à son tableau, la contamination de l'environnement à cause des armes chimiques va peser lourd dans le budget du pays mais qu'importe : le peuple souffrira car la victoire n'a pas de prix !

Bilan des pertes :



260 000 victimes du côté de l'USPSA / 230 000 victimes du côté de la coalition.

Théâtre moyen oriental : La paix revenue


Grâce aux accords de paix signées entre l'Italie (Silvio), le Yémén (PNJ) et la Perse (Beregil), le calme revint au moyen orient. Le Shah de Perse dépensa une part importante de son PIB pour stabiliser son territoire et développer l'administration afin de pouvoir intégrer le plus rapidement possible ses nouveaux sujets. Bien que la situation soit pour le moment sous contrôle le royaume est désormais une véritable mosaïque culturelle et surtout religieuse, ce qui pourrait s’avérer être une poudrière dans le futur.

Théâtre sibérien : Boris le Pacifique


Pour la première fois en deux ans, le tsar Boris Ier (PNJ) n'attaqua personne. Au contraire, il annonça fièrement que son pays allait prochainement intégrer la Sphère de Co-prospérité asiatique ! Il parla également de "démocratiser l'état parce que c'est bien" et de "monarchie parlementaire". Et en effet, ses sujets eurent désormais le droit de voter pour élire des membres au parlement avec pour but de gouverner le pays. Le tsar fut donc élu à l'immense majorité de 99,9% aux 120 sièges du parlement. Il s'accorda également tous les ministères, ainsi que les postes de chef des armées. Comme l'aurait dit le Tsar : "J'aime la démocratie !".

Théâtre asiatique : l'empire contre-attaque


Alors qu'une trêve avait été conclu entre tous les partis de Chine, l'empereur Qing (Aethwulf) ne comptait pas pour autant arrêter de guerroyer. Rassemblant son armée, il traversa avec l'accord du gouvernement local la République Populaire de Chine (PNJ) afin d'envahir... les Comptoirs Ottomans (PNJ) ! 360 000 soldats chinois se ruèrent sur les maigres milices ottomanes présentes qui ne résistèrent pas plus de quelques jours avant de se rendre face à cet ennemi implacable. Au passage, l'empereur brisa son pacte avec la République Populaire de Chine et investi la capitale avec son armée. Ce coup de poker fonctionna et le pays tomba entre les mains des Qing presque sans combattre, le gouvernement étant au main de l'armée impériale. Faisant d'une pierre deux coups, les Qing avait réussi à mettre la main sur deux riches territoires ! L'empereur annonça la fondation de l'Union des Républiques Chinoises, une entité politique fédérale composée de la République du Chengdu, de la République de Nanchang (ancienne RPC) et de la République de Beijing (territoire de base de l'empire). Ces républiques furent d'office placées sous l'autorité suprême de l'empereur évidemment. Bien qu'un peu avant-gardiste, ce montage politique fut plutôt efficace et accordait une certaine autonomie aux républiques ainsi qu'aux populations qui les composaient. Quand on apprit au Sultan ottoman la nouvelle, il manqua de s'étouffer avec un loukoum. L'empereur eut donc l'audace d'envahir SES colonies chinoises ? Il allait montrer à cet avorton ce qu'il en coûte de s'attaquer au plus puissant empire du monde.

Autres informations


L'exposition d'art latino-africain organisé par le roi des Pays-Bas au Guaracha fut un grand succès ! Toutes les nations d'Amérique Centrale voient désormais d'un bon œil les néerlandais !

Le Pays-Bas appliqua désormais une politique économique assez novatrice : les taxes aux entreprises furent totalement supprimées, et les contrôles des marchandises fortement allégés. Bien que les entreprises affluent pour mettre leur siège sociale à Amsterdam, les économistes commencent à se dire que vu que l'état ne touche rien sur ce qu'elles gagnent, le pays risque d'avoir quelques problème dans les années à venir...

Le royaume d'Australie Nouvelle-Zélande tomba définitivement entre les mains du parti d'extrême-droite du National Australian Party. Alors que le roi comptait sur leur arrivée au pouvoir pour obtenir un soutien à ses projets militaires et sécuritaire, il s'avéra que le nouveau gouvernement accordait de plus en plus de crédit aux thèses abolitionniste anti-monarchie en vogue... Des troubles furent également notés en Nouvelle-Zélande, province férocement ancrée contre le NAP et profondément monarchiste.

AMNESTY accueilli officiellement en son sein les nations sibériennes de l'ouest, qui furent plus que ravies d'être soutenu alors que leur ennemi de Vorkuta obtenait le soutien des asiatiques dans sa lutte pour la domination russe.

Partout dans les colonies à travers le monde, un vent de séparatisme souffle : les peuples aspirent de plus en plus disposer d'eux-mêmes, et les récentes augmentations des taxes pour financer la guerre ne sont pas du goût de tout le monde...
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Aethwulf

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeVen 30 Avr - 22:04

L'union des républiques chinoises, annonce a lempire ottoman que ses frontières ne seront en aucun cas menacées et nous renouvelons nos vœux d'amitié au sultan. 

Nous annonçons aux différentes cliques chinoises que si elles le souhaites, elles peuvent intégrer l'union.

Qui plus est nous n'avons aucunement attaqué la république populaire de Chine  mais son gouvernement a fait appel à nos services afin de se mettre sous notre aile. C'est pourquoi nous avons créé l'union des républiques chinoises afin de se protéger mutuellement. 

Que la paix et prospérité règnent
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Maraud

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeDim 2 Mai - 11:17

Le Japon se félicite que la paix soit revenu sur le continent asiatique et félicite le Tsar Boris pour ses mesures de démocratisation du pays.
Nous critiquons fortement l'Empire de la Plata qui sacrifie sa populations sur l'autel de la folie de son empereur.
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Aethwulf

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeLun 3 Mai - 17:33

La Chine souhaite que la CDN se réunisse et trouve une alternative à la guerre qui se déroule actuellement en Amérique du Sud. Cette guerre fait et va faire énormément de victimes. Lempreur Juan sacrifiera tout le continent pour se battre jusqu'au bout et cela ne fera qu'aggraver la misère qui règne actuellement là bas.


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Kevin.A




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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeLun 3 Mai - 18:23

Unions sacré des peuples Sud américains

L'Empereur si dit prêt à discuter les conditions de la retraite des troupes occidentales en échange de compromis discutable.
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kevin13
La victoire jusqu'à Jérusalem !
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kevin13


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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeLun 3 Mai - 21:05

Le Kaiser se dit prêt à accepter une reddition de l'empereur de la Plata dans les jours à venir sans quoi nous n'hésiterons pas à faire usage d'armes chimiques de destruction massive. Si la folie platéenne a besoin de cela pour cesser, nous en ferons l'usage sans hésitation.
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Kevin.A




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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeVen 7 Mai - 17:52

Quelles sont les proposition du Kaiser ?
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Berlioz

Berlioz


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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeSam 8 Mai - 11:13

Les propositions du Kaiser "unconditionnal surrender" Wilhelm sont prévisibles assez claires quant à leurs demandes et soutenues par l'ensemble des nations participant à la force d'intervention en Amérique du Sud.
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Berlioz

Berlioz


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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeVen 21 Mai - 15:33

Nous annonçons officiellement une alliance avec les pays d'Amérique Centrale que sont la République Populaire du Mexique, le Royaume Maya renaissant, l'Union d'Amérique Centrale, la République Populaire du Guaracha ainsi que la République de Cuba. Que la paix et la prospérité règnent sur ces nations.
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labtecldlc

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeJeu 3 Juin - 14:57

Tour 5 - 1er semestre 1954

Musique :


Cartes:

Théâtre américain : la fin de l'Humanité


N'ayant pas accepté la reddition sans condition que lui demandait les coalisés, Jean Péron Ier (Kevin.a) mobilisa au maximum ce qu'il pouvait de sa population fanatisée : de 8 à 16 ans, les filles et les garçons en état de porter une arme furent incorporés au sein des Jeunesse de Péron et assignés à la défense de leurs quartiers. 70% des adultes devaient se battre sous les drapeaux platensés pendant que les 30% restants travaillaient dans les usines de l'Empire. "Au diable l'économie si nous devons mourir pour notre liberté !" aurait dit Juan Péron à son ministre des finances et de l'industrie qui s'inquiétait des conséquences d'une telle mobilisation. L'armée platensés était désormais bien plus nombreuse que celle des envahisseurs, malgré un équipement disparate et un entraînement tout relatif. Souhaitant reprendre l'initiative, une grande offensive fut planifiée contre les positions australo-japonaises au Chili afin de les renvoyer par la mer. Près d'1 million de soldats se mirent en branle afin d'accomplir ce plan. Ils furent loin de se douter de ce qui les attendait...

14 février 1954, 10h26, Montevideo - tente de commandement du Feldmarshall von Manstein

Les ordres du Kaiser (Tonkar) en personne venaient de tomber. Le Feldmarshall attrapa fébrilement le verre d'eau à sa droite avant de le vider d'une traite. De grosses gouttes de sueur perlaient sur son front.
"C'est ainsi que nous terminerons cette boucherie alors. Die Würfel sind gefallen..."
Sortant de sa tente, le Feldmarshall donna l'ordre aux avions sur le tarmac du camp de décoller. Une trentaine de bombardiers lourds démarrèrent dans un vacarme infernal en direction de l'ouest, transportant chacun un couple de grosses bonbonnes sous leur carlingue.

14 février 1954, 10h38, Buenos Aires

Assis à son bureau, Juan Péron Ier fut dérangé par un vrombissement venu de l'est. Habitué aux bombardements des coalisés, il ne réagit pas au début. Étonné de ne pas entendre les habituelles détonations, il finit par sortir sur son balcon. Levant la tête, il aperçu les bombardiers allemands qui survolaient sa capitale, laissant dans leur sillage une grande et opaque traînée verte. Réfléchissant quelques secondes, l'empereur de la Plata réalisa soudain ce qu'il se passait sous ses yeux. "Su puta madre de Kaiser" furent les seuls mots qu'il pu prononcer avant de commencer à ressentir une gêne respiratoire de plus en plus douloureuse. S'écroulant au sol, Juan Péron était en train d'expérimenter ce que les millions d'habitants de la capitale allaient ressentir dans les heures à venir...

16 février 1954, 12h14, Rio de Janeiro - Palais présidentiel du Protectorat anglais du Brésil

"... oui Votre Majesté, ils l'ont fait. Non Votre Majesté nous ne sommes pas prêts, mais nous essayerons tout de même de les aider. Au revoir Votre Majesté."
Reposant le téléphone qu'il avait dans les mains, Lord Phelps (Endwars) - l'ambassadeur britannique au Brésil - se retourna vers les diplomates de l'ambassade debout autour de lui :
"Les allemands ont déployé l'agent Grüne Pest sur le territoire de la Plata. Des vagues de milliers de réfugiés vont bientôt se précipiter dans nos centres de soins. Nous ne SAVONS PAS comment les guérir car les allemands n'ont jamais partagé la composition de leurs ACDM, mais la reine nous ordonne de faire au mieux. Nous sommes la Justice et la Liberté, nous sommes le monde libre face à la tyrannie ! Au travail mesdames et messieurs !"

Dans les mois qui suivirent, les centres humanitaires britanniques furent assaillis par des centaines de nouveaux réfugiés tous les jours en provenance de la Plata mais également des pays frontaliers touchés par la guerre. Les retombés chimiques des bombes allemandes touchèrent aussi les populations brésiliennes qui n'avaient pas le matériel de protection des militaires coalisés...

Au 29 avril 1954, la situation de la Plata était désastreuse. Le taux de contamination chimique était le plus élevé jamais recensé de l'histoire. L'assaut contre le Chili fut stoppé par de lourdes frappes d'ACFI hollandaises qui, couplées avec les bombardements allemands, brisèrent l'armée de conscrits platensés qui s'éparpillèrent en plusieurs bandes dans le pays qui partirent à la recherche de leurs familles. Les troupes allemandes et britanniques s'étaient enfoncées en profondeur dans le territoire et contrôlaient les principaux axes. L'état-major était décimé, et l'annonce de la mort de Juan Péron Ier fit donc de son fils de 6 ans l'héritier d'un empire en ruine. Le ministre de l'éducation, seul survivant du gouvernement, annonça à la radio et la télé la capitulation sans condition de la Plata et la dissolution de l'armée.

Les généraux les plus fanatiques ne se plièrent cependant pas à la décision gouvernementale. Appliquant les dernières volontés de Juan Péron Ier, le général Esteban del Rio rassembla ce qu'il restait de l'armée régulière et des vétérans ainsi que des troupes des nations alliés et fit route vers le nord. Violant la neutralité des nations d'Amérique centrale, l'implacable armée de la mort sud-américaine se lança dans l'extermination pure et simple de tous les êtres humains qui se trouveraient sur leur chemin. Surpris de voir l'armée japonaise (Maraud) au Pérou, la colonne de la mort ne fut cependant pas stoppée, les nippons préférant rester à l'écart, la laissant poursuivre sa route sans aucun problème. Balayant les maigres forces de l'Union d'Amérique Centrale, les platensés furent arrêtés dans leur marche de destruction par une coalition que personne n'aurait imaginé pouvoir exister : les soldats hollandais faisaient front au côté de l'armée impériale d'Amérique du nord. Rejoints par les armées mexicaines et mayas, cette alliance de circonstance réussit à contrer les forces de l'Union et à les repousser après 2 mois de sanglants combats. En pleine retraite par delà le canal de Panama, les fuyards furent cueillis par l'armée japonaise qui se trouvait comme par hasard au bon endroit au bon moment (profitant du chaos, l'armée japonais avait placé sous protectorat militaire le Pérou et la Colombie - ainsi que le Guyana pourtant neutre dans cette guerre - ce qui était sûr de causer des problèmes dans le futur, mais Hirohito s'en foutait parce qu'il avait gagné). C'en était définitivement terminé de l'armée platensés. La guerre en Amérique du Sud était-elle enfin terminée ? Pas pour l’empereur américain. Alors que les hollandais célébraient à peine leur victoire, les soldats américains tournèrent leurs canons dans leur direction :

"Au nom de Sa Suprême Majesté l'empereur, vous êtes mis aux arrêts pour violation de la doctrine Monroe. Toute résistance sera punie de mort immédiate."

Au moment où le général américain terminait sa phrase, une énorme détonation se fit entendre au large au niveau de la mer des Caraïbes : en provenance de la pointe de la Floride pourtant à plusieurs milliers de kilomètres de là, une dizaine de missiles balistiques venaient d'exploser en plein cœur de la flotte néerlandaise : en quelques secondes, des milliers de marins venaient de périr dans les flammes. Le message était clair : si les coalisés fatigués par 1 an de guerre soutenue souhaitaient rentrer chez eux, ils allaient devoir répondre de leurs actes auprès des américains... D'autant plus que les réactions à l'international furent plus que mitigées : là où certains pays condamnèrent cette prise d'otage, beaucoup d'autres - avec en tête de file la France, l'Espagne, la Pologne ou encore l'Empire Ottoman - blâmaient les coalisés pour leur attaque ayant conduit à la mort de plusieurs millions de personnes et l'extrême pollution du continent sud-américain.


Bilan total des pertes de la guerre par pays impliqués :

Empire de la Plata : Militaires : 1,2 millions / Civiles : 3,1 millions
Pérou : Militaires : 800 000 / Civiles : 450 000
Colombie : Militaires : 550 000 / Civiles : 260 000
Venezuela : Militaires : 80 000 / Civiles : 2 000
Brésil : Militaires : 50 000 / Civiles : 250 000
Royaume Uni : Militaires : 80 000 / Civiles : 154
Allemagne : Militaires : 190 000 / Civiles : 56
Australie Nouvelle Zélande : Militaires : 75 000 / Civiles : 24
Japon : Militaires : 80 000 / Civiles : 897
Pays Bas : Militaires : 114 000 / Civiles : 200
Empire Américain : Militaires : 65 000 / Civiles : 0

Théâtre européen : l'infamie italienne


Alors que les yeux du monde étaient rivés sur l'Amérique, la guerre s'apprêtait à toucher l'Europe pour la première fois en 50 ans. Au large des côtes siciliennes, un chalutier corse fut arraisonné dans la nuit du 22 janvier par un destroyer impérial de la marine italienne Silvio) sous prétexte d'une violation de leur ZEE. A son bord, les soldats italiens trouvèrent dans la cale une vingtaine de femmes enchaînées et blessée, visiblement réduite en esclavage par l'équipage. Mettant sous arrêt le chalutier, la marine italienne fit remonter l'affaire à l'administration et rapidement le fait divers fit la une de tous les journaux italiens : Les communistes capturent nos femmes pour les envoyer en Sardaigne afin de résoudre leurs problèmes de consanguinité / Les communistes disposent d'une ferme immense où ils emploient de manière violentes des prisonniers illégaux afin de créer des armes de destruction massive contre l'Italie !
En à peine deux semaines, l'affaire prit de telles proportions - le gouvernement italien ne faisant rien pour étouffer l'affaire, bien au contraire. La marine italienne décida finalement le 4 mars de se positionner en face du port de Cagliari et d'exiger au gouvernement corso-sarde de laisser une compagnie de marins italiens débarquer afin qu'elle puisse examiner les différentes prisons et exploitations économiques du pays. Refusant évidemment cette grossière demande, le gouvernement de la RSSM fit sortir sa propre flotte afin de faire partir les envahisseurs. Faisant d'abord mine de reculer, les croiseurs italiens firent subitement feu sur les navires sardes, bientôt rejoints par des centaines de chasseurs en provenance des porte-avions au large ! En parallèle, les désormais légendaires commandos italiens étaient parachutés dans les grandes villes afin de prendre le contrôle des principales administrations du pays et désorganiser la mobilisation de l'armée de la RSSM. Dans les heures qui suivirent, plusieurs contingents italiens débarquèrent un peu partout sur l'île dans ce qui ressemblait de plus en plus à une véritable invasion en règle totalement planifiée. Attaquée de partout, l'armée de la RSSM fut fortement touchée perdit le contrôle de la moitié du territoire. Retranchés dans les fortifications de montagne et dans certaines villes, ils résistaient avec peine à la force qui s'abattait sur eux. Lançant un appel à l'aide à ses camarades socialistes d'Europe, la RSSM ne pouvait espérer tenir qu'avec le support d'une puissance extérieure face au titan italien.

Théâtre africain : le réveil des nationalisme et le baroud d'honneur de Juan Péron


Alors que la Plata s'effondrait sous les bombardements coalisés, une petite flotte de navires civils parvint à passer outre le blocus britannique contre le continent. Après plusieurs semaines de navigation discrète, elle fit finalement escale dans le petit port de Lobito au nord de l'Angola, au sein du Congo néerlandais. Débarquant des navires, les milliers de "civils" se révélèrent être les soldats les plus fanatiques de Juan Péron ! Massacrant sans peine l'administration néerlandaise locale, les plantensés annoncèrent que l'âge de la servitude était terminé pour les peuples africains ! Arrivant à motiver les foules par leurs promesses de lutte contre les colonisateurs et dans un contexte de grande tension coloniale, la proclamation de la République Libre du Congo embrasa le continent. Partout en Afrique, les populations autochtones se soulevèrent contre l'occupant, et aucune nation ne fut épargnée. Les colonies britanniques réussirent à contrôler plus ou moins les soulèvements grâce aux tout récents statut de "dominion de la couronne" qui fut accordé à l'entièreté de l'empire coloniale anglais, mais le mal était fait. Bénéficiant des armes modernes et de l'entraînement des soldats de la Plata, les milices africaines firent des ravages contre leurs maîtres coloniaux.

Théâtre asiatique : les étranges restructuration de l'empereur de Chine


Juste après avoir racheté les colonies ottomanes, l'Empire Qing (Aethwulf) se lança dans un étrange plan de réorganisation des populations. Utilisant l'armée pour ça, il fit déplacer des dizaines de millions d'habitants au sein des régions sous contrôle direct de l'empereur, vidant donc de près de 70% de leurs habitants les toutes nouvelles républiques qu'il venait de faire instaurer. Les industries et les animaux furent également déplacés.
Créant un désordre sans nom, ces déplacements n'eurent pas vraiment de conséquences positives pour le pays, mais l'empereur était content d'avoir ses sujets proches de lui. L'empereur acheta également officiellement les comptoirs ottomans sur la côte pour une somme gardée secrète mais extrêmement importe comme témoignèrent les moyens très importants mis en place par l'armée ottomane pour escorter plusieurs dizaines de containers en direction de Constantinople.

Autres informations :


- Peu après la capitulation de la Plata, des dizaines de navires chargés de milliers d'aborigènes (Ilthanir) firent la traversée du Pacifique en direction du Chili afin officiellement de "repeupler le continent".

- Des dizaines de milliers de femmes coréennes furent également envoyées en Amérique du sud afin de divertir les soldats japonais. Les familles coréennes qui viennent de perdre leurs filles ont officiellement été "récompensées à la hauteur de leur sacrifice pour la Sphère de Co-Prospérité".

- La société perse (Beregil) est entrée dans la modernité avec l'adoption massive de la voiture personnelle pour la population grâce aux énormes quantités de pétrole vendues sur le marché intérieur - on parle même de "Persian Way of Life".


Dernière édition par labtecldlc le Dim 13 Juin - 15:35, édité 1 fois
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Maraud

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeJeu 3 Juin - 23:56

Le Japon conteste la propagande mensongère qui s'abat contre elle. Les forces de la sphère de Co-prospérité sont égales et la Corée fait partie des grandes nations de ce monde que le Japon protège et non exploite. Les viols et massacres n'ont été commis comme promis que sur les populations résistants à nos demandes de redditions.
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Aethwulf

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeSam 5 Juin - 0:58

Lempereur divin adresse aux dieux une priere pour le peuple de la plata et salue le courage téméraire de lempreur Juan 1er. Les actes barbares de la part de certains belligérants sont inqualifiables. Detruire un continent n'est pas une noble issue. Nous condamnons néanmoins les atrocités commises par les armées de la plata qui sont elles aussi responsables du sort de leur peuple et ont conduis à ce desossement de leurs terres.
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labtecldlc

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MessageSujet: Re: [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres !   [LGBT 3] La Grande Bagarre Transeuropéenne 3 - La course aux Pétropiastres ! - Page 4 Icon_minitimeDim 13 Juin - 16:51

Épilogue - Le crépuscule de la civilisation


3 Juillet 1954 - salle de conférence "Victoria" du Conseil des Nations, Londres :

Le chaos qui régnait dans la pièce était total. Les députés du CDN s'invectivaient les uns les autres sans aucune forme de respect des règles de l'institution qu'ils étaient sensés représenter. Le calme ne fut ramené qu'au moment où les chefs d'États rentrèrent dans la pièce, une première depuis la fondation du CDN. L'heure était grave. La Reine d'Angleterre Élisabeth II prit la parole en premier :

Mesdames et Messieurs, l'heure est grave. Tout le monde ici est au courant des récents événements qui ont eu lieu il y a de ça quelques semaines en Amérique du sud. Je n'essayerais pas de réduire l'implication des armées britanniques dans la tragédie platéenne, car elles étaient présentes aux côtés de nos collaborateurs allemands, néerlandais, japonais et australiens... cependant ! Je ne peux cautionner le comportement de certains membres de cette coalition qui avaient pourtant jurer d'intervenir pour sauver les populations ! Or, les militaires allemands ont commis l'irréparable en déployant des Armes Chimiques de Destruction Massive sur des cibles civiles ! Au Brésil, nos centres de soins se sont retrouvés submergés par des dizaines de milliers, des centaines de milliers de réfugiés victimes de la barbarie allemande ! Par ses actes, mon cousin a trahi le serment que nous avions tous donnés, et ils se sont rabaissés au niveau du démon Juan Péron, tout comme l'avaient fait ses aïeux au siècle dernier ! Et je...


La Reine n'eut pas le temps de continuer sa phrase que le Kaiser Guillaume III s'était levé et lui avait coupé la parole :

Non content d'être la souveraine d'un peuple de lâches, la Reine Élisabeth se permet d'insulter ma familles, mes glorieux ancêtres ! Les soldats allemands ont fait ce que les anglais n'ont pas su faire : nous avons pris nos responsabilités et avons mis fin à cette guerre ! Pendant que ce temps, le gouvernement britannique était occupé à se faire massacrer par les navajos dans la jungle tandis qu'ils négociaient déjà la subordination du Brésil pour en faire une nouvelle colonie britannique ! Vous êtes...

Bientôt, plus personne ne put s'entendre parler à nouveau. Plusieurs autres chefs d'État s'étaient eux aussi lancés en invectives contre les souverains anglais et allemands, tandis que d'autres se contentaient de jeter de l'huile sur le feu - comme les irlandais ou les polonais par exemple. Le Sultan ottoman avait quitté la pièce, bientôt suivi par son allié le Tsar de Russie et le Directeur du Danube. Le roi des Pays-Bas avait la tête dans les mains alors qu'il venait juste de recevoir l'annonce que 500 de ses officiers venaient d'être condamnés à mort par la police militaire américaine pour "crimes de guerre". Enfin, plusieurs états avec la Commune de France en tête venaient d'annoncer qu'ils quittaient le CDN, signant assurément sa mort prochaine.

Le Conseil des Nations avait échoué, et avec lui disparaissaient tous les espoirs d'un futur apaisé pour l'humanité...

En Amérique, anglais, américains, japonais et australiens se partageaient déjà le sud du continent en montant différents états fantoches sous leur contrôle plus ou moins direct. Les nations d'Amérique centrale tremblaient alors que l'ombre de l'Empire Américain planait sur eux. En Asie, les cliques chinoises se préparaient à la fin de la trêve avec les Qings qui ne manquerait pas de venir tandis que le Tsar Boris Ier se proclamait "Empereur de Sibérie" sous les yeux inquiets de ses alliés de la Sphère de Co-Prospérité. L'Afrique s'embrasait tandis que les cadres survivant de l'armée de la Plata s'appuyaient sur les revendications nationalistes et indépendantistes des populations locales pour fonder des micro-états partout sur le continent. Enfin au Moyen-Orient, les tensions restaient présentes entre le Royaume de Perse et ses voisins, d'autant plus que les immenses réserves de pétrole de la région ne manqueraient pas d'attirer les convoitises des grandes puissances.


Titres :


Aethwulf se voit décerner le titre de Petit bond en avant pour avoir réussi à unifier la moitié de la Chine tout en faisant le programme économique le plus bizarre de l'histoire basé sur la déportation de sa propre population pour aucune raison.

Beregil se voit décerner le titre de Mohammad Reza Rockfeller Pahlavi pour avoir accumuler des stocks indécents de pétrole au point d'en avoir presque autant que tous les autres joueurs réunis.

Berlioz se voit décerner le titre de Monsieur Malchance pour s'être fait totalement explosé en même temps en Amérique du sud et en Afrique en étant juste au mauvais endroit au mauvais moment.

Endwars se voit décerner le titre de Mère Thérésa pour les centaines de milliers de PTP investis en aide humanitaires un peu partout dans le monde et surtout au Brésil.

Ilthanir se voit décerner le titre de Kangourou Staline pour avoir fait déporter la totalité des aborigènes d'Australie en Amérique du sud.

Kevin.A se voit décerner le titre de Adolphe Hirohito Péron pour avoir commis le premier génocide de masse de l'histoire de l'humanité avant de se faire vaincre à l'aide d'armes de destructions massives.

Lune se voit le décerner le titre d'Apollo 13 pour avoir passé le MV à rechercher des fusées et des missiles intercontinentaux.

Maraud se voit décerner le titre de Uderzo et Goscinny pour ses légendaires concours de BD.

Silvio se voit décerner le titre de Grima sauce pesto pour avoir susurrer à l'oreille de toute le monde pour bien se faire voir tout en aidant leurs ennemis en scrèd.

Tonkar gagne le titre de Douglas MacArthur pour avoir décidé de régler le problème en larguant des ACDM sur la Plata pour en finir avec la guerre.


Merci à tous, LGBT 3.5 reviendra bientôt pour la suite de l'histoire !
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