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 La Religion Métrope

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MKI
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MKI


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MessageSujet: La Religion Métrope   La Religion Métrope Icon_minitimeSam 21 Avr - 15:35

I. Présentation:

La religion des métrope est à l'origine uniquement composé du polythéisme/animisme métrope qui correspond à la religion/philosophie véhiculée par et dans les villes de la civilisation métrique. Ce polythéisme/animisme est basé sur une succession de mythes, et est composé de plusieurs entités séparées entre les "Divinités", les "Déités" et les "Héros". Le polythéisme/animisme métrope se traduit par un culte de l'existence telle qu'elle est, et une recherche des vérités physiques de l'univers. Il sera plus tard complété par la philosophie voyaki qui s'inscrit dans un monde spirituel qui n'existe pas dans le polythéisme/animisme métrope.


II. Les Entités:

A. Les Divinités
Tout d'abord, il y a les divinités, ce sont des entités qui correspondent à des notions abstraites et qui posent les bases de l'explication de la vie selon les théologiens métropes. Il y a tout d'abord Méros qui est la divinité de la matière et qui est assimilé pour les métropes au mont Méros et par extension à toute la planète; puis les Méons qui sont des divinités lumineuses, ils sont assimilés aux étoiles et à tous les astres qui émettent de la lumière; et enfin il y a Manira qui est la divinité de la vie, elle est assimilé pour les métropes au fleuve Manira qui a vu naître et prospérer la civilisation métrique.
1°Méros
C'est par essence la divinité de la matière, il est constitutif de tout. Il a pour but l'existence, car tout ce qui existe est fait de lui. Selon le mythe, il a crée les Méons (la lumière) et Manira (la vie) dans sa quête de l'existence.
2°Les Méons
Ils ont été crées par Méros pour, selon le mythe, l'aider à travailler en éclairant son travail. Ils sont la représentation des astres qui émettent de la lumière.
3°Manira
Elle a été crée par Méros pour, selon le mythe, l'aider à multiplier l'existence. C'est la représentation de la vie qui anime les êtres.

B. Les Déités
Les déités sont plus nombreuses et correspondent au mariage de la vie et de la matière dans le but de l'existence (voir le mythe fondateur). On dénombre cinq déités classiques. Il y a Métralo, la déité des flux; Malance, la déité du bien; Marpa, la déité de l'innovation; Masson, la déité de l'infrastructure; et Morgal, la déité de la collaboration. A été assimilé aux déités métropes, le dieu Tyrrannos, qui est devenu la déité de la mer.
1°Métralo
Né de l'union de la matière et de la vie, il représente les flux et autres courant, ce qui l'affile aux courants marins et au vents qui apportent la chaleur ou transportent le pollen.
2°Malance
Né de l'union de la matière et de la vie, elle représente la déité du bien, son but est la protection de ce qui est, elle pourfend les adversaires de l'existence qui nuise à la survie notamment des métropes.
3°Marpa
Né de l'union de la matière et de la vie, elle représente l'innovation, son but et d'aider les être issus de l'existence à se protéger eux-même en leur donnant l'inspiration.
4°Masson
Né de l'union de la matière et de la vie, il représente l'infrastructure, ce qui l'affile aux constructions de tous genres, sont but est de permettre aux être de l'existence de simplifier leur propre existence.
5°Morgal
Né de l'union de la matière et de la vie, elle représente la collaboration, l'entraide entre les être de l'existence de façons à ce qu'ils ne se nuisent pas mutuellement.
6°Tyrrannos
Déité de la mer, il représente un domaine d’existence dans lequel les être terrestres classiques ne peuvent pas vivre.

C. Les Héros
Les héros sont soit des demi-déités, soit des métropes sacralisé pour des faits uniques. On dénombre trois héros métropes. Il y a Métro, le héros en quête de liberté pour les métropes; Maniramemna, le héros aussi premier et unique empereur des métropes ayant unifié le continent; et Mozambos, le héros ayant traversé les trois océans pour sauver sa soeur.
1°Métro
Métro est le fils de la déité Malance, sa longue quête pour protéger les métrope se conclua par la libération de Manira des griffes de l'Hydre morussiane.
2°Maniramemna
L'empereur emblématique des métropes, en suivant la volonté du héros Métro, il sauva les métropes du Mopon de l'oppression et combattit activement les envahisseurs tyrranniens.
3°Mozambos
Mozambos est le fils de la déité Masson, sa longue quête pour sauver sa soeur le mena à travers l'océan oriental, puis l'océan septentrional et enfin l'océan occidental pour rentrer au pays.


III. Les Mythes:

Le polythéisme métrope est centré autour de trois mythes, le mythe fondateur qui met en place le culte de l'existence; le mythe de Métro qui a engendré une forme de nationalisme métrope; et le mythe de Mozambos qui a fait naître la volonté maritime de la civilisation métrique.

A. Le mythe fondateur
A l'origine, il n'y avait que Méros qui se développait dans le néant. Il crût de jour en jour en se faisant sa place dans l'immensité, et un jour il décida pour avoir une idée de l'avancement de son travail, de créer les Méons. La lumière était donc née, et Méros avait désormais une autre vue de son travail, il découvrit notamment les grands espèces vierges qu'il avait développé pendant des millénaires. Il chercha donc à employer les Méons pour faciliter son travail, mais la seule activité dans laquelle ils étaient compétent était l'éclairage infini qu'ils produisaient dans l'infini. Déçu du peu d'aide que les Méons pouvaient lui offrir, Méros décida de créer une nouvelle entité qui l'aiderait dans son travail: la vie. C'est ainsi qu'il créa Manira, la source de toute vie. Manira commença par faire apparaître les plantes, puis à les faire croitre, de nombreuses forêts et jungles se développèrent donc partout où Méros s'était développé. La vie se propageait, et bientôt des être vivants apparurent, d'abord les petits frugivores, puis des plus gros qui mangeaient les petits frugivores, et ainsi de suite jusqu'à l'apparition des métropes. Méros convaincu de l'aide apportée par Manira, décida de l'utiliser pour procréer des déités issues de la matière et de la vie. Ces déités alors au nombre de cinq (Métralo, Malance, Marpa, Masson et Morgal) avaient chacune une tâche bien définie pour permettre de propager l'existence générale. Métralo fût chargé des flux pour apporter les courants d'air chaud aux mammifères et le vent pour propager les graines. Malance fût chargée d'implanter dans tous les êtres vivant la nécessité de l'existence. Marpa fût chargé d'implanter dans tous les êtres vivant une créativité afin qu'ils participent eux-même à la propagation de l'existence. Masson fût chargé d'implanter dans tous les êtres vivant une idée de développement pour modeler la matière de façon à favoriser l'existence. Morgal fût chargée d'implanter dans tous les êtres vivant une idée de collaboration pour qu'ils participent tous à l'accroissement de l'existence. Une fois ces déités crées, Méros décida que chacune de ses créations devrait travailler seule pour ne pas avoir de rôle uniquement secondaire par rapport à lui. Mais les déités étant suffisamment proche des métropes, ils allaient être liés pour l'éternité.

B. Le mythe de Métro
Malance pour sauver l'île de Manis des brigands, charma le chef des brigands qui terrorisaient l'île, quelques mois plus tard, l'île était en paix, et Métro naissait. Comme on pouvait s'en douter d'une demi-déité, Métro était performant dans de nombreux domaines mais ne pouvait pas procréer. Il s'instruisit auprès des sages de Manis durant sa jeunesse, puis décida de protéger les métropes de tous les horizons. Il partit donc avec un arc et un glaive vers le Nord pour arriver sur l'île de Mogagor. L'île était depuis peu, la cible d'un poulpe géant, une créature de Tyrrannos qui s'était rebellée contre son maître. Sur l'île, Métro chercha a obtenir l'aide de Tyrrannos pour vaincre ce monstre qui molestait les populations locales. Rapidement Métro trouva Tyrrannos, il était en pleine réflexion pour trouver comment s'occuper du poulpe géant sans envoyer un autre monstre encore plus puissant mais qui engendrerait surement de gros dégâts pour les populations locales. Métro proposa donc son aide à la déité d'origine tyrrannienne, ce dernier accepta avec joie et prêta donc un trident à Métro pour vaincre la bête. Ce trident renfermant le pouvoir de la mer pouvait venir facilement à bout des monstres marins. Métro partit donc pour la côte Ouest de l'île, où le poulpe géant était en train de s'attaquer à un petit village de pécheurs. Le poule géant du haut de ses douze mètres chercha a éviter la confrontation quand il vit le fameux trident de Tyrrannos. Métro, plus agile et vif que les métropes classiques n'eut aucun mal à s'approcher du poulpe en évitant les coups de tentacules. Une fois face à son adversaire, Métro planta le trident dans le poulpe qui se mit alors à scintiller pour finalement disparaitre en se transformant en eau salée. Les pécheurs métropes de Mogador était sauvés et le poulpe géant était mort, Métro avait réussi sa première quête avec succès grâce à Tyrrannos. Après avoir rendu le trident à la déité de la mer, Métro partit pour le continent, il n'avait encore jamais mis les pieds sur Métropos. Il s'enfonça dans les plaines pour arriver aux collines de Marpa. Il apprit donc que dans la région sévissait un ogre qui s'attaquait aux chasseurs dans les collines. Métro chercha donc Marpa et lui demanda de l'aide pour élaborer un plan afin de vaincre l'ogre. Rapidement, ils arrivèrent à une solution. Métro creusa un trou de quelques quatre mètres de profondeurs et y planta d'immenses pieux d'un mètre au fonds. Il recouvrit le trou de branchages et de terre pour faire croire que le sol était meuble à cet endroit, puis servit d'appât pour attirer l'ogre vers le trou. Après quelques journées, l'ogre se montra et tomba dans le piège. Métro profita de la faiblesse de l'ogre qui avait perdu l'usage de ses jambes, pour lui crever les yeux avant qu'il se sorte du trou. Le plan une fois terminé, l'ogre se débâta pour essayer de se tirer du guêpier dans lequel il s'était mis, mais rien n'y fait et après plusieurs heures, puis journées de hurlement, l'ogre succomba de ne pas pouvoir manger ou se désaltérer. On dit que les chasseurs métropes dévorèrent l'ogre avec le sourire au coin du visage suite à la nouvelle victoire de Métro, mais ce dernier n'en su rien, il partit vers le Sud pour résoudre les problèmes d'autres métropes. En arrivant sur les hauteurs du Manilla, Métro eu vent par des paysans, d'un sorcier qui avait provoqué la famine et envoyé des rats pour dévorer les vivres de la cité. Métro intrigué se hâta vers la cité de Manilla pour constater la réalité de la chose. Les rues étaient désertes, certaines chaumières étaient brulées, et les rats sortaient de toutes les portes. Une vision d'horreur, jamais une cité métrope ne pourrait normalement être réduite à cet état. Heureusement, Métro tomba non loin de la ville sur un des locaux s'étant enfuis pour éviter la catastrophe. Le métrope relativement âgés expliqua qu'il y avait un mage au sommet de la montagne un peu plus au Sud, et que ce mage faisait des expériences pour provoquer les dieux. Métro remercia le métrope pour ces informations et lui demanda si un certain matériel serait utile pour escalader la montagne, visible des plaines et extrêmement abrupte. Le métrope répondit qu'un piolet serait certainement le meilleur des investissements à faire pour grimper cette montagne. Métro lui demanda où il pourrait trouver un piolet avec la situation catastrophique de la région. Le métrope répondit qu'il était marchand dans la ville avant de s’enfuir, et que son échoppe en comportait quelques uns, il proposa à Métro d'en prendre un dans la boutique, car si les malédictions s’arrêtaient, le marchand pourrait enfin reprendre sa vie normale, comme tous les autres habitants. Métro retourna donc vers la ville de Manilla, avant que le marchand lui demande son nom, question auquel Métro rompit sans trop se poser de questions. Une fois de retour à Manilla, Métro chercha l'échoppe en question, elle était dans un quartier plutôt aisé de la ville, mais tout de même infesté des rats. Métro rentra donc dans la boutique et y trouva rapidement le piolet. Il sortit donc de la boutique et commença sa route pour le sommet de la montagne, visible depuis la ville. Une fois arrivé à la dite-montagne, Métro commença à escalader l'abrupte pic qui paraissait sans fin. Mais grâce au piolet, Métro réussit à atteindre le sommet à la suite d'une longue ascension. Au sommet, un métrope étrange portant une cape noire se tenait assis sur un fauteuil et regardant vers la plaine où les catastrophes se produisaient. Il demanda donc à Métro qui il était et ce qu'il était venu faire au sommet de cette montagne. Métro répondit qu'il était la fils de Malance, et qu'il était là pour arrêter celui qui nuisait à l'existence dans la région. Le métrope en cape se présenta donc, il se nommait Mélin, c'était un enchanteur et son but était de voir si les entités régiraient à ses provocations. Métro demanda alors à Mélin ce qu'il allait faire, ce dernier répondit que la venu d'une demi-déité répondait avec la question à laquelle il se posait depuis des années, à savoir de si les entités existaient vraiment, car selon lui un métrope normal ne pourrait escalader ce pic abrupte. Il demanda donc à Métro d'en finir avec lui rapidement. Métro prit donc son arc et tira une flèche qui se planta directement dans le torse de l'enchanteur. Une fois que ce dernier cessa de respirer, Métro découpa sa tête, et l'emporta avec lui vers la ville de Manilla. De retour dans la ville, les habitants n'étaient pas revenus, mais les rats étaient déjà partis. Métro chercha donc dans les alentours des survivants, et retomba sur le marchand qu'il avait croisé quelques jours plus tôt, le marchand étonné demanda alors à Métro ce qu'il s'était passé. Métro raconta donc son ascension et la mort de l'enchanteur, puis montra la tête en question, il expliqua aussi qu'il cherchait à retrouver les habitants pour leur dire que la ville était désormais sûre. Le marchand n'en cru pas ses oreilles, pris la tête de l'enchanteur, et demanda à Métro de garder le piolet, il se chargerait lui-même d'annoncer la bonne nouvelle à ses compatriotes réfugiés non loin de là dans un petit bois. Métro fût heureux de savoir qu'une communauté de survivant s'était établie, et quitta donc la région en descendant le Manilla. Quelques jours plus tard, la montagne en question fût renommé "le Pic de Métro" par les habitants de la région qui se rappelèrent cet évènement en revoyant le pic dans lequel Métro les avait sauvé du terrible enchanteur Mélin. En arrivant à Mopona, Métro n'en croyait pas ses yeux, les champs étaient brulés et la ville saccagée et jonchée de cadavres des métropes du Mopon. En cherchant des survivants, Métro tomba sur une famille qui indiqua s'être trouvée dans les collines pour chasser leur repas au moment de l'attaque. Métro leur demanda alors qui avait bien pu faire ce carnage. Les métropes du Mopon ne répondirent pas, jusqu'à ce que l'un d'eux dit qu'il avait entendu ces gens, et qu'ils ne parlent pas la même langue que les métropes. Métro continua donc sa progression dans les collines du Mopon pour arriver un campement des plus étranges, les bâtiments n'avaient pas la même forme, le plan de la ville était différent de Marpa, Manilla ou Mopona, et plus inquiétant, les locaux parlaient une langue inconnue. Métro essaya donc d'entamer la conversation avec un local, le jeune s’enfuit en courant en criant quelque chose d’incompréhensible. Métro resta bouche-bée devant la situation qui lui paraissait plus que grotesque. Quelques secondes plus tard, quelques gardes en armure arrivèrent de là où le jeune était partie en hurlant. Métro comprenant le danger de la situation, fît rapidement demi-tour et se précipita dans les collines pour se cacher le temps que les gardes cessent sa recherche. Une fois le danger passé pour Métro, il retourna à Mopona où des soldats vêtus du même uniforme que les gardes qui le poursuivaient, étaient présent et infligeaient des sévices à une famille d'honnêtes métropes. Métro pris d'un excès de rage prit son arc, décocha une flèche, puis deux, puis trois et abattit les trois soldats. Il demanda à la famille si tout allait bien, lesquels répondirent que les ces chiens de tyrranniens avaient violés leur plus jeune fille sous leur yeux, puis l'avaient torturée avant de la tuer. Métro n'imaginait même pas les sévices subis par la jeune métrope. Il se présenta alors convenablement à la famille métrope, puis leur expliqua qu'il allait voir Méros en personne pour régler cette affaire, visiblement trop difficile pour une simple demi-déité. Métro expliqua donc qu'il remontera le Manira pour demander le soutient de la mère de toute vie afin de plaider sa cause pour demander de l'aide à Méros. Une fois son plan expliqué à la famille métrope, Métro remonta le fleuve nourricier pour arriver à Manira, où siégeait la divinité éponyme de la vie. Mais en arrivant dans la ville, Métro sentit qu'une aura sombre planait sur la ville. En arrivant au temple où plusieurs sage discutaient, Métro leur demanda comment contacter Manira. La réponse fût brève mais assez choquante pour que Métro demande au sage de répéter sa phrase. Manira, la divinité de la vie avait été capturée par une créature invisible qui avait œuvré dans le secret le plus total. Suite à cette découverte, le plan de Métro était complétement chamboulé, fallait-il libérer les métropes du Mopon en premier lieu, ou sauver la divinité de la vie ? Sans se décider sur la question, Métro prit la direction du mont Méros, la divinité de la matière, les affaires étaient toutes les deux pressantes et nécessitaient une implication réelle. Après plusieurs journées à travers la jungle dans les montagnes, Métro arriva enfin dans la capitale spirituelle du monde métrope: Méros. Métro fatigué par le voyage se pressa d'aller au temple pour rencontrer la divinité originelle. Méros accepta l'entrevue avec son petit-fils. La discussion fût cependant plus succincte que Métro l'aurait prévu. Méros resta catégorique, il avait défini par le passé les tâches des différentes entités, si Manira a été capable de mettre au monde des créatures dangereuses pour l'existence, c'est à elle d'en prendre les conséquences. Métro fût choquée par la déclaration, mais abandonna ce point pour passer aux métropes du Mopon, là aussi la réponse de Méros fût tranchante: "Les métropes du Mopon et les tyrranniens ne s'entendent pas notamment parce que ta génitrice Malance, jeune Métro, et ta tante Morgal, ne font pas efficacement les tâches qui leur sont attribuées depuis leur naissance." Métro quelque peu désemparé s'excusa d'avoir dérangé la divinité de l'existence, et quitta le temple pour aller passer la nuit dans une auberge locale. La nuit portant conseil, Métro eut le lendemain un nouveau plan. Il allait sauver Manira, quitte à risquer sa vie dans un rude combat. Il partit donc pour l'archipel des Méons afin de leur demander des indices pour trouver Manira. La première étape de Métro dans cette quête fût le Lac de Masson. Arrivé sur place, son oncle, la déité Masson le croisa par hasard et lui demanda ce qu'il venait faire dans ce coin de la Métropie. Métro lui raconta tout, de son départ de Manis, son combat contre le poulpe géant de Mogador avec l'aide de Tyrrannos, la stratagème élaboré par Marpa pour vaincre l'ogre des collines, l'enchanteur qui terrorisait la population de Manilla, les métropes du Mopon oppressés par les tyrranniens, la découverte de l'enlèvement de Manira, et enfin le refus de Méros de s'impliquer dans ces affaires. Masson proposa alors de lui construire un navire pour qu'il atteigne plus rapidement Méonis. Il rédigea également une lettre pour Métralo qui saurait surement aider le jeune Métro dans sa quête. Une fois le navire préparé, Métro salua son oncle et partit à travers le lac de Masson pour atteindre de l'autre coté, la cité de Métralo prospère grâce aux flux commerciaux engendrés par la présence de la déité des flux. Métro amarra son navire sur les quais, puis se rendit au temple avec la lettre écrite par Masson. Une fois sur place, Métralo lût rapidement la lettre de Masson, et offrit donc son aide à Métro. Il offrît donc un talisman magique qui ferait déplacer les flux dans le sens du navire. Métro remercia grandement Métralo, puis prit congé de la cité fluviale pour s'engager dans l'océan Oriental. Une fois dans l'océan, Métro pris la direction de Madanao, une grande île isolée dans l'océan. Sur place, Masson attendait Métro. Il avait mit au point une plus grande voile et un gouvernail plus précis, afin de faciliter la navigation dans cet océan tumultueux. Métro remercia une nouvelle fois son oncle, puis partit en direction du Sud-Est, vers l'archipel des Méons et Méonis la fameuse cité des astres. Le courant marin et la vent étant dans le sens du jeune héros métrope, le trajet fût incroyablement rapide pour l'époque. Une fois arrivé à Méonis, Métro se précipita dans le temple et demanda au doyen des Méons si ils pouvaient localiser Manira avec leur compétence. Le doyen expliqua que chacun des Méons avait une zone propre à surveiller, et qu'il faudrait pour cela trouver le Méons qui aurait Manira dans son espace d'attribution pour la localiser. Métro salua donc le doyen des Méons, et partit à travers l'immense archipel. La navigation était rude avec la forte brume et les nombreux rochers qui dépassaient de l'eau, mais Métro arriva finalement à une île. Sur place, trois Méons discutaient, Métro leur demanda donc si un d'eux avait repéré Manira depuis son enlèvement. L'un des Méons répondit donc, qu'ils avaient tous pu voir Manira, elle avait été déplacé au moins à travers la plaine de Mallac. Métro demanda plus d'informations, mais les Méons répondirent que le reste n'était pas de leur ressort. Métro les remercia et partit donc pour une autre île de l'archipel. Les îles n'étaient pas très éloignées les unes des autres, mais sans l'amulette de Métralo, Métro aurait eu une sacrée difficulté à passer les forts courant marins de cette région. Une fois arrivé sur une deuxième île, Métro alla voir les Méons locaux, mais ils ignorèrent où pouvaient se trouver Manira, et ne l'avait pas vu, leur domaine de compétence se réduisait à la plaine de Morientac. Métro les remercia puis quitta l'île. Sur la troisième île, Métro rencontra les Méons en charge du Mopon, la situation était toujours pressante et les tyrranniens continuaient toujours leur oppression tyrannique des métropes du Mopon. Métro les remercia comme à l'accoutumée, puis partit en direction d'une autre île. Après avoir traversé de nombreuses îles où les Méons étaient en charge des collines de Marpa, puis du mont Méros, puis de l'île de Manis, et enfin de l'île de Madanao, Métro arriva enfin sur l'île dont les Méons pourraient lui venir en aide. Les trois Méons, en charge du plateau Morussia avaient cependant du mal à discerner ce qui retenait Manira, mais Manira était bien présente et clairement reconnaissable. Métro les remercia pour cette information enfin nécessaire dans sa quête, et partit pour Méonis d'où il pourrait rejoindre le plateau Morussia en longeant la côte jusqu'à Métrussia. Une fois arrivé à Métrussia, Morgal l’arrêta pour lui faire part de son plan pour sauver Manira. Métro accompagna donc Morgal jusqu'à retrouver Métralo et Marpa aussi présents. La réunion fût brève mais efficiente, le plan était le suivant: Métralo inverserait le sens d'écoulement du Delta Morusse jusqu'à l'endroit désigné, Métro avec son navire remonterait le Delta pour atteindre la cible, et avec un miroir révélant l'invisible conçu par Marpa, Métro pourrait affronter et défaire la créature ayant enlevé Manira. Une fois le briefing de la mission effectué, chacun se mit à son poste, et l'opération commença. Métro prit place dans son navire avec le miroir de Marpa, et Métralo inversa le sens naturel du courant. Le trajet dura seulement quelques heures, une fois arrivé sur place, Métro amarra son navire à un arbre, puis partit à la recherche de Manira. Dans le plateau Morussia, la végétation était étonnamment faible, et les animaux peu nombreux. Une fois arrivé devant un cratère assez large, Métro aperçu au centre du dit-cratère, un arbre, sur lequel était attachée Manira. Métro sortit donc son miroir pour voir l'emplacement du monstre. Le monstre n'était pas présent dans le cratère, Métro se dépêcha donc d'aller libérer Manira et de l'aider à sortir du cratère. Au moment où ils mirent le pied hors du cratère, ils entendirent un rugissement, Métro se hâta d'utiliser le miroir pour trouver le monstre. Il arrivait de par le Nord, il avait huit tête et une longue queue, son corps était recouverts d'écailles et ses griffes acérées, la créature en question n'était autre que l'hyre morussianne. Métro demanda donc à Manira de maintenir le miroir de façon à cibler le monstre avec une puis deux flèches, mais rien à faire, épiderme du monstre était trop épaisse. Métro prit donc son glaive, et demanda à Manira de rester un peu en retrait pour qu'elle l'aide grâce au miroir. Métro eu du mal à trouver le contact avec la bête, mais une fois fait, l'épaisse carapace d'écaille était un redoutable adversaire pour le glaive de Métro. Il prit donc le piolet attaché à sa ceinture, et commença à percer l'écaille du monstre à un endroit malheureusement invisible. Le monstre riposta rapidement et d'un vif coup de dent, arracha une jambe à notre héros. Métro sentant la chair à la place de l'écaille là où il perçait, décida d'y planter son glaive. Le coup était visiblement bien porté, le monstre hurla un cri mêlant rage et douleur, avant de s’effondrer sur le jeune métrope. Métro se tira tant bien que mal de sous la carcasse du monstre, puis demanda de l'aide à Manira toujours en retrait. A ce moment, Malance arriva du chemin Est, elle s'excusa pour les mauvaises manières de son fils, puis se rapprocha du héros. Elle dit: "mon fils, tu as vaillamment combattu pour la survie de l'existence, aujourd'hui tu as sauvé la mère de toutes vie, ta quête est terminé, je prends en charge les métropes du Mopon, tu peux aller en paix." Et sur ces paroles, elle asséna un violent coup d'épée sur le crâne de son fils, pour l'empêcher de souffrir des suites de ses blessures infligées par l'hydre morussianne. Malance retourna donc vers Manira et lui expliqua la situation actuelle qui faisait que certains métropes étaient oppressés par un envahisseur. Malance rajouta qu'elle sauverait ces métropes, et que Manira n'aurait pas besoin de s'impliquer dans cette affaire. On dit que quelques mois plus tard, Malance aurait rendu visite à tous les chefs des cités métropes et qu'ensemble ils discutaient d'un plan.
carte du voyage de Métro:

C. Le mythe de Mozambos
Mécontent de l'assimilation totale des tyrranniens de Métropos, Tyrrannos pour venger la perte d'une partie de ses fidèles, prit en otage Mombaza, la fille de Masson, et partit à travers l'océan pour empêcher les déités métropes de croitre. Masson d'une fureur noire se concerté avec ses frères et sœurs pour décider de comment ils allaient agir pour sauver sa fille désormais retenue à l'autre bout du monde, sans abandonner Métropos. Rapidement, Marpa trouva l'idée, il fallait un héros demi-déité comme l'avait fait leur gendre Métro des siècles plus tôt. Le meilleur candidat se trouvait être Mozambos, le petit frère de Mombaza. Morgal établit alors l'aide que chacun d'entre eux apporterait à Mozambos durant sa quête. Métralo devrait veiller à offrir des vents et courant dans le sens de Mozambos, Malance donnera un talisman à Mozambos pour lui rappeler sa quête, Marpa rédigera un livre avec les différents stratagème que Mozambos serait susceptible d'utiliser dans sa quête, et Masson bâtira le navire pour son fils. Quelques jours seulement après cette réunion, les déités eurent finis leur labeur, et Mozambos fût investi de sa mission: sauver sa sœur Mombaza de Tyrrannos et ses monstres marins. Il partit alors en direction de l'Est, la première étape de son voyage passait par la côte Nâmtho. Les populations locales étaient plutôt méfiante envers le jeune métrope et il ne réussi pas à obtenir d'information sur le voyage d'une déité dans la région. Il continua donc sa route vers l'Est pour arriver le long des côtes Vojak. Les habitants fanatisés par un dieu défendant notre monde d'autres monde n'eurent pas non plus d'informations à donner au jeune métrope pour l'aider dans sa quête. Désemparé, il quitta ces rives pour le Sud-Est et atteignit l'archipel Silvitaliens. Les populations étaient misérables et sales, mais certains pécheurs de l'archipel avaient aperçu un peu plus au Nord, une créature étrange. Mozambos se rappela donc que Métro dû affronter un monstre marin de Tyrrannos, cette créature ne pouvait être qu'un sbire de la déité tyrrannienne. Après avoir offert une serviette au brave silvitaliens qui l'aida, Mozambos alla vers le Nord pour en savoir plus sur cette créature marine. En s'approchant d'une petite île, Mozambos tomba des nus, ce n'était pas une petite île comme il le pensait, mais une tortue de mer géante. La créature peu aggrésive laissa Mozambos s'approcher, qui utilisa le livre de Marpa afin de trouver le stratagème qui ferait parler la tortue pour lui donner des informations ou au mieux des indices sur la localisation de Tyrrannos. Rapidement le rituel était trouvé et appliqué, le tortue, peu docile, alla jusqu'à donner l'emplacement de la cachette de son maître. Mozambos la remercia et partit pour le Nord-Est, l'endroit où se cachait Tyrrannos était dans les archipels des Sjoks. Sur la longue route qui le mena jusqu'au Sjoks, Mozambos rencontra des prince-marchands Shah-Lugs, des fiers guerriers Aedhrolfks, et des robustes marins Méttalos. Il apprit donc d'eux que l'océan septentrional était connu pour sa mer froide et les quelques grandes créatures qui s'y trouvaient pouvaient être dangereuse. En s'approchant des îlots décrits par la tortue, Mozambos tomba sur des pirates Sjoks, un peuple peu enclin à la discussion, surtout intéressé par le navire de Mozambos, qui était d'un tout autre genre que les embarcations classiques des pirates Sjoks adaptées à l'océan septentrional. Mozambos n'ayant pas les moyens de combattre les Sjoks, il s'aida du livre de Marpa qui contenait une formule de somnolence. Mozambos l'utilisa, par chance, les pirates Sjoks s'endormirent rapidement, laissant à Mozambos le soin de s'enfuir pour accoster sur l'île où se cachait Tyrrannos. Sur l'île se trouvait une grotte, dans cette grotte nombre de poulpes géants, ces créatures étant forcement des monstres de Tyrrannos, Mozambos prit son courage à deux mains et s'inflitra. Il réussit à ne pas se faire remarquer par les poulpe et arriva dans une grande salle. Cette grande salle comportait en son centre une sorte de lac, et devant le lac, Tyrrannos en personne. Tyrrannos reconnu la teinte particulière du jeune métrope et lui demanda s'il était là pour la fille. Mozambos acquiesça. Tyrrannos lui montra donc du doigt le fond du lac, était posée sur ce fond, dans une sorte de bulle géante, Mombaza, la sœur de Mozambos. Tyrrannos proposa donc à Mozambos d'essayer de récupérer la fille, et si il y arrivait, Tyrrannos rentrerait sur Métropos et accepterait la puissance du peuple métrope. Mozambos plongea donc dans le lac, Métralo créa le courant marin nécessaire pour permettre à Mozambos de traverser les quelques 30 mètres de profondeurs sans avoir à souffrir de la pression ni du temps de trajet en apné. Au fond, il récupéra sa sœur et repartit vers la surface. Étonné par la facilité avec laquelle Mozambos récupéra sa sœur, Tyrrannos ne pouvait plus se voiler la face. Il s'avoua vaincu, et accepté de partir avec les jeunes métropes pour Métropos. Peu après avoir quitté l'île, ils tombèrent à nouveau sur des pirates Sjoks. Tyrrannos utilisa son pouvoir pour appeler un des fameux monstres marins de la région, les pirates détournèrent donc leur route. La route empruntée pour le retour traversa l'archipel Sjoks, puis atteint l'Empire des Kevinglaffs, et enfin longea les côtes Tyrranniennes pour enfin retourner à Métralia d'où il était parti. Sur place, Malance emmena Tyrrannos avec elle, on imagine qu'il a été sermonné pour avoir nuit à l'existence en fuyant son activité de surveiller les mers aux abords de Métropos, et donc de ne pas avoir protégé l'existence.
carte du voyage de Mozambos:

IV. Application du culte voyak au polythéisme métrope:
à venir

Oui, y'a beaucoup de "à venir", mais j'avais besoin de poster déjà les grandes lignes


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MessageSujet: Re: La Religion Métrope   La Religion Métrope Icon_minitimeSam 21 Avr - 21:16

Ton peuple en a pas marre des "m" ?
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MessageSujet: Re: La Religion Métrope   La Religion Métrope Icon_minitimeSam 21 Avr - 23:07

C'est le cas, sinon ils partiraient pas dans tous les autres pays Laughing
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MessageSujet: Re: La Religion Métrope   La Religion Métrope Icon_minitime

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