Warhammer 40'000 -Campagne de Gueran III, bataille pour Horfain

L’Imperium de l’Humanité

La plus grande et la plus puissante force politique humaine est celle de l’Empereur-Dieu, celui qui a lancé depuis la Très Sainte planète Terra des légions de combattants pour conquérir la galaxie et pour unifier les colonies humaines établies dans les autres mondes. L’Imperium règne sur des milliards de mondes grâce à son administration tentaculaire, à ses vaillants défenseurs, et à la surveillance permanente de tous ses sujets. La vigilance est de mise, car devant tous les mondes périphériques se massent des hordes de créatures extra-terrestres prêtes à fondre sur leurs proies, tandis qu’au cœur même des planètes impériales naît parfois la graine de la corruption du Chaos.

Les forces militaires de l’Imperium de l’Humanité

L’Adeptus Astartes

Les meilleurs défenseurs de l’Humanité sont les spaces marines, des guerriers génétiquement modifiés, entraînés à la perfection et équipés du meilleur matériel que les mondes-forges de l’Imperium peuvent fournir. Ce sont eux qui furent les premiers envoyés par l’Empereur-Dieu pour unifier l’espèce humaine, et ils restent aujourd’hui encore le fer de lance de la puissance militaire impériale. Regroupés par chapitres, disposant de leurs propres vaisseaux interstellaires, les spaces marines sont toujours déployés sur les théâtres d’opérations les plus dangereux, où la victoire doit être absolument acquise rapidement.

La Garde Impériale

Si les spaces marines sont surnommés « l’épée de l’Empereur », la Garde Impériale a été qualifiée de « marteau de l’Empereur ». La métaphore résume bien l’esprit de la Garde : broyer les positions ennemies sous une pluie d’obus, submerger les survivants sous des vagues innombrables de fantassins, et recommencer jusqu’à la victoire sans se soucier du coût à payer. La Garde Impériale regroupe l’armée humaine régulière comme les conscrits levés à la hâte. Des millions d’armées veillent sur l’Imperium, en tant que garnisons ou en tant que forces d’assaut. Chaque armée est constituée de dizaines de régiments. Chaque régiment est constitué de dizaines de compagnies. Chaque compagnie est constituée de dizaines de pelotons. Chaque peloton est constitué de centaines – voire de milliers – d’hommes. La lenteur de déploiement de la Garde est compensée par la force irrésistible qu’elle amène sur le champ de bataille, car chaque homme qui tombe au combat sera remplacé le lendemain par cent autres.

La Flotte Impériale

Pour limiter l’impact des trahisons au sein de la structure militaire impériale, les troupes au sol – la Garde Impériale – furent séparées des flottes interstellaires – la Flotte Impériale. La Flotte comporte à la fois tous les appareils de transports et de combat pour les opérations interplanétaires et tous les appareils de transports et de combat pour les missions d’assaut planétaire ou d’appui au sol. Ce sont les appareils de la Flotte qui transportent les armées de la Garde Impériale sur les zones de combat, et qui les soutiennent depuis l’atmosphère par un pilonnage constant des concentrations ennemies, mais aucun officier de la Garde ne peut commander aux vaisseaux de la Flotte, de même qu'un officier de la Flotte ne peut commander aux régiments de la Garde.

Le Chaos

Dans l’univers règnent également quatre entités divines chaotiques. Quatre dieux se nourrissant des aspects les plus néfastes de l’Humanité, et qui haïssent pourtant l’espèce humaine « libre ». Le Chaos regroupe un ensemble hétéroclite d’hommes et de spaces marines qui se sont détournés de l’Empereur-Dieu pour vouer un culte à ces divinités obscures. Un tel dévouement amène parfois à des mutations ignobles, tant physiques que psychiques, allant d’une force surnaturelle à la possession du fidèle par un démon, ce qui peut décupler sa force et sa résistance comme faire de lui un psyker – magicien – redoutable. Les serviteurs de l’Imperium considèrent les fidèles du Chaos comme des hérétiques qu’il faut purger par l’anéantissement ; les serviteurs du Chaos considèrent l’Empereur-Dieu comme un faux-dieu, et ses partisans comme des aveugles qu’il faut corrompre ou éliminer.

La planète impériale Gueran III n’avait pas été menacée par les violents combats qui se déroulaient dans le système solaire voisin, celui de Jionis. Chef-lieu de son système, Gueran III était un monde-ruche, où une large partie des terres habitables étaient recouvertes de cités gigantesques – des ruches – où avaient été érigées des tours colossales de plusieurs centaines d’étages, chacun étant suffisamment vaste pour permettre la manœuvre d’une compagnie blindée. Plusieurs astroports servaient au décollage et à l’atterrissage des vaisseaux de la Flotte Impériale, tandis que des stations plus petites étaient utilisées par des transporteurs civils et marchands.

Lorsqu’un convoi de réfugiés en provenance du système Jionis demanda l’autorisation d’atterrir sur Gueran III, les autorités locales ne se doutèrent pas que les arrivants n’étaient pas de simples civils terrorisés mais des contingents d’hérétiques dans des vaisseaux civils de transport dérobés. Dès les premiers instants de l’invasion, des cultes chaotiques infiltrés dans la population de Gueran III assassinèrent le gouverneur planétaire et plusieurs hauts officiers de son entourage, avant de débuter une insurrection armée – parfois avec le soutien de régiments militaires traîtres. Les Forces de Défense Planétaire furent dans un premier temps débordées et désorganisées, perdant 25% de leurs effectifs au premier jour d’affrontement, avant de se retrouver acculées au bout d’un mois, les pertes étant montées à 65%. Beaucoup de terrain avait été cédé aux partisans du Chaos, et lorsque la Flotte Impériale arriva en orbite avec une armée de réserve détachée du secteur Jionis, elle constata que le moral des Forces de Défense Planétaire était au plus bas. Quelques unes des principales forteresses tenaient encore, mais subissaient les assauts constants des traîtres, tandis que la population civile, décimée – ou corrompue – à 33% et dont 40% a été faite prisonnière, avait trouvé refuge dans les rares régions protégées par les forteresses précédemment citées.

Tous les astroports ayant été pris par l’ennemi, les renforts impériaux durent se contenter d’atterrir sur les pistes civiles, ce qui impliqua de ne déployer les forces que petit-à-petit à cause de la petite taille des infrastructures. La XVIIe armée de la zone de combat Jionis devait commencer par établir une tête de pont, puis prendre au plus vite un astroport, tout en essayant de soulager les Forces de Défense Planétaire de la pression qu’elles subissent. Le IVe corps d’armée fut choisi pour débarquer dans une région où la résistance impériale tenait encore des positions dans Horfain, une ville où se trouvait aussi un astroport récemment tombé. D’autres corps furent déployés à d’autres endroits de la planète, avec des objectifs similaires. Le 5e détachement du IVe corps d’armée eut l’honneur d’être désigné pour être projeté directement dans la banlieue de la ville.

Les éléments des compagnies 1 et 2 du 134e régiment furent les premières à poser le pied sur le tarmac. Elles établirent rapidement un périmètre défensif autour de la zone d’atterrissage. A la tête d’un peloton de la 2e compagnie, le capitaine Nasou nettoya un immeuble situé à cinquante mètre de l’aéroport et doté d’une batterie antiaérienne, et y installa le quartier général du IVe corps d’armée. Cela permis le déploiement de la 5e escouade des troupes de choc, ainsi que de quelques pelotons des autres compagnies.

https://www.archive-host.com/lt/1592q5g75rp6/Carte_Horfain_zones.jpg



Rouge = zone sous contrôle des hérétiques du Chaos
Bleu = zone sous contrôle des Forces de Défense Planétaire
Vert = zone sous contrôle du 5e détachement du IVe corps d'armée

FORCES EN PRESENCE

5e détachement du IVe corps d’armée de la zone de combat Jionis (sous le commandement du colonel Sturn)

101e compagnie des troupes de choc de Morava (Lieutenant-général Sten) (hgh23)

134e régiment d’infanterie de Suron (sous le commandement du colonel Sturn)

1ère compagnie d’infanterie de Suron (Colonel Sturn) (VARDEN)
2e compagnie d’infanterie de Suron (Capitaine Nasou)
3e compagnie d’infanterie de Suron (Major Loyl) (FABIAN)
4e compagnie de sapeurs de Suron (Capitaine Bragg)

128e régiment motorisé de Suron (sous le commandement du major Koyf)

1ère compagnie d’infanterie mécanisée de Suron (Capitaine Liel) (KEVIN13)
2e compagnie de blindés de reconnaissance de Suron (Capitaine Joel) (TEM)
3e compagnie blindée de Suron (Major Koyf) (SILVIO)

Forces de Défense Planétaire (sous le commandement du seigneur-maire d’Horfain)

XVe compagnie de la garde royale de Gueran III (Seigneur-maire Alaic) (DODO)

1ère compagnie du 1er régiment de Horfain (Commandant Guerns) (ARKANTOS)
7e compagnie du 1er régiment de Horfain (Major Sud)
3e compagnie du 5e régiment de Horfain (Major Rabbe) (MARV)
5e compagnie du 7e régiment de Horfain (Colonel Jaffe)
22e compagnie de conscrits de Horfain (Capitaine Istil) (SERGUEI)
3e compagnie blindée de Horfain (Colonel Jordi) (ARZGLUF)

Composition des troupes

Troupes de choc : Soldats d’élite ayant reçu une formation particulière pour pouvoir mener à bien des missions d’infiltration, de reconnaissance, de sabotage ou des parachutages en zone hostile. Leur armure carapace les protège mieux que le simple gilet pare-balle standard, tandis que leur fusil radian laser délivre une puissance de feu bien supérieure à celle des armes habituellement utilisées par les armées humaines.

Gardes royaux : Corps traditionnel de Gueran III, vestige de la culture préimpériale de la planète, réorganisé pour former la garde rapprochée du gouverneur planétaire, ses hommes ont suivi un entraînement intensif aux combats urbains et aux fusillades à courte portée. Leur armure lourde comporte un système d’assainissement de l’air pour pouvoir évoluer en milieu toxique, tandis que leur armement comprend, en plus du fusil radian laser classique des troupes de choc, le matériel nécessaire pour se tailler un chemin à travers les murs, les remparts, les plaques d’aciers et les véhicules blindés ou non obstruant le passage.

Infanterie : Soldats réguliers classiques, présents en grand nombre sur la ligne de front. Ils peuvent employer des armes lourdes antipersonnelles et antichars pour accroitre leur efficacité.

Sapeurs : Dotées des armes antichars et antibunkers les plus destructrices et des explosifs les plus puissants, ces troupes ont une réputation de têtes brûlées et de fous suicidaires. De tels soldats sont également tout à fait à-même de combattre de l’infanterie, puisqu’ils ont reçu à l’origine le même entraînement au maniement du fusil laser que n’importe quel garde classique.

Infanterie mécanisée : Les régiments d’infanterie mécanisée se sont vus dotés de VAB Chimères, les véhicules les plus couramment employés par la Garde Impériale. Ce blindé moyen offre une puissance de feu antipersonnelle efficace grâce à ses armes de tourelles et de coque (pouvant être des lance-flammes lourds), puissance accrue par l’emploi par les passagers des fusils lasers intégrés au flanc du véhicule. Ces régiments, s’ils ont un effectif humain moindre que les régiments d’infanterie, sont en revanche bien plus rapides. Les VAB Chimères peuvent aussi être employées pour des opérations amphibies.

Blindés de reconnaissance : Formant l’avant-garde des colonnes impériales et assurant la protection des flancs lors des batailles, les escadrons de blindés légers de la Garde sont habitués à agir vite, sans soutien extérieur, et même parfois sans ordres lorsqu’ils ne peuvent joindre le commandement central. Ces compagnies regroupent à la fois des sentinelles blindées, marcheurs bipèdes monoplaces discrets et correctement armés, mais aussi des Hellound, des chimères dont le blindage a été renforcé et dont le compartiment des passagers a été remplacé par une vaste cuve de liquide inflammable, lequel est projeté à quelques dizaines de mètres du char par le canon de tourelle de sorte à carboniser toute position défensive ennemie.

Blindés : Le principal char de combat de la Garde Impériale est le Leman Russ. Monstre d’acier à la coque épaisse, il avance sans crainte face aux salves de l’infanterie et des blindés légers adverses, tandis que son obusier en tourelle déchiquette l’ennemi avec une facilité déconcertante. Il existe toutefois de nombreuses variantes du Leman Russ, qui modifient principalement l’armement de sa tourelle principale ou son arme de coque. Certains escadrons sont équipés de canons antichars Vanshiquer, tandis que d’autres se voient dotés de canons Gatling, qui délivrent une quantité phénoménale de balles.

Compagnie de soutien : Aucun régiment de la Garde Impériale n’est déployé sans de terrifiantes batteries d’artillerie mobiles. Toutes sont montées sur des châssis de chimères, et peuvent recevoir différentes variantes d’armes. Le canon Séisme des Basilisk est capable de tirer des obus Tonneterres de deux cent kilos à des dizaines de kilomètres. Le mortier lourd Griffon compense une portée bien moindre et un pouvoir destructeur plus réduit par une précision inégalée, ce qui le rend particulièrement précieux pour soutenir l’avancée de l’infanterie. Enfin, la Flotte n’étant pas toujours disponible pour déployer des escadres aériennes et assurer le contrôle des cieux, les batteries antiaériennes Hydres accompagnent toujours les gros rassemblements de troupes. Leurs autocanons disposant de systèmes de visée automatique peuvent verrouiller n’importe quelle cible en vol et la cribler d’une dizaine de projectiles explosifs en quelques secondes. A défaut de cibles « conventionnelles », les artilleurs peuvent aussi abaisser leurs autocanons et prendre pour cible l’ennemi au sol, déchiquetant allègrement l’infanterie et les blindés légers.

Conscrits : Lorsqu’une planète est menacée, son état-major peut ordonner l’activation de la conscription. Des millions d’hommes et de femmes sont alors contraints de prendre les armes ou d’être exécutés pour trahison. Leur efficacité au combat est bien en-deçà des régiments réguliers du fait du manque d’entraînement et de discipline, mais la quantité de fusils lasers pointés vers l’ennemi compense l’imprécision et la faiblesse de ceux qui les portent.

Aéronefs de la flotte : Lorsque la Garde Impériale lance un assaut planétaire, elle bénéficie du soutien des Valkyries, des aéronefs blindés armés de lance-roquettes multiples et de canons lasers, les rendant aptes à faire face à toute menace. Parcourant le champ de bataille à une vitesse supersonique ou restant en vol stationnaire pour accroitre sa précision, la Valkyrie est le parfait soutien pour nettoyer les cieux et pour tirailler l’ennemi. De plus, elles peuvent accueillir jusqu’à quinze passagers, et disposent au choix de filins de rappel ou de systèmes de grav-chute pour débarquer les escouades embarquées (le grav-chute étant un harnachement personnel qui doit normalement permettre à son porteur de ralentir sa chute après avoir sauté de l’appareil en vol …).

Si vous voulez voir un peu à quoi ressemble la plupart de ce que j'ai décrit plus haut, vous pouvez voir cette vidéo.

Notes sur la hiérarchie au sein des forces impériales

Les grades au sein de la Garde peuvent varier d’une planète à l’autre, car les cultures des peuples et les histoires des régiments peuvent être différentes. Plutôt que de se baser sur un titre précis, il faut pendre en compte les pouvoirs dont dispose l’officier. Celui qui commande un corps d’armée a autorité sur ceux qui dirigent des régiments, et eux-mêmes ont autorité sur ceux qui dirigent des compagnies. En revanche, les pouvoirs du chef d’un corps d’armée n’ont pas prise sur les forces qui ne dépendent pas directement de lui. Concrètement, le IVe corps d’armée et les Forces de Défense Planétaire sont deux entités militaires disposant de leurs propres hiérarchies, et l’une ne peut commander à l’autre, tout au plus peut-elle lui suggérer quelque chose. Enfin, les troupes de choc ont un statut particulier, puisqu’elles ne dépendent que du chef du corps d’armée, même si elles peuvent être déployées en soutien d’autres officiers à la tête de régiments.

Notes sur le déploiement des forces impériales

Les Forces de Défense Planétaire du seigneur-maire Alaic sont totalement mobilisées depuis plus d’un mois. Elles ne pourront recevoir des renforts qu’à condition qu’un autre front sur la planète se débloque pour que d’autres compagnies soient acheminées jusqu’à Horfain.
Concernant le 5e détachement du IVe corps d’armée, aucune compagnie n’a pu voir son effectif être intégralement débarqué sur la planète au premier jour. Chaque officier recevra donc au fil du temps de nouveaux pelotons qui arriveront dans la zone de déploiement impériale. Le colonel Sturn sera informé à chaque tour du nombre de pelotons pouvant être débarqués par la Flotte, et devra donc choisir quelle compagnie renforcer et avec quel type de peloton en fonction des besoins du terrain.

Déroulement du jeu

# Envoi des statistiques à tous les joueurs par le MJ.
# Envoi des actions de tous les joueurs au MJ.
# Evènement pré-tour.
# Diffusion du tour par le MJ.
L’évènement pré-tour est une nouveauté que je souhaite tester. Il s’agit en fait de contacter certains joueurs pour leur dire « les choses ne se sont pas passées comme prévu, tel évènement est arrivé, comment y réponds-tu ? ». C’est une sorte de mini-tour dans le tour, qui permettra de reconsidérer ses actions en fonction d’une surprise (bonne ou mauvaise), ou simplement de les préciser. Tous les joueurs n’auront peut-être pas d’évènement pré-tour si tous leurs plans se passent comme prévus, et personne ne sera informé de qui a été contacté de cette manière.
Exemple : Vous êtes le major Wissemaster, à la tête du 112e bataillon d’infanterie. Vous aviez ordonné au capitaine Aedhr de la 3e compagnie d’aller renforcer la position du capitaine Wellan de la 2e compagnie, mais les dernières liaisons radios semblent indiquer que le capitaine Wellan et ses hommes ont été pris par derrière par la 3e compagnie, sans doute corrompue par l’ennemi. Vous n’avez depuis plus eu de contact avec la 2e compagnie, ni avec la 3e. Que faites-vous ?

La composition des statistiques

Vous trouverez dans vos statistiques :
- La liste de vos pelotons, leurs effectifs, leurs spécialités, leur localisation, leur état global ;
- Les éventuels messages de vos subalternes ou supérieurs PNJs ;
- Le résultat de vos actions ;
- Une version un peu plus détaillée que le passage du tour officiel, donnant notamment davantage de précisions sur votre zone, un peu moins sur celles de vos pelotons qui ne sont pas directement avec vous, encore un peu moins sur celles des pelotons de vos alliés*.
* Si un officier de compagnie perd son agent de transmission (radio), ces informations seront diminuées, car elles vous seront transmises par la radio du peloton que vous aurez rejoint, radio de qualité moindre et souvent encombrée par les échanges des troupes.

La composition des actions

Vous devrez indiquer à chaque tour :
- La posture de votre personnage, avec au choix « mener les hommes par l’exemple » (gain de moral et d’efficacité pour votre peloton, risque accru de décès), « surveiller depuis la seconde ligne » (sans effet sur le moral et l’efficacité de votre peloton, risque de décès faible), ou « réfléchir à la stratégie depuis un bunker ou équivalent » (éventuel malus de moral pour votre peloton, informations plus précises sur le passage du tour, risque de décès insignifiant) ;
- A quel peloton votre personnage se rattache ; vous pouvez rejoindre un peloton d’un autre joueur, mais vous n’aurez pas d’autorité dessus tant que l’officier de peloton sera en vie, et devrez donc suivre le peloton selon ce que son supérieur décidé de faire ;
- Ce que fais chacun de vos pelotons ou chacun de vos escadrons* ; il vous faudra choisir entre « paré au combat » (avance lente mais prudente), ou « en manœuvre » (avance rapide mais vulnérable) ; ne détaillez pas la tactique de combat ni les multiples possibilités au cas-où il arriverait tel ou tel évènement, contentez-vous de fixer un objectif et de faire le choix évoqué précédemment.
* Si vous oubliez de préciser ce que doit faire un peloton, il agira sans ordre et fera ce que son officier pense le mieux.