[LGBT] La Grosse Bagarre Transeuropéenne

Sa Majesté Impériale l'empereur Alexandre II Nicolaïévitch de Russie est au regret de constater que les troubles séditieux dans la partie ukrainienne de l'empire ont eu lieu avec le concours de fonds venus de l'Empire Ottoman. Des aveux signés de certains leaders factieux ont été obtenus avant leur exécution.
Soucieux de préserver la paix et de passer pour cela par la voix diplomatique, nous réclamons au Sultan le versement de 20% des revenus (PI) ottomans pour les trois prochains semestres. Nous laissons deux jours (jeudi 6 février, 17h) au Sultan pour répondre à notre requête. Dans le cas contraire, Sa Majesté Impériale prendra les décisions qui s'imposent pour que l'Empire russe retrouve son honneur.

Qu'il soit su que l'Empire russe a privilégié la diplomatie à la guerre.

Sa Majesté Impériale l'empereur Alexandre II Nicolaïévitch de Russie note avec regret que le Sultan Mehmed Selim a choisi la voie de la guerre, au mépris des intérêts de son peuple. Reconnaissons-lui au moins une certaine constance dans ses actions. À partir d'aujourd'hui, 20h31, Sa Majesté Impériale considère être en état de guerre contre l'Empire ottoman jusqu'à effacement - de manière juste et proportionnée - du préjudice subi.

Nous ne commenterons pas les arguments vaseux du Sultan ottoman nous ayant été transmis. Lorsqu'on agite le spectre de la guerre, il faut s'attendre à le voir se matérialiser.

Sa gracieuse Majesté, Victoria de Hanovre, Reine d'Angleterre, d'Ecosse et d'Irlande, Souveraine des Indes et des colonies de la couronne

Nous invitons l'Empire Russe et la Sublime Porte ainsi que leurs alliées à une table de discussion afin de sauvegarder la paix dans une région trop souvent déstabilisé par des crises.

Si par le passé, nous ne sommes pas intervenus dans le cadre de la dernière crise qui a débouché sur une longue guerre sanglante. Nous ne laisseront pas cette nouvelle crise explosé sans que les acteurs ne se soient parlé en terrain neutre.

L'Empereur Napoléon III confirme très officiellement qu'il se joindra à l'Empire Ottoman dans cette guerre pour la défense de son territoire. Nous n'abandonnerons pas nos alliés au moment où ils ont le plus besoin de nous !

Après le retour des observateurs Allemands de la conférence de Londres de nombreux témoins affirme avoir entendu des rires dans le palais Impérial de Berlin

Nous Wilhelm Ier empereur des allemands tenons à nous exprimer à toutes les cours d'europe suite aux récents événements etant survenu.

Premièrement, concernant le conflit opposant l'empire de Russie et l'empire ottoman nous tenons à dire que nous ne sommes ni naïfs ni dupes, les révoltes ukrainiennes qu'elles soient le fait d'actions subversives ottomanes ou non, sont une parfaite excuses pour le Tsar pour assouvir son désir de prendre l'ascendant  sur la Sublime porte. Ceci dit nous tenons à dire que nous y voyons clair et que nous pensons que le moindre événement aurait poussé à cette guerre.
Sachez en tout cas que lorsque vous aurez assez combattu et souhaiterez la paix, l'Empire allemand serait ravis de servir de médiateur lors d'une conférence.
Le Kaiser se retient de rire à ces mots.

En parlant de cela, nous nous devons de révéler à quel point la conférence de Londres a été une vaste blague. Les britanniques ont été de piètres organisateurs, saisissant la moindre occasion d'insulter ses invités et de leur manquer de respect. Que ce soit par le comportement ou par la paroles. Confondant conseil et menace les Anglais n'ont cessé de rabrouer chacun des ambassadeurs présent, qu'il soit français, russe ou ottoman. Et nous n'avons pas encore parler de leur proposition... quelle ignominie. Ils se gargarisaient sans cesse de victoire lointaines et passées dans des guerres qu'ils étaient loin de mener seul, voir de mener tout court. Leur "mediation" odieuse consistait à voler l'un des protagonistes en affaiblissant l'autre sous le couvert de remboursement d'une soi disant enquête que les touristes britanniques devaient mener. Ils ont été tellement odieux que j'ai du faire répéter mes diplomates plusieurs fois, pensant qu'ils me faisairnt une farce. Nous constatons qu'à force de se tourner vers la mer, le Royaume Uni n'a plus les pieds sur terres.

Enfin, notre dernier point concerne les accrochage entre la Hongrie et l'Autriche. Malgré la conference de Cracovie nous pensons avoir été les seuls à nous enquérir de la situation et c'est fort dommageable. Les russes et les anglais n'ont pas tenu leur engagement montrant encore une fois leur étrange danse diplomatique. Nous en profitons donc pour assurer publiquement que nous souhaitons la stabilité de l'europe centrale et sommes prêt à servir de médiateur pour une quelconque crise, la paix régnera.

L'empereur des Allemands parle vrai. Nous le remercions pour sa proposition de médiation.
Néanmoins, il ne devrait pas se gargariser ainsi d'être le seul à vouloir assurer la stabilité de l'Europe centrale. Le Tsar n'a pas attendu un seul instant pour interroger l'Autriche sur les escarmouches avec la Hongrie. Des escarmouches qui en sont restées à cette étape et que nous n'avons effectivement pas estimé être une menace pour la stabilité européenne. D'autant plus que nous ne souhaitons pas trop interférer avec le juste droit autrichien à décider de sa politique extérieure.

Si lr Royaume Uni n'apprend le respect que quand on lui en manque nous n'allons certainement pas faire des excuses. Nous en ferons quand vous respecterez vos égaux et leur aurez fait des excuses.

Si vous jugez bon de briser notre pacte de non agression en mettant en place un blocus "pacifique" nous n'hésiterons pas à répliquer également.

Je vous dirais simplement qu'avec votre temps d'existence vous devriez bien mieux connaître le respect du jeu politique que notre féderation tout juste née.

Carte:

Le blocus "pacifique" anglais et les ambitions du Kaiser :
Comme annoncé quelques jours plus tôt, la flotte britannique ne tarda pas à imposer un blocus militaire sur l'Allemagne, empêchant tout navire marchant souhaitant jeter l'ancre sur le territoire de passer. Le Kaiser d'Allemagne, loin de se laisser impressionner, chargea l'amiral Ludwig von Wittich et le contre-amiral Gerhart von Hussel de préparer ses navires afin de forcer le blocus. Après quelques semaines de blocus, la flotte allemande quitta le port de Wilhelmshaven afin d'escorter un important convoi de marchandise en direction de la Suède. Allemands et britanniques se firent face à quelques milles nautiques des côtes allemandes. Von Wittich avaient apporté avec lui l'intégralité des forces navales allemandes, totalisant deux flottes à opposer à la flotte anglaise. Des deux côtés, les ordres étaient de ne pas ouvrir le feu les premiers afin d'éviter une escalade en guerre ouverte. La flotte allemande avançait de plus en plus, et se trouva rapidement à porter des batteries britanniques. Alors que le choc semblait inévitable étant donné que Von Wittich n'avait pas l'intention de s'arrêter, les navires anglais virèrent de bord au dernier moment, laissant passer les convois allemands. L'amiral de Sa Majesté Sir Archibald Montgomery-Massingberd prit en effet la décision d'éviter la guerre, et brisa le blocus. La paix était sauvée, mais les relations anglo-allemandes étaient désormais bien entachées par cette incident.

La bataille de Palerme :
Le roi d'Italie Vittorio Emanuele Ier ne perdit pas de temps avec la question sicilienne. Après avoir commandé la levée de nouvelles armées, il chargea le maréchal Luigi Cardona de s'occuper des rebelles et de rétablir l'ordre en Sicile. Accompagné des soldats du général Giacomo Medici, il marcha sur Palerme, dernier bastion véritablement défendu par l'armée sicilienne. Le combat fut rude mais les forces italiennes étaient nettement supérieurs en nombre comme en qualité. Au bout de 3 semaines de sièges et après plusieurs assauts meurtriers, le roi de Sicile abdiqua définitivement, et partit en exil en France. L'Italie était enfin unie après un an de conflit. Enfin unie si l'on ne prend pas en compte le Piémont et la Sardaigne sous domination française évidemment.

L'invasion de la Roumanie, la bataille des plaines de Bessarabie :
Le Tsar Alexandre II mis ses menaces de guerre à exécution. Rassemblant une immense armée d'à peu près 700 000 d'hommes il marcha sur la Roumanie, alors protectorat ottoman. Mehmet Selim avait de son côté rassemblé son armée à une cinquantaine de kilomètres de la frontière avec l'empire russe. Grâce au soutien de ses dominions, l'armée ottomane était à peu de choses prêt aussi nombreuse que l'armée russe, même si légèrement inférieure en qualité. Après s'être observé pendant plusieurs jours, les deux armées se rencontrèrent dans les plaines de Bessarabie. Ouvrant les hostilités, les forces d'élite du maréchal russe Gavriil Alexandrovitch Ignatiev se portèrent au contact avec les meilleurs soldats ottomans, les "Janissaires" (nom donné en l'honneur des ancien soldats d'élite déchus de l'empire) commandé par le général Abdoul Ibn Ahad. Composés de vétérans du siège de Sébastopol des deux côtés, les pertes furent nombreuses mais aucun des deux camps ne réussi à prendre l'avantage sur l'autre. Parallèlement à cette affrontement, un détachement serbe fut pris à partie par l'armée du général russe Nikolaï Bobrikov. A la grande surprise de ce dernier, ses hommes pourtant mieux équipés et mieux entraînés furent totalement écrasés par les serbes, pris d'une fougue et d'une rage sans pareil. Ce ne fut pas le cas des roumains, qui furent mis en déroute par l'armée du général Ivan Paskevitch après une charge de cavalerie ratée à cause d'une erreur de communication.
Après plusieurs heures de bataille et d'autres évènements de ce type, les forces russes durent se rendre à l'évidence : ils avaient eu les yeux plus gros que le ventre en attaquant les ottomans de front et en sous-estimant leur préparation. Ils commençaient à manquer de ravitaillement et allaient bientôt tomber à court de munition. Prenant la décision de protéger ses hommes, Gavriil Alexandrovitch Ignatiev ordonna la fin des combats et un rassemblement plus en arrière. Les russes battirent donc en retraite de manière ordonnée, n'occasionnant pas de pertes supplémentaires. Mehmet Selim avait gagné cette première bataille, mais l'armée russe était toujours présente dans le nord de la Roumanie et des renforts en provenance de Moscou étaient sûrement en route, alors que du côté ottoman, aucune des troupes françaises promises n'étaient en vu...

Classements du tour :

Classement économique :

1) France
2) Royaume-Uni
3) Allemagne
4) Italie

Classement militaire :

1) Russie
2) Allemagne
3) France
4) Royaume-Uni

Tour 4 - Premier semestre 1872

Carte:

Les pêcheurs anglais sous pression :

Après les tensions du semestre précédent, le Kaiser d'Allemagne pris la décision de mettre le paquet. Ayant sorti des chantiers navals de Koenigsberg une dizaine de navires flambants neufs, l'Amiral Ludwig von Wittich pris le commandement de son immense armada afin de percer le blocus anglais. Après quelques heures de navigation, les allemands bien décidés à se farcir de l'anglais furent bien déçu de ne trouver sur leur route que quelques navires marchands irlandais et quelques pêcheurs anglais. Frustrés mais victorieux, les marins allemands se contentèrent d'arraisonner et de mettre aux arrêts un prétendu contrebandier puis de rentrer aux ports, non sans avoir vidé au préalable les soutes pleines d'excrément au large de Guernesey. Le blocus "pacifique" britannique était donc levé, les anglais se contentant de boycotter massivement les produits allemands.

La seconde offensive russe et la contre-offensive franco-ottomane :

Ayant compris son erreur les mois précédents, le Tsar décida de pleinement engager son empire contre ses ennemis. Mobilisant l'intégralité de son armée, il mis au point avec ses généraux un nouveau plan d'invasion de la Bulgarie. Les russes réussirent à aligner une armée de plus d'1 000 000 de soldats, la plus grande d'Europe. Cet impressionnant déploiement souffrait néanmoins d'importants  problèmes de ravitaillements, aggravés par les états de l'infrastructure ukrainienne. Les ottomans et leurs minions étaient retranchés derrière une ligne défensive solide, réitérant l'expérience des tranchées de Sébastopol. Les offensives russes durèrent pendant tout l'hiver sous une froid mordant, le choléra tuant presque autant de soldats russes que les balles ottomanes. L'effort était néanmoins efficaces, le nombre des assaillants prenant peu à peu l'ascendant sur les défenseurs. Fin mars, le front fut percé au niveau Braila, les arrières ottomans étant fortement compromis. Prêt à sonner la retraite générale vers une position plus facilement défendable, le salut du maréchal Abdoul Ibn Ahad lui fut apporté par une lumière au sud. A la tête d'un contingent de 300 000 hommes, l'empereur Napoléon III et son fidèle maréchal Giuseppe Garibaldi étaient enfin arrivé. Débarqués à Constantinople quelques semaines plus tôt, ils avaient hâté le pas pour soutenir leurs alliés. Comblant la brèche avec ses unités d'élites, le commandant de génie italien retourna totalement la situation. Les russes furent mis en déroute et durent abandonner leur offensive. Les armées du Tsar était exsangues, le ravitaillement manquait et le moral des hommes était au plus bas. De manière très ironique, la débâcle de l'armée russe fut extrêmement pénible à cause des troupes de harcèlement françaises. Le front se stabilisa finalement au niveau des plaines ukrainiennes, les deux armées devant se reposer après les coûteuses offensives de ce début d'année. L'économie russe était en récession et la lassitude gagnait rapidement la population. Les évènements de Galicie n'aidèrent également pas à rassurer le gouvernement du Tsar...

La naissance d'une nouvelle république :

Les tension ne firent qu'augmenter en intensité à la frontière austro-hongroise. Un incident mis le feu aux poudres en mai, peu après la stabilisation du front russo-ottoman. Alors qu'un nouvel accrochage de frontière se produisit en Galicie, la population locale se souleva de manière étonnamment coordonnée contre l'empereur d'Autriche. Les armées locales se mutinèrent et des affrontements éclatèrent partout. Les armées autrichiennes furent dépassées par ces évènements, et se regroupèrent en catastrophe à Vienne. La République de Galicie fut proclamée dans la foulée, son indépendance instantanément garantie par la République de Hongrie, qui assurait sans vraiment chercher à convaincre qu'elle n'avait joué aucun rôle dans ces évènements. L'empereur François-Joseph Ier lança de multiple appels à l'aide, sommant le Royaume-Uni et la Russie de lui venir en aide, ainsi que son allié historique italien.

Nouvelles diverses :

Le Luxembourg devint un protectorat allemand en échange de nombreux avantages fiscaux sur son sol. La Suisse et la France signèrent une alliance militaire en février. Le Portugal devint un protectorat britannique. Des rumeurs font état du développement d'une arme surpuissante au Monténégro, mais il est possible que ce ne soit que les racontars d'un ivrogne de taverne.

Classements du tour :

Classement économique :

1) France
2) Royaume-Uni
3) Allemagne
4) Italie

Classement militaire :

1) Allemagne
2) Russie
3) France
4) Royaume-Uni

Plus grande puissance terrestre : Russie
Plus grande puissance maritime : Allemagne

Nous Wilhelm Ier empereur des Allemands sommes heureux de voir la Reine Victoria et son gouvernement abandonner l'idée ridicule du blocus pacifique. Nos patrouilles sont revenus nous rendre compte que plus aucune flotte britannique ne menaçait le commerce Allemand, nous voyons cela comme une preuve de raison qui arrive enfin de leur part.

Le sultan Mehmed Selim annonce le renouvellement du traité de non-agression liant l'Empire Ottoman au Royaume d'Italie, et ce pour deux ans. Il durera jusqu'au premier semestre 1874 (tour 8) inclus.

En outre, suite à la série de victoires obtenues depuis un an par les forces franco-ottomanes contre l'armée impériale russe, le sultan Mehmed Selim, en accord avec l'empereur Napoléon III, propose au tsar Alexandre II Nicolaïévitch l'ouverture rapide d'une conférence de paix afin de mettre fin à ce conflit.

Enfin, le sultan Mehmed Selim souhaite faire part de son inquiétude quant à la situation en Europe Centrale et ce qui est déjà surnommé comme "la crise de Cracovie" dans les milieux diplomatiques. Cette situation intervenant aux frontières de l'Empire Ottoman, il espère être convié sans délai aux conférences internationales portant sur ce sujet.

Sa Majesté Impériale Alexandre II Nicolaïévitch est prête à discuter avec la coalition franco-ottomane pour mettre fin à la guerre.

En marge de la Conférence de Vienne, le Président du Conseil Camillo Benso, conte di Cavour, en compagnie du Roi d'Italie Vittorio Emanuele II est fier de pouvoir annoncer au monde entier les traités suivants:

Avec la France, concernant la restitution des Provinces italiennes appartenant à l'ancien Royaume de Piémont-Sardaigne:

Spoiler:

Le second traité est celui annoncé par l'Empire Ottoman, où le Roi est également fier de pouvoir apposer sa signature sur le renouvellement de ce traité d'amitié et de non agression entre les deux puissances.

Le Roi et le Président du Conseil signe:

Napoléon III signe le traité avec l'Italie.

Nous, Wilhelm Ier annonçons que conformément à ce qui a été annoncé à la conférence de Vienne, qui fut un échec, nous allons déployer nos armées en Bohème pour protéger les Allemands. Si une quelconque armée essaye de nous en empêcher nous repliquerons immédiatement par la force.

Par ces temps obscures, l'unité de la nation allemande est un phare guidant les germains. Que tous sachent que nous n'abandonnerons pas notre peuple aux affres de la guerre qui menace en Autriche.

L'empereur François-Joseph d'Autriche tient à prévenir que la moindre armée allemande qui franchira les Sudètes sera considérée comme ennemie et que l'état de guerre sera déclenché contre l'Allemagne. A travers des mensonges rapportés par son chien Bismarck, le Kaiser ne souhaite qu'étendre son hégémonie en Europe centrale.
Que tous les gouvernements européens sachent que la seule guerre qui menace d'éclater en Autriche est celle apportée par les allemands. Notre armée a beau être affaiblie, chaque kilomètre de terrain gagné se fera au pris de la vie de centaines de soldats du Reich.

En ce jour, le sultan Mehmed Selim, l'empereur Napoléon III et le tsar Alexandre II Nicolaïévitch se sont retrouvés à Bucarest pour la ratification d'un traité de paix mettant fin à cette terrible guerre.

Traité de Bucarest (1872) a écrit:

Article 1 - La paix est immédiatement proclamée entre l'Empire Ottoman, l'Empire Français et l'Empire Russe.

Article 2 - L'Empire Russe libère sans délai le territoire ukrainien à l'exception de la péninsule de Crimée. L'Ukraine devient un protectorat de l'Empire Ottoman.

Article 3 - L'Empire Russe doit démilitariser immédiatement l'ensemble de la péninsule de Crimée. Aucune flotte militaire russe ne pourra être mise à l'eau en mer Noire sans avoir préalablement reçu l'accord exprès de l'Empire Ottoman.

Article 4 - La flotte militaire russe se trouvant dans le port de Sébastopol à la date de ratification de ce traité sera escortée par les flottes coalisées jusqu'en mer Méditerranée, où elle sera alors laissée libre.

Article 5 - L'Empire Ottoman octroie à l'Empire Russe, à titre d'indemnités pour les pertes territoriales en Ukraine, 10% de ses revenus pour l'année à venir (2 tours).

Article 6 - L'Empire Ottoman et l'Empire Russe conviennent d'un accord de non-agression pour l'année à venir (2 tours), prévalant sur toute situation passée ou à naître.

Le sultan Mehmed Selim a exprimé sa reconnaissance éternelle à l'empereur Napoléon III et à l'Empire Français pour son soutien dans cette guerre. Le corps expéditionnaire français et toutes les armées et équipages serbes, roumains, grecs et tunisiens sont conviés à Constantinople pour participer au Défilé de la Victoire.

Par la présente annonce, François-Joseph d'Autriche annonce céder à la République de Hongrie une parties des terres autrichiennes de la côtes Adriatique afin de lui permettre d'avoir un accès à la mer. En échange, la République de Hongrie versera une compensation financière assortie d'un traité de non-agression d'un durée indéterminée et la reconnaissance mutuelles des frontières actuelles. L'échange s'effectuera dans les 6 mois à venir.

Beregil a écrit:

En ce jour, le sultan Mehmed Selim, l'empereur Napoléon III et le tsar Alexandre II Nicolaïévitch se sont retrouvés à Bucarest pour la ratification d'un traité de paix mettant fin à cette terrible guerre.

Traité de Bucarest (1872) a écrit:

Article 1 - La paix est immédiatement proclamée entre l'Empire Ottoman, l'Empire Français et l'Empire Russe.

Article 2 - L'Empire Russe libère sans délai le territoire ukrainien à l'exception de la péninsule de Crimée. L'Ukraine devient un protectorat de l'Empire Ottoman.

Article 3 - L'Empire Russe doit démilitariser immédiatement l'ensemble de la péninsule de Crimée. Aucune flotte militaire russe ne pourra être mise à l'eau en mer Noire sans avoir préalablement reçu l'accord exprès de l'Empire Ottoman.

Article 4 - La flotte militaire russe se trouvant dans le port de Sébastopol à la date de ratification de ce traité sera escortée par les flottes coalisées jusqu'en mer Méditerranée, où elle sera alors laissée libre.

Article 5 - L'Empire Ottoman octroie à l'Empire Russe, à titre d'indemnités pour les pertes territoriales en Ukraine, 10% de ses revenus pour l'année à venir (2 tours).

Article 6 - L'Empire Ottoman et l'Empire Russe conviennent d'un accord de non-agression pour l'année à venir (2 tours), prévalant sur toute situation passée ou à naître.

Le sultan Mehmed Selim a exprimé sa reconnaissance éternelle à l'empereur Napoléon III et à l'Empire Français pour son soutien dans cette guerre. Le corps expéditionnaire français et toutes les armées et équipages serbes, roumains, grecs et tunisiens sont conviés à Constantinople pour participer au Défilé de la Victoire.

Sa Majesté impériale le tsar Alexandre II Nicolaïévitch appose sa signature sur le traité de Bucarest.

Sa Majesté Isabelle II, Reine d'Espagne, annonce la signature d'un traité avec le Royaume-Uni portant sur la location de l'Île d'Ibiza pour une durée gardée secrète, moyennant la signature d'un Pacte de Non-Agression et d'une compensation financière.