[LGBT] La Grosse Bagarre Transeuropéenne

l'Ambassadeur de sa Majesté Victoria appose sa signature en bas du traité

Carte:

La seconde guerre austro-prussienne :

Comme annoncé à la conférence de Vienne, le Kaiser lança son armée à travers les frontières autrichiennes afin de sécuriser le territoire bohémien. François-Joseph d'Autriche avait déjà déployé ses armées en protections derrière les Sudètes, mais la différence de nombre et de qualité était flagrante. En à peine 1 semaine, les autrichiens étaient en repli organisé, laissant les allemand prendre la moitié de la Bohème. Respectant sa parole, la reine Victoria avait dépêché un corps expéditionnaire conséquent pour soutenir l'Autriche. Alors que les austro-anglais s'apprêtaient à lancer une contre-offensive en profitant de l'avantage du nombre et que le maréchal allemand Helmuth Karl Bernhard von Motlke savait que la victoire ne serait pas acquise facilement, une funeste nouvelle parvint de Vienne : une importante armée galicienne - bien trop importante pour un si petit pays - avait franchie la frontière et fonçait sur Vienne. L'armée autrichienne fit donc demi-tour, les anglais restant seuls pour faire rempart à l'ogre allemand. Durant 1 mois, les anglais repoussèrent les assauts allemands, perdant méthodiquement du terrain. Cependant, l'infériorité numérique était un fardeau trop lourd à supporter, et l'arrivée sur le champ de bataille de l'armée du général Julius von Bose prit totalement de flanc la Colonial Army britannique. L'armée du maréchal Sir Archibald Montgomery-Massingberd sonna donc la retraite, ne pouvant rien faire de plus pour sauver ses camarades condamnés. La Colonial Army n'était plus, même si elle avait chèrement vendu sa peau face aux allemands. Ces derniers durent d'ailleurs stopper leur avancée pour la saison, le froid hivernal ainsi que les pertes nécessitants du temps pour être surmontés.
Plus au sud, la catastrophe fut évitée de justesse grâce à l'intervention providentielle d'un acteur voisin...

Vittorio Emanuele et la prise de position de l'Italie dans le jeu des grandes puissances :

Inquiet par les agissements à l'encontre de son allié autrichien, le roi d'Italie tergiversa plusieurs mois quant à la posture à adopter. Devait-il aider les autrichiens et déclarer la guerre à l'Allemagne ? Ou devait-il au contraire occuper militairement le Trentin et la Slovénie afin de protéger les populations italophones ? Finalement, Vittorio Emanuele fit le troisième choix, celui qui le placerait au niveau des plus grandes puissances du monde.
Deux armées italiennes franchirent la frontière autrichienne et firent route vers Vienne. alors que la bataille faisait rage entre autrichiens et galiciens, le maréchal Luigi Cardona se plaça entre les deux armées. Il envoya un messager aux galiciens, leur ordonnant de retourner sur leurs positions et de cesser les combats, François-Joseph ayant cédé aux propositions de ses ministres et de l'aristocratie et ayant accepté de placer l'Empire sous protectorat italien, abandonnant de ce fait son titre d'empereur. Les galiciens, se sachant affaiblis et inférieurs aux italiens, acceptèrent de reculer et posèrent leur camp à une dizaine de kilomètres de la capitale autrichienne.
Partout en Italie et en Autriche, les gens félicitèrent le roi d'Italie pour son intervention, certains appelant même à proclamer l'Empire Italie !

Autres informations :

Dans l'empire ottoman, le triomphe fut total ! Le Sultan organisa le triomphe le plus somptueux de l'histoire de l'histoire. La semaine fut déclarée semaine nationale, et les armées françaises, ottomanes et des protectorats défilèrent pendant plusieurs jours dans la capitale Constantinople. Napoléon III fut l'invité d'honneur des festivités, secondé par les souverains de Roumanie, de Grèce, de Serbie et de Tunisie. La Roumanie, afin de réparer les dégâts subits pendant l'occupation russe, fut particulièrement récompensée par le rattachement des territoires roumanophones encore sous le joug de l'Empire Ottoman. Napoléon III eu même le privilège de faire une balade à dos d'éléphants avec ses généraux.

Le Monténégro annonce avoir capturé des espions étrangers qui tentaient de dérober des informations top secrètes ! Malheureusement, les espions se sont suicidés avant de parler.

Le Tsar annonce une ère de prospérité après la guerre malgré la perte de l'Ukraine, et souhaite développer économiquement les territoires nationaux.

Classements du tour :

Classement économique :

1) France
2) Allemagne
3) Royaume-Uni
4) Italie

Classement militaire :

1) Italie
1) Allemagne
3) Russie
4) France

Plus grande puissance terrestre : Italie
Plus grande puissance maritime : Allemagne

Déclaration publique de la République de Hongrie :

Certaines personnes dont nous tairons les noms sont récemment venus nous accuser de félonie et de trahison. Partout, les gens disent que l'armée galicienne n'est en réalité que l'armée hongroise déguisée. Nous souhaitons faire taire les ragots une bonne fois pour toute. L'armée galicienne ne comporte pas un seul soldat hongrois. Nous n'avons fait qu'envoyer des conseillers militaires et des armes pour nos frères républicains, comme tout bon allié qui se respecte. Que le prochain qui souhaite nous accuser le fasse publiquement plutôt qu'avec fourberie la prochaine fois !

Nous Wilhelm Ier, Empereur des allemands avons plusieurs choses à déclarer.

Tout d'abord, et en juste réponse à la missive hongroise. Nous souhaitons porter aux regards de tous une missive qui nous a été apporté de la part de la République de Hongrie et qui implique l'engagement de ses troupes au service de la Galicie, rompant ainsi de manière évidente le pacte de non agression établie avec l'Autriche.

Republique de Hongrie a écrit:

"Puissant Kaiser,
Si vous comptez toujours envahir la Bohème, nous pourrions vous soutenir sans briser notre pacte de non-agression en utilisant la Galicie qui, elle, se trouve totalement hors de cet accord
Veuillez garder cette information UNIQUEMENT pour vous s'il vous plaît, si vous la partagez à d'autres gouvernements, notre participation pourrait être compromise.
Nos "volontaires" sont déjà stationnés en Galicie, nous lancerons l'assaut en même temps que les troupes allemandes."

Ainsi donc, si nous avons respecter notre parole de placer nos troupes en Bohème, il semble qu'il y ai eu confusion car nous savions que la Galicie arrivait et nous voulons réellement protéger les allemands sudètes. Nous aurions préféré éviter de combattre les défenseurs de l'Autriche.

En conséquence de ces informations, nous Kaiser des allemands avons pris la décision dans un premier temps de conclure un accord de paix avec l'Autriche et ses défenseurs et dans un second temps d'entreprendre l'éradication des états séditieux de l'Autriche. Nous comptons donc aider à partir de maintenant l'Autriche dans sa réunification.

Concernant la paix de Vienne, voici ces termes:

Paix de Vienne a écrit:

-Article premier: Le Royaume d'Italie, Le Royaume d'Autriche, Le Royaume Uni et l'empire allemand cessent les combats entre eux et signent un pacte de non agression d'une durée de 1 an et demi. (Tour 8 inclus)

-Article Second: Le Royaume d'Autriche cède à l'empire Allemand la Bohème en deux temps.
    -Alinéa Premier: Les sudètes sont immédiatement intégré à l'empire Allemand contre la libération des territoires Autrichien occupés par les troupes germaniques.
    -Alinéa Second: Le reste de la Bohème sera cédé à l'empire Allemand à la suite de la guerre de Réunification Autrichienne, une guerre contre la Galicie et la Hongrie, lorsque l'une de ces deux nations aura capitulé.

-Article Troisième: Les signataires du traité déclare la guerre à la Galicie, si ce n'est déjà fait, et à la Hongrie jusqu'à capitulation de ces derniers et réintégration de leur terre au Royaume d'Autriche.

-Article Quatrième: L'empire Allemand engage au minimum 300 000 hommes de ses armées pour combattre au côté des protecteurs Autrichiens contre la Hongrie et la Galicie.

-Articles Cinquième: L'empire Allemand n'exigera aucune compensation après la Guerre de Réunification autrichienne.

Wilhelm Ier Signe, déclarant ainsi la guerre à la Hongrie et à la Galicie.

Le roi d'Autriche François-Joseph ratifie le traité et annonce par la même occasion son abdication, ayant perdu la confiance de son peuple et de son gouvernement. Le trône est pour le moment vacant, en attendant la décision de la noblesse autrichienne et du roi d'Italie.

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Le Conseil des Directeurs de la République de Hongrie souhaite répondre au Kaiser des allemands.

Discours pour la Défense de la Patrie a écrit:

Citoyennes, citoyens,
Comme vous l'avez récemment entendu, le chien hargneux qui sert d'empereur aux allemands a décidé de justifier son expansionnisme en insultant la Hongrie et en lui déclarant la guerre. La République continue de soutenir ce qu'elle a dit précédemment : AUCUN soldat hongrois n'était présent au sein des armées galiciennes. Comble de l'arrogance, Wilhelm le fou espère réintégrer l'entièreté du territoire de la république au sein de la ruine autrichienne. Rassurez-vous mes concitoyens : si les deux plus puissantes armées du monde (car nous espérons que la prestigieuse Reine Victoria ne s'abaissera pas à servir de chair à canon pour les teutons) ont besoin de s'allier pour nous faire tomber, c'est signe que nos idéaux menacent leur despotisme ! Armez vous tous, nous sauront accueillir le roi d'Italie et son berger allemand de Kaiser ! Si la République doit tomber sous les balles de nos ennemis, nous ferons en sorte que le prix à payer pour cela ait des répercussions pour les années à venir ! AUX ARMES ! SUS AUX CHIENS !

Sa Majesté impériale le Tsar Alexandre II Nicolaïévitch et le sultan Mehmed Selim annoncent l'extension de l'accord de non-aggression mis en place entre leurs deux nations lors de Traité de Bucarest de 1872 pour une année supplémentaire (jusqu'au Tour 8 inclus) face aux évènements déstabilisant actuellement l'Europe centrale.

Nous, Vittorio Emanuele II, annonçons notre consternation ainsi que notre vive condamnation des agissements hongrois, dévoilés au monde entier à ce jour. Se servir ainsi d'une autre nation pour assouvir ses dessins et contourner les engagements pris il y a de cela même pas quelques mois constitue une honte, qui couvre tout le bon peuple hongrois de ce déshonneur.

Nous remercions l'honnêteté du Kaiser dans cette affaire, et annonçons donc, nous aussi, prendre les mesures nécessaires pour non seulement laver cette infamie, mais également aider notre allié autrichien dans le besoin.

Ainsi, par cette déclaration, nous signons le traité de Vienne, ainsi que la déclaration officielle de guerre à la Hongrie ainsi qu'à la Galicie. Puisse Dieu nous bénir.

Le sultan confirme la ratification d'une extension de l'accord de non-agression avec le tsar Alexandre II Nicolaïévitch.

Le sultan Mehmed Selim fait également part de son inquiétude quant à l'idée de chercher à rattacher l'entièreté de la République de Hongrie au Royaume d'Autriche, qui n'est plus un empire et qui a perdu depuis longtemps tout contrôle sur ce territoire - comme sur bien d'autres. Les deux ont d'ailleurs mutuellement reconnu leurs frontières respectives il y a quelques mois de cela.

Le sultan avait annoncé précédemment aux ambassadeurs italiens qu'il ferait le nécessaire pour mettre fin à toute ingérence hongroise en Galicie ou en Autriche. C'est aujourd'hui chose faite. Les directeurs hongrois ont sollicité l'aide du sultan, et celui-ci a obtenu de leur part la rupture de tout lien diplomatique entre les Républiques de Hongrie et de Galicie et la fin de tout soutien, de quelque nature que ce soit, de la première envers la seconde. En échange de cet engagement, dont Constantinople s'assurera de la bonne tenue, le sultan Mehmed Selim a accordé sa protection à la République de Hongrie. Quant à savoir de quelle façon ce soutien a pu se manifester jusqu'à présent, les directeurs hongrois ont reconnu avoir conseillé et équipé la République de Galicie, mais la seule missive présentée par l'ambassadeur allemand ne saurait constituer une preuve tangible d'un engagement militaire clair et direct de la Hongrie dans ce conflit. Il en découle que l'Accord austro-hongrois du premier semestre 1872 est de fait toujours valable.

La République de Hongrie est, à compter de ce jour, un protectorat de l'Empire Ottoman. Le sultan Mehmed Selim incite tous ceux qui prévoyaient de s'en prendre à cette nation de renoncer à leurs projets, car cela constituera une agression directe envers Constantinople et aura des conséquences. Cela étant dit, le sultan indique que ni l'Empire Ottoman ni aucun des protectorats placés sous son influence ne s'opposeront à la tenue d'opérations militaires d'autres grandes puissance contre la République de Galicie, que ce soit pour en faire un protectorat, pour la rattacher au Royaume d'Autriche ou à tout autre pays européen. De cette façon, l'article deux alinéa second de la Paix de Vienne pourra tout de même trouver une exécution.

Dans la mesure où les combats n'ont pour l'heure impliqué que l'Autriche, ses protecteurs, l'Allemagne et la Galicie, le sultan espère que la guerre ne s'étendra pas en Hongrie et n'impliquera pas une escalade. La seule chose qui se dresse aujourd'hui contre la paix en Europe est la guerre civile austro-galicienne, qui, à l'évidence, ne devrait guère durer maintenant. Fidèle à sa volonté de dialogue instaurée depuis des années, et compte-tenu de l'accord de non-agression qui unit l'Empire Ottoman et le Royaume d'Italie ainsi que leurs protectorats respectifs, Mehmed Selim propose au roi d'Italie une rencontre bilatérale pour tourner définitivement la page des tensions entre les nations que nous protégeons.

Le Conseil des Directeurs de la République de Hongrie confirme son statut de protectorat de l'Empire Ottoman. Nous ne réagirons pas aux récentes accusations infondés et stupides du roi d'Italie afin de ne pas mettre dans l'embarras notre nouveau protecteur.

L'Ambassadeur de sa Majesté la Reine Victoria d'Angleterre, d’Écosse et du Canada, signe le traité de paix avec le Reich allemand.

En vertu des accords de garantie qui nous lie à l'Autriche, nous continuerons donc la lutte a ces cotés contre ces ennemies.

Jugeant que bien de mauvaises choses sont arrivées en Europe depuis que les souverains, encouragés par l'idéologie délétère des Lumières, affectent d'avancer en voilant leurs propos et en couvrant leurs intentions de demi-mensonges, nous nous annonçons soucieux de l'expansionnisme de l'Empire Ottoman.

Cet état dont on ne connait que trop bien le manque de mesure et de principes, aujourd'hui protecteur d'une république et promoteur de principes politiques rétrogrades, en partie responsable du dépècement d'un vieil empire qui agissait comme rempart face aux forces républicaines, sera incessamment sous peu livré au feu de gens dont nous louons la résolution.

Nous nous joindrons donc à leur attaque.

Carte:

La cueillette aux champignons de Napoléon III :

En ce début d'année 1873, l'hiver fut parmi l'un des plus doux du siècle. Profitant du prolongement de l'automne, Napoléon III et son état-major annoncèrent la tenu d'une grande chasse aux champignons pour toute son armée et sa population ! Les célébrations furent nombreuses, les français ignorant totalement le reste de l'Europe en train de s'enflammer.

L'escalade de la guerre austro-allemande et l'entrée en guerre de l'Espagne :

Comme annoncé en début d'année, une coalition comportant l'Allemagne et l'Italie ainsi que leurs protectorats respectifs se monta contre la Hongrie, défendue par son nouveau protecteur l'Empire Ottoman. Un autre acteur entra en scène, l'Espagne. La reine Isabel II envoya une armée aider les italiens, à la grande surprise de ces derniers qui n'étaient pas aux courant et qui faillirent ouvrir le feu sur ces arrivants surprises. Les espagnols débarquèrent également en Tunisie et se défirent facilement des garnisons locales, ne pouvant cependant pas mettre la main sur la flotte tunisienne qui se réfugia en Grèce.

En Hongrie, les hongro-ottomans prirent rapidement position sur les lignes de défenses au nord du pays. En face d'eux, une armée coalisée composées d'italiens, d'autrichiens, d'anglais et d'espagnols se préparaitt à lancer un assaut général tout le long de la frontière austro-hongroise. Les troupes galiciennes qui faisaient le siège de Vienne avaient rapidement décampé en voyant arriver l'armée allemande au loin, ce qui avait accéléré le déploiement du dispositif coalisé. Elles furent cependant victimes d'une bien mauvaise surprise en rentrant au pays...

Les interventions allemandes et russes en Galicie :

Profitant de l'absence totale de troupe hormis quelques garnisons et arguant la protection des populations, plusieurs armées russes pénétrèrent en Galicie afin de se saisir du territoire et avaient balayées l'armée galicienne en repli. Proclamant un nouveau Royaume de Pologne comprenant les territoires polonais de l'empire ainsi que la Galicie, un roi de Pologne fut rapidement couronné et un protectorat russe fut mis en place. La Galicie n'en fit cependant pas partie très longtemps, les troupes russes s'étant retirées instantanément de la région en voyant arriver les troupes du Kaiser au loin, manifestement prêtes à en découdre. En réponse à cette proclamation l'Allemagne créa elle aussi un Royaume de Pologne, créant de facto deux royaumes pour une seule couronne. Des deux côtés de la frontière germano-russes les polonais étaient en liesse, même si la question de la légitimité des deux royaumes commençait déjà à être soulevée de part et d'autre.

La campagne de Hongrie :

L'assaut fut lancé au milieu du mois de février. Pilonnant les positions des défenseurs, les coalisés prirent l'avantage pendant les premières semaines de la guerre. Levées populaires italiennes et hongroises s'étripèrent dans les faubourgs de Györ sous une pluie d'obus en provenance des deux camps. Les armées régulières entrèrent en jeu également, se rendant coup pour coup. Malgré les renforts espagnols et la conscription italienne, les coalisés restaient en supériorité numérique et avaient l'avantage du terrain. Fin mars, l'avancée coalisée fut stoppée, et ces derniers commencèrent même à perdre du terrain. Les allemands ne bougeant pas de Galicie, aucun renfort n'était à attendre. Les hongro-ottomans auraient pu pousser jusqu'à Vienne si un évènement n'était pas venu perturber la fête. Les britanniques avaient en effet dépêché leur flotte en mer Égée et après une tentative de débarquement avortée à Constantinople, ils avaient pris position en Anatolie et menaçaient l'arrière pays ottoman. Déjà au prise avec les armées grecques, roumaines et serbes, l'ajout de plusieurs armées ottomanes en provenance et Hongrie et déroutées vers l'Anatolie forcèrent les britanniques à se retirer le long de la côte. Le front est désormais stabilité en Cilicie, les tuniques rouges se ravitaillant depuis Chypre récemment conquise.
Afin d'uniformiser son état-major et de coordonner plus efficacement les opérations, Vittorio-Emanuele II pris l'audacieuse décision d'annexer à son royaume ce qu'il restait de l'Autriche - la Bohème ayant été rattachée officiellement à l'Allemagne après la prise de la Galicie conformément à la Paix de Vienne. En même temps il proclama la fondation de l'Empire italien et modifia le drapeau national, remplaçant les emblème de la maison de Savoie par l'aigle impérial romain.

Autres informations :

La Suède est passée protectorat russe, le Danemark protectorat allemand et la Suisse protectorat français. La France a continué de vendre ses terres italiennes.

Le Tsar salue les populations polonaises et espère qu'une ère de prospérité s'annonce pour elles. Il est heureux d'avoir participé à allumer l'étincelle ayant donné leur autonomie aux populations polonaises de l'empire Allemand.

Cependant, nous estimons que le Kaiser nous doit des explications. La seule raison pour laquelle la Galicie n'est actuellement pas à feu et à sang et que nos généraux se sont montrés plus soucieux de préserver la paix entre nos deux nations que les vôtres. Nous estimons qu'il serait préférable que nous nous rencontrions pour mettre au clair la situation.

Classements du tour :

Classement économique :

1) Allemagne
2) France
3) Royaume-Uni
4) Italie

Classement militaire :

1) Allemagne
2) France
3) Italie
4) Ottoman

Plus grande puissance terrestre : Allemagne
Plus grande puissance maritime : Allemagne

LG :
Allemagne : 1
France : 0
Russie : 1
Ottoman : 2
Royaume-Uni : 9
Italie : 6
Espagne : 2



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Nouveau modèle d'actions (merci Kevin). Si c'est pas respecté, je lirais pas les actions.

J'ai X PI ce qui équivaut à Y PA et J'ai Z PD à ma disposition.

Actions diplomatique

Emprunt éventuel

Je fais X "Subventionner des usines" (X * 1 PA= XX  Reste: X/Y PA)
Je fais X "Subventionner les fermes" (X * 1 PA= XX  Reste: X/Y PA)
Je fais X "Industrialisation forcée" (X * 2 PA= XX  Reste: X/Y PA)
Je fais X "Fermez les usines" (X * 2 PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "Rêves coloniaux" (X * 4 PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "Exploitation coloniale" (X * 6PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "Promotion de l’Académie" (X * 2 PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "Uncle Sam needs you !" (X * 1 PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "Mobilisation générale "(X * 1 PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "Livraison de matériel lourd"(X * 1 PA= XX  Reste: X/X PA)
Je fais X "En marche soldats "(X * 1 PA= XX  Reste: X/X PA)

Description autres:
Mes armées aux repos chassent les champignons.
Mes armées en marche sont les AR trouvunnom AR Tusaoule et AR connard, elles sont en pilonnage d'artillerie.

Le sultan Mehmed Selim souhaite proposer l'ouverture d'une conférence de paix pour mettre fin à cette guerre qui n'a plus de fondement et qui n'apportera rien de bon à personne si elle venait à se poursuivre.

Le Traité de Paris de début 1873 ainsi rédigé vient clore la conférence et rétablir la paix en Europe :

Traité de Paris (début 1873) a écrit:

Article un : La paix est immédiatement rétablie entre l'Empire Ottoman, l'Empire Allemand, l'Empire d'Italie, le Royaume-Uni, le Royaume d'Espagne, l'Empire de Russie et l'ensemble de leurs protectorats.

Article deux : L'Empire d'Italie rétablit un protectorat en Autriche, incluant le Tyrol et la Galicie.

Article trois : Les territoires occupés par les forces hongro-ottomanes en Autriche, par les forces espagnoles en Tunisie et par les forces britanniques à Chypre et en Cilicie sont rendues sans dommages supplémentaires à leurs propriétaires d'avant-guerre.

Article quatre : L'Empire Ottoman libère la République de Hongrie de son statut de protectorat, le remplaçant par une alliance.

Article cinq : L'Empire Ottoman, l'Empire d'Italie, la République de Hongrie et le Royaume d'Autriche ouvriront des négociations dans le courant de l'année 1873 pour envisager le rachat de la Dalmatie et de Fiume par l'Autriche. Il ne s'agit que d'un engagement d'ouverture de négociations, et non une obligation de vente.

Article six : A l'exception de l'Empire Ottoman, les signataires du présent traité s'engagent à garantir la protection du Royaume d'Autriche contre toute attaque pendant un an. L'Empire Ottoman, quant à lui, ne garantit la protection du Royaume d'Autriche qu'à l'encontre de l'Empire Allemand pendant un an.

Article sept : Un accord de non-agression lie l'ensemble des signataires du traité de paris pour une durée de un an (jusqu'au T8 inclut).

Carte:

La Paix générale :

Suite aux accords de Paris, la paix fut sauvée in-extremis - au grand dam du Kaiser comme disent certaines mauvaises langues - et l'Autriche fut restaurée sous protectorat italien. La couronne impériale fut officiellement cédée à l'empereur d'Italie, et un roi issu de la monarchie autrichienne fut couronné à Vienne. Les frontières des différents pays furent rétablies à peu près ante bellum également.

Les principales actions qui se passèrent pendant ce semestre furent entre les deux Pologne. Les tensions avaient augmenté entre les deux rois, chacun se revendiquant comme plus légitime que l'autre. Des incidents de frontière furent même à déplorer à plusieurs endroits. Sans l'intervention de la Russie et de l'Allemagne pour rappeler à l'ordre leurs vassaux, qui sait ce qu'il aurait pu se produire. De plus en plus de polonais au sein des deux états réclamèrent également l'union des deux royaumes au sein d'une unique entité politique.

Classements du tour :

Classement économique :

1) Allemagne
2) France
3) Royaume-Uni
4) Italie et Ottoman

Classement militaire :

1) Allemagne
2) France
3) Italie
4) Ottoman

Plus grande puissance terrestre : Allemagne
Plus grande puissance maritime : Royaume-Uni

LG :

Allemagne : 0
France : 0
Russie : 0
Ottoman : 0
Royaume-Uni : 4
Italie : 1
Espagne : 0
Hongrie : 0

Les Empires Français et Allemand se sont réunis et ont trouvé une entente sur les points suivants :

Les Accords de Luxembourg a écrit:

La France est le seul état autorisé à établir un protectorat sur la Belgique. Toute invasion ou mise sous protectorat de la Belgique par une autre nation, ou toute ingérence dans sa diplomatie pour dégrader ses relations avec la France, sera considérée comme un acte de guerre par les deux pays.

L'Allemagne est le seul état autorisé à établir un protectorat sur les Pays-Bas. Toute invasion ou mise sous protectorat des Pays-Bas par une autre nation, ou toute ingérence dans sa diplomatie pour dégrader ses relations avec l'Allemagne, sera considérée comme un acte de guerre par les deux pays.

Bien entendu, la France s'engage à ne pas nuire aux intérêts de l'Allemagne aux Pays-Bas, et l'Allemagne s'engage à ne pas nuire aux intérêts de la France en Belgique.

L'Empereur Napoléon III appose sa signature

L'empire Allemand ratifie le traité et ajoute que les armées du Reich mettront immédiatement les Pays Bas sous protectorat à la moindre ingérences étrangère. Nous avons été au cours de l'année passée 5 fois la victime de diffamations. Nous prenons les mesures qui s'imposent pour contrer ceux qui nous nuisent.

L'Angleterre observe et voit les mesures prises par certains afin de contraindre des nations libres de suivre le chemin de la servitude et d'obéissance.

La Belgique, part le traité de Londres de 1839, est un état neutre dont la garantie d'indépendance a été ratifié par les grands. Les Pays-Bas ont toujours choisi la neutralité dans leurs choix diplomatiques.

Nous assurons ces deux nations de notre soutient total face à ces menaces belliqueuses du Kaiser et de Napoleon III qui refusent à ces derniers une diplomatie libre.