Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 35
Sujet: Jeux via Skype Sam 4 Jan - 11:27
Je rumine l'idée depuis longtemps, je proposerais bien d'organiser des jeux directement sur la conf skype, à l'écrit avec peut être le MJ qui pourrait parler pour lui simplifier la tâche, les autres rejoignent puis coupent leur micro.
J'ai une idée, j'ai un jeu, je suis prêt à en faire une partie sur skype, ça peut prendre deux bonnes heures en tout et nous pourrons reprendre une autre fois si c'est trop long.
Il s'agit bien d'un jeu aux règles précises, même si ces règles sont assez simples. Le jeu contient aussi une bonne partie de fourberie, de RP et de violence gratuite.
Pour un premier jeu, je propose le synopsis suivant :
Guaracha 1975, le pays ne survit plus que grâce à l'importante aide humanitaire qui lui a été allouée, malheureusement la classe politique cherche plus à assurer son propre confort et sa soif de pouvoir que l'avenir du pays. Vous êtes l'un de ses politiciens et nous sommes à la veille d'une élection présidentielle.
Aussi, je prend les inscriptions pour savoir si ça intéresserait des gens.
MKI Chipoteur de RPDC
Messages : 2406 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 32 Localisation : Caen
Sujet: Re: Jeux via Skype Sam 4 Jan - 11:38
Je veux jouer ! (mais que à partir de mardi, je peux pas les trois jours avant)
Arkantos Poujadiste à oeillères
Messages : 1860 Date d'inscription : 31/10/2011 Localisation : Dans la forêt amazonienne, au milieu des toucans et des aras.
Sujet: Re: Jeux via Skype Sam 4 Jan - 18:33
Faites gaffe, sur skype il n'y a que des nazis qui considèrent que warcraft et warhammer c'est de bons univers §
PS : Il y a un nouvel inscrit sur le forum ! Je le balance ici car il n'y a nul par autre.
MKI Chipoteur de RPDC
Messages : 2406 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 32 Localisation : Caen
Sujet: Re: Jeux via Skype Sam 4 Jan - 19:14
Super ! je propose de l'envoyer dans les geôles quelques jours pour qu'il s'habitue à l'ambiance qui règne ici !
Marvailh Canmore The Marv from Earth
Messages : 1492 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 39 Localisation : Baraque de bourgeoise dans l'arrière-pays finistérois
Sujet: Re: Jeux via Skype Sam 4 Jan - 20:42
J'en serais bien comme spectatrice histoire de voir comment ça marche et de rigoler un bon coup ! Mais idée cool !
Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
Sujet: Re: Jeux via Skype Sam 4 Jan - 22:07
Je veux bien faire bêta-testeur.
Fabian_ Le Grand Stone
Messages : 1592 Date d'inscription : 04/12/2011
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 5 Jan - 9:46
J'en suis histoire de voir comment tu vas organiser ça Oo
Aedhr Celui qui ne craignait pas Staline
Messages : 1186 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 30 Localisation : Nancy
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 5 Jan - 14:11
De même
SergueiBorav L'homme que nous aimons le plus
Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 35
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 6 Jan - 11:55
Je propose de s'en faire une séance vendredi soir prochain, début vers 20h00 donc essayez de manger avant sinon tant pis on fera une pause pour ceux qui sont obligés de manger en famille.
Je commencerai par expliquer les règles du jeu, ensuite vous créerez vos persos et nous serons partis. Je serais à l'oral (sinon trop galère), mais je posterai les éléments importants directement à l'écrit.
Marvailh Canmore The Marv from Earth
Messages : 1492 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 39 Localisation : Baraque de bourgeoise dans l'arrière-pays finistérois
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 6 Jan - 12:08
Vendredi ? Alé vazi fé sa samedi, fé pa ta put !
Arzgluf Nationaliste intégral
Messages : 998 Date d'inscription : 20/11/2011
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 6 Jan - 17:31
Je serai là du coup ! Gloria !
Hames Plus français que vous
Messages : 596 Date d'inscription : 31/10/2011 Age : 32
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 6 Jan - 21:09
Moi §§§
L'Eglise triomphera Oo
Aedhr Celui qui ne craignait pas Staline
Messages : 1186 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 30 Localisation : Nancy
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 6 Jan - 22:21
Du coup j'suis pas sur d'être là
SergueiBorav L'homme que nous aimons le plus
Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 35
Sujet: Re: Jeux via Skype Mar 7 Jan - 10:55
Bon samedi, mais début vers 18h00 alors.
18h00 - 18h30 : Arrivée de tout le monde et explication des règles A partir de la on commence à jouer, tout le monde rejoint la conf mais coupe son micro, j'écrirai les règles en même temps que je les dirais à l'oral, je répond aux questions, on cale les problèmes si on en trouve et on est partis.
Pour aperçu, le jeu commencera par la création de personnages et la distribution aléatoires de "votes". Chaque joueur disposera d'un certain nombre de votants. Il faudra ensuite creer des partis ou plusieurs joueurs pourront se regrouper et ou les votes seront fondus (c'est à dire que les joueurs ne disposeront plus de leurs votes propres, ils les donnes automatiquement aux partis). Le joueur qui a apporté le plus de votes au parti en devient le chef et décidera du choix du candidat du parti (c'est à dire si il y a des primaires, ou si tous les membres sont libres de se présenter, ou si lui même est candidat tout seul).
Ensuite nous passerons à l'élection proprement dite, tractations entre partis, truandages, échanges de bons procédés, graissage de patte, caisses noires et tout le tralala.
Le président nouvellement élu nomme un premier ministre qui lui même nomme le gouvernement, chaque poste donne accès à des actions spéciales qui seront mieux décrites lors du jeu lui même.
Le but du jeu n'étant pas d'être au pouvoir mais de s'en mettre plein les poches sur sa caisse noire.
Il y a aura également des phases de débat entre joueurs pour essayer d'influencer les élections (mais pas lors de la première élection) ainsi que, si les conditions sont réunies, des phases de révolution ou chaque joueur défendra le régime ou tentera de le renverser, pour un autre, pour son parti ou pour son propre compte. Les postes détenus alors comptent énormément.
Au fur et à mesure qu'avancera le jeu, vos personnages accumuleront des points d'influence et de l'argent, bases de sa puissance.
Au bout de quelques tours, le jeu s’arrête et je dévoile les caisses noires de tout le monde, celui qui a volé le plus gagne !
Un seul but : Accumuler de l'argent dans sa caisse noire au détriment de tous les autres joueurs.
SergueiBorav L'homme que nous aimons le plus
Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 35
Sujet: Re: Jeux via Skype Ven 10 Jan - 11:34
Bon, les règles sont terminées :
Bon, je poste les règles que j'ai achevé de bidouiller, le plus simple étant de dérouler un peu les différentes phases de jeu :
DEBUT DU JEU :
- Les joueurs reçoivent, en public, un nombre de "votants" aléatoire, pour un total de 6.000.000 votants, qui posera les bases des premières élections et négociations.
- Les joueurs se rassemblent (ou non) en partis de différentes mouvances (Communistes, Sociaux-Démocrates, Capitalistes, Nationalistes, Ecologistes, Traditionnalistes, National-Socialiste), le joueur apportant le plus de "votants" à un parti en devient le premier chef et décide de l’organisation interne du parti (entièrement à la volonté des joueurs). Une fois les voix apportées au parti, le joueur ne les possède plus.
ELECTION DU PREMIER PRESIDENT DU JEU
- Une fois les partis créés, l’élection commence sans plus de fioritures, il s’agit simplement de poser un cadre de départ au jeu. Les partis présentent un ou plusieurs candidats au premier tour de l’élection et le vote commence (les partis se prononcent pour un ou plusieurs candidats, les joueurs se prononcent personnellement sur un candidat et le hasard complète le dernier tiers des votes), les candidats ayant obtenu plus de 20% des suffrages exprimés se maintiennent au second tour.
- Le second tour commence, les partis se prononcent (les partis ne peuvent pas s’abstenir), les joueurs se prononcent (les joueurs peuvent s’abstenir) et le hasard vient apporter le dernier tiers des votes.
LE PREMIER PRESIDENT EST ELU
- Le PRESIDENT à la charge de nommer un PREMIER MINISTRE
- Le PREMIER MINISTRE nomme le reste du GOUVERNEMENT (Les postes et rôles sont décrits dans un spoiler plus bas)
- L’assemblée est constituée selon la puissance de vote des partis, les postes occupés par leurs membres et le tiers restant des votes est rempli par le hasard (voir un autre spoiler plus bas pour les rôles de l’assemblée)
- Le MINISTRE DU TRAVAIL et le MINISTRE DE LA JUSTICE reçoivent un montant correspondant à la moitié du budget de l’état alloué par les organisations humanitaires et l’ONU, ils peuvent en réduire ou en augmenter le montant à leur guise, puis ils remettent la somme restante au PRESIDENT.
- Le PRESIDENT établit un budget pour chaque poste et le propose aux joueurs en public
- L’assemblée vote le budget (pour le premier tour, si le budget est refusé, un nouveau budget est revoté, pas de coup d’état possible)
LE GOUVERNEMENT EST CONSTITUÉ - LES BUDGETS SONT VOTÉS
Phase d’assassinat : Les joueurs peuvent viser une personne pour être la cible d’un complot, plus il y a de participants, plus le complot à des chances d’aboutir, si, après jet de dé, le complot a trop échoué, il est possible que les noms de quelques comploteurs soient révélés au ministre de la justice.
Phase de caisse noire : Les joueurs peuvent mettre un certain montant de leur budget dans leur caisse noire, le joueur qui met le plus gros pourcentage de son budget est découvert par le ministre de l’intérieur, le deuxième est découvert par le ministre de la justice.
Phase de corruption : Les joueurs peuvent dépenser de l’argent pour acheter des points d’influence, le joueur qui achète le plus de points d’influence est découvert par le premier ministre. (voir le spoiler “influence”)
Phase procès : Les joueurs peuvent mettre d’autres joueurs en accusation afin de lancer des procès et, peut être, aboutir à leur exécution ou à une amende. (voir le spoiler “justice”)
FIN DES ACTIONS - DEBUT DES PRE-ELECTIONS
- Tirage par le MJ d’une carte “ambiance” qui définira l’ambiance politique qui règnera sur les élections (Temps de guerre, épidémie, Corruption massive etc …)
- Les partis choisissent un représentant pour le grand débat électoral
- Le grand débat commence, les joueurs doivent répondre à leurs adversaires sur trois sujets tirés au hasard, l’éloquence et les bonnes réparties des concurrents peuvent convaincre de précieux pourcentages de l’opinion pour l’imminente élection (au gout du MJ).
- Les joueurs peuvent dépenser le reste de leur budget pour corrompre des électeurs et gagner de précieux pourcentages de votes.
- Les joueurs apprennent en privé leur pourcentage de votants (résultat condensé de leur influence personnelle, des corruptions qu’ils ont effectué et des résultats de leur parti au grand débat) et décident, après discussion ou non avec leur parti, de se présenter ou non.
- La première élection a lieu, le hasard compte pour 33%, les pourcentages accumulés de chaque joueur pour 66%
- Les candidats ayant obtenu 20% se maintiennent au second tour
ELECTION DU SECOND PRESIDENT
DEBUT D’UN NOUVEAU TOUR
Les postes:
PRESIDENT : Le président est le principal poste du jeu, il reçoit les budgets des mains des ministres des affaires étrangères et du travail et le répartit entre les différents ministères. Il bénéficie également d’une forte influence durant et à la suite de son mandat (10 points). Il est élu au suffrage universel en deux tours et nomme le premier ministre. Il peut poser son véto à un gouvernement proposé par le premier ministre ce qui est une excuse pour un coup d’état. Il apporte en outre 20 points pour la constitution de l’assemblée à son parti. Le poste n’est pas cumulable avec un autre poste et ne dirige aucune troupe particulière.
PREMIER MINISTRE : Le premier ministre est le second homme du régime, il est nommé par le président et à la charge de former un gouvernement et de répartir les autres postes de ministre. Le premier ministre peut cumuler sa fonction avec un deuxième poste de ministre. Il apporte 20 points pour la constitution de l’assemblée à son parti. Il gagne pour son mandat 5 points d’influence.
MINISTRE DE L’INTERIEUR : Le ministre de l’intérieur est le troisième homme du régime, il dirige la police en cas de coup d’état et la police secrète en permanence, il a le pouvoir d’intenter des accusations, de mener des enquètes sur les joueurs pour les envoyer en procès devant le ministre de la justice. Il peut également envoyer la police occuper l’assemblée pour forcer le résultat de n’importe quel vote. Il apporte 10 points à son parti lors de la constitution de l’assemblée. Le mandat lui apporte 2 points d’influence. Il est nommé par le premier ministre. Le poste est cumulable une fois.
MINISTRE DE LA JUSTICE : Le ministre de la justice est un poste clé dans le régime, sa décision lors des différents procès est lourde de conséquence et peut envoyer facilement un joueur à l’échafaud. Il a le droit d’interdire ou de réhabiliter la peine capitale et rend les décisions lors des procès. Il apporte 10 points à son parti lors de la constitution de l’assemblée. Le mandat lui apporte 2 points d’influence. Il est nommé par le premier ministre. Le poste est cumulable une fois.
MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES : Le ministre des affaires étrangères se voit remettre en secret la moitié du budget de l’état qu’il peut à sa guise diminuer ou augmenter avant de le remettre au président. Lors des coups d’état il dirige la force d’intervention étrangère et dispose d’unités étrangères puissantes. Il apporte 10 points lors de la constitution de l’assemblée et son mandat lui apporte 1 point d’influence. Il est nommé par le premier ministre. Le poste est cumulable une fois.
MINISTRE DU TRAVAIL : Le ministre du travail se voit remettre en secret la moitié du budget de l’état qu’il peut à sa guise diminuer ou augmenter avant de le remettre au président. Il est nommé par le premier ministre et apporte 30 points à son parti lors de la constitution de l’assemblée, il gagne également 1 point d’influence pour son mandat. En cas de coup d’état, le ministre du travail est rallié par un grand nombre de partisans. Le poste est cumulable une fois.
MINISTRE DE LA GUERRE : Le ministre de la guerre nomme l’état major, il dispose du pouvoir de moderniser l’une des cinq armées et dirige une troupe d’élite en cas de coup d’état. Il peut également acquérir des troupes de partisans aléatoirement. Le ministre de la guerre apporte 10 points à son parti lors de la constitution de l’assemblée et gagne 1 point d’influence pour son mandat. Le poste est cumulable une fois.
GENERAL : Nommés par le ministre de la guerre, les généraux sont au nombre de trois, ils dirigent respectivement la première, deuxième et troisième armée du pays et disposent en cas de coup d’état de troupes puissantes. Ils apportent également 10 points à l’assemblée pour leur partis respectifs, un joueur peut cumuler deux postes de général. Les généraux gagnent 1 points d’influence.
COMMANDANT DES FORCES AERIENNES : Le commandant des forces aériennes est nommé par le ministre de la guerre, il apporte 10 points pour leur parti lors de la constitution de l’assemblée et dirige une unité de parachutistes pendant les coups d’état, il peut également faire un bombardement par coup d’état. Il gagne un point d’influence par mandat. Le poste est cumulable avec un autre poste militaire.
AMIRAL : Nommé par le ministre de la guerre. L’amiral dirige une unité d’infanterie de marine et dispose d’une canonnière qui peut pilonner la ville (moins puissant que le bombardement aérien mais zone d’effet plus large). L’amiral apporte 10 points à son parti lors de la constitution de l’assemblée et gagne un point d’influence. Le poste est cumulable avec un autre poste militaire.
CHEF DE PARTI : Le chef de parti originel est le joueur qui y apporte le plus de voix, il est chargé de définir les règlements de base du parti (type de scrutin pour la présidence du parti, sélection des candidats, acceptation ou exclusion d’un membre, directives aux députés lors des votes de l’assemblée). Le chef de parti gagne 1 point d’influence par élection présidentielle tant qu’il est chef du parti.
Assemblée:
L’assemblée est constituée après l’élection du président et la formation d’un gouvernement et d’un état major. Sa première prérogative est de voter le budget de l’assemblée, mais elle peut être appellée pour n’importe quel vote sur la volonté seule de n’importe quel ministre. L’assemblée est divisée entre les partis en jeu dont les volontés sont dictées par les chefs de partis. Le système de scrutin constituant l’assemblée est le suivant : Les joueurs apportent des points selon leurs postes et influence à leurs partis respectifs à hauteur de 60% des résultats, le hasard remplit les 40% restants. L’assemblée est constituée à la proportionnelle à la suite du scrutin. Le ministre de l’intérieur peut forcer n’importe quel vote de l’assemblée, mais alors, les députés de son parti ne répondront plus au chef de parti et s’abstiendront à chaque futur vote tant que le ministre de l’intérieur ne changera pas.
Influence:
A la suite de leurs différents mandats, les joueurs acquièrent des points d’influence. Ces points apportent aux joueurs des régiments de partisans supplémentaires en cas de coup d’état et des votants lors des différentes élections. Les joueurs peuvent acheter des points d’influence avec leur budget lors de la phase correspondante.
Un ministre, une balle ! Justice sociale !:
Les procès sont une phase importante du jeu, je dirais même ESSENTIELLE ! Un joueur peut être mis en accusation par un autre joueur, le ministre de l’intérieur est alors chargé de mener une enquète et de constituer (ou non) un dossier à amener devant le ministre de la justice qui doit d’abord trancher si l’accusé est coupable ou non puis, en cas de résultat positif, devra décider de la peine. Le président et les ministres peuvent user de leurs points d’influence pour soutenir l’accusateur ou l’accusé et faire pression sur le ministre de la justice, en effet une trop grande influence PEUT provoquer l’acte solitaire d’un déséquilibré qui viendrait abattre l’accusé ou le ministre de la justice. D’autres peines peuvent être décrétées, amendes, démissions forcées ou exil.
Un joueur accusé peut également, déclarer un coup d’état pour s’en sortir, bénéficiant ainsi d’un très fort soutien de ses partisans, cependant, si le coup d’état échoue, le président statuera seul sur son sort et absolument rien ne pourra l’en empêcher.
Coups d’état:
N’importe quel joueur peut, à n’importe quel moment déclencher un coup d’état pour un motif plus ou moins valable, les motifs valables apportent un grand nombre de partisans révolutionnaires, au contraire les motifs non-valables apportent plus de partisans loyalistes. Les partisans révolutionnaires se mobiliseront toujours plus que les partisans loyalistes. Le jeu passe alors en mode combat, les joueurs découvrent alors l’ensemble des troupes qu’ils dirigent, unités régulières, partisans ralliés ou forces d’intervention étrangères.
Les rues sont des cases vides, les cinq bâtiments centraux sont les cinq objectifs du coup d’état, la faction qui en contrôle trois à la fin des cinq tours gagne le coup d’état.
Les unités disposent d’un indice de force, chaque unité peut effectuer deux actions par tour, tirer ou bouger. Sauf capacité spéciales des unités, elles se déplacent d’une case par action. Un tir subi fait perdre 1, 2 ou 3 points de force selon la qualité de l’unité à l’unité qui subit le tir.
Certains joueurs disposent d’une capacité spéciale qui leur permet de bombarder la ville une fois par tour avec des effets propres. Une unité qui n’a plus de points de force est éliminée.
Aussitôt que les joueurs ont reçu leurs troupes, ils doivent annoncer dans quel camp ils se placent, un joueur rebelle peut très bien former une seconde rébellion et attaquer ses anciens camarades pour prendre les bâtiments, un loyaliste peut très bien trahir le président au milieu d’un coup d’état. Les deux seuls joueurs à ne pas pouvoir changer d’allégeance au cours du coup d’état sont le président et le premier insurgé qui a lancé la révolution, cependant, l’un des deux peut se rendre, mettant automatiquement fin au coup d’état quoi qu’il se passe.
Autres règles:
- Lorsqu’un joueur meurt, l’argent qu’il n’a pas déposé sur sa caisse noire est récupéré par le président en poste. Il perd également 1 points d’influence.
- L’objectif du jeu est de mettre le plus de sous sur sa caisse noire, mais le pays doit touner quand même, dès le vote du budget jusqu’à la phase de pré-élection, les joueurs peuvent effectuer des actions en rapport avec leur ministère avec le budget qui leur a été imparti ces actions si elles sont bien en adéquation avec les attentes des citoyens peuvent apporter un bonus d’influence et quelques pourcentages supplémentaires lors des élections. En revanche, de mauvaises actions peuvent apporter bien plus (argent, influence), mais peuvent également faire perdre des pourcentages aux prochaines élections ou pire.
- Les règles de base du jeu sont celles ci et sont la constitution du pays, mais les joueurs peuvent apporter des changements à ces règles en faisant voter de nouvelles lois ou modifier celles en place sur proposition d’un ministre, approuvée par le président et votée par l’assemblée. Même la règle qui régit les changements de règles peut être changée, si le président décide qu’il émet lui même les règles sans avis de personne, il doit pour cela disposer d’un appui suffisant tout seul à l’assemblée (ou d’amis complètement débiles) ou faire forcer le vote de l’assemblée par le ministre de l’intérieur et se voir remettre les pleins pouvoirs.
- Les règles sont posées, mais le jeu est entièrement libre au final.
Iorel
Messages : 1030 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 31
Sujet: Re: Jeux via Skype Sam 11 Jan - 17:56
Je joue !
Dodo Le conquérant du pain
Messages : 1352 Date d'inscription : 20/11/2011 Age : 31
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 2:40
En conclusion de notre partie Skype, spéciale dédicace Fabian :
Spoiler:
Sale traître.
Dodo Le conquérant du pain
Messages : 1352 Date d'inscription : 20/11/2011 Age : 31
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 3:51
Et pour vous donner une idée (oui, double-post !), voici le compte rendu de Ramon Estévez, journaliste au Guaracha Libre ! et homonyme d'un acteur connu.
Ramon Estévez étant très vieux et très fatigué, son compte rendu sera parfois peut-être un peu imprécis (et puis j'ai oublié !) Pour les besoins de la narration, les évènements ont été condensés. C'est plus rigolo.
1er janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. Le Front Populaire du Guaracha vient de déclarer sa victoire aux élections de notre beau pays. Le Front Populaire, formé du Parti des Travailleurs Guarachéens, du Parti Socialiste du Guaracha et de la Mouvance Ecologiste du Guaracha est désormais la première force politique du pays. Le président est Koratez, son premier ministre Aedhrez, du Parti Communiste. Le Nouveau Parti Catholique Guarachéen et la Force Guarachéen Nationale-Socialiste, les deux autres formations qui avaient présenté des candidats malheureux, sont représentées au gouvernement malgré les désaccords.
2 janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. À peine les subventions onusiennes reçues pour cette année que Temudhuñez, le Ministre des Affaires Etrangères, a été accusé de corruption et de détournement de fonds. Hamez, représentant du NPCG et ancien candidat aux présidentielles, a immédiatement accusé le gouvernement de vouloir museler l'opposition. Des heurts ont opposé ses partisans et les forces présidentielles près du commissariat de Guaracha City.
3 janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. Les partisans d'Hamez ont été rejoints dans la nuit à son quartier général de la Cathédrale San Guaracha par des troupes américaines et françaises, les corps d'armées fidèles au NPCG et à la FGNS. À la nouvelle que le Pape avait béni la révolution, les Guarachéens ont rejoint en masse les rangs des rebelles ; et fait surprenant, alors que les révoltés progressaient le long de l'avenue Simon Bolivar près du parc municipal, les forces des écologistes, pourtant membres du Front Populaire, ont subitement rallié la révolution. Avant midi, les trois derniers dirigeants du Front Populaire avaient fui en Suisse.
4 janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. L'Argentine et le Brésil ont regroupé des forces à nos frontières et semblent se préparer à nous attaquez. Un débat télévisé a rapidement eu lieu à Guaracha Libre !, que j'ai eu la chance d'animer. Le débat a été très rapide ; Iorez, pour la FGNS, a rappelé les nécessités de l'indépendance du Guaracha, Fabianez a tenté d'exprimer les positions du MEG en disant qu'il était nécessaire de respecter l'environnement et d'être éloigné des Américains, mais, Arzglufez ayant rappelé que les Américains avaient été la révolution, Fabianez a déclaré "Ah oui c'est vrai".
Dans la soirée après le débat, nous avons appris le suicide du chef de la FGNS, Iorez, suicidé par coupage en morceaux et enfonçage dans un four.
5 janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. Hamez a, comme on s'en doute, été confirmé en tant que président ; Arzglufez a reçu le poste de Premier Ministre et, très vite, une réforme constitutionnelle a été proposée pour nommer notre pays Etat Latin du Guaracha et le Président Régent. D'autres lois ont été modifiées, malgré une pression des écologistes pour que le mouvement conserve le désir de démocratie et de liberté qui l'avait porté au pouvoir.
6 janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. Le Régent a été attaqué par des hommes en armes qui ont pénétré dans le palais et lui ont sauvagement tiré dessus, alors même qu'un pacifiste forcené attaquait le Ministre de la Guerre, Emkaéz. Rapidement, le Vice-Récent a accusé Dorhinez, Ministre du Travail, d'avoir fomenté l'attentat et détourné de l'argent. Le procès est prévu pour avoir lieu demain.
7 janvier 1971
Aujourd'hui a eu lieu le plus historique bouleversement de notre petit pays. Le procès a été interrompu par un commando d'individus portant barbe et cheveux arrivé brusquement depuis le parc municipal, qui ont déclaré la Révolution Ecologiste au nom de Dorhinez. Rapidement, ils ont été rejoints par des soldats de l'Armée de Terre, contrôlée par les écologistes, et de très nombreux partisans, notamment des communistes, des homosexuels et des juifs déviants et divers ennemis du régime.
Dans le même temps, les soldats américains rejoignaient les troupes loyalistes autour du tribunal, alors qu'une troupe de soldats brésiliens arrivait au pas de course dans le parc municipal pour se joindre aux révoltés.
On apprit ensuite que l'amiral de la flotte du Guaracha avait fait gazer des baleines pour démoraliser les écologistes ; hélas, ceux-ci n'ont pas tardé à rejoindre encore plus massivement les révoltés, alors que des messages de soutien et des promesses de troupes arrivaient de nombreux pays, de la part de hippies. Bien vite, on apprit qu'en réaction, des honorables hommes d'affaire et des propriétaires terriens avaient mis la fortune acquise grâce à leurs plantations de coca au service du gouvernement, en engageant des croyants à l'étranger, avec la bénédiction du Pape.
Alors que les écologistes semblaient prêts à gagner malgré des forces assez proches, les troupes de l'armée régulière ralliées à Fabianez ont subitement changé de camp pour rejoindre les loyalistes, qui gagnèrent subséquemment et exécutèrent Dorhinez et enfermèrent Emkaéz.
Si deux vainqueurs politiques se dégagent, ce sont assurément Hamez et Arzglufez. Les banquiers suisses ont cependant affirmé que le compte de Dorhinez était le mieux garni de la vie politique guarachéenne, avec pas moins de 20 millions malgré les saisies opérées par le gouvernement.
Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 16:19
Je trouve qu'on passe un peu trop sous silence ma victoire par criminalité !
MKI Chipoteur de RPDC
Messages : 2406 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 32 Localisation : Caen
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 18:22
Je trouve qu'on appui pas assez sur la trahison de Fabianez.
Fabian_ Le Grand Stone
Messages : 1592 Date d'inscription : 04/12/2011
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 19:13
Moi je tiens à applaudir vivement Serguei pour le travail monstre de ce MV instantané. C'était vraiment chouette, j'ai bien kiffé. J'ai fait que du random et j'ai fini dernier tout en étant social-traître.
Pour la prochaine fois par contre, je propose plutôt de faire ça le dimanche après-midi, car les soirs de week-end des personnes sont pas là (genre moi) et ceux qui sont là finissent par aller manger, ce qui casse le rythme du jeu !
SergueiBorav L'homme que nous aimons le plus
Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 35
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 20:08
Bon un rapport alors :
13 février 1971 : Alors que Idi Amin Dad parvient au pouvoir en Ouganda et que Coco Chanel décède à Paris, le général Boravas, leader incontesté de la république de Guaracha, est assassiné par un activiste libertaire en sa capitale de Guaracha-city.
15 février 1971 : Les membres du gouvernement Boravas démissionnent au profit d'un conseil de transition qui a la charge d'organiser des élections libres, chose inédite au Guaracha depuis la guerre d'indépendance en 1889.
21 février 1971 : Les toutes nouvelles libertés politiques accordées par l'assemblée du peuple Guarachéen récemment rétablie (après sa dissolution définitive par le général Boravas en 1953) permettent la création de partis, de syndicats et d'organisations politiques, diverses personnalités Guarachéennes décident forment divers mouvements comme le Parti des Travailleurs Guarachéens ou encore le Nouveau Parti Catholique de Guaracha.
22 février 1971 : Une frange d'industriels du pays crée le Parti Libéral Guarachéen à tendance capitaliste. En réaction, le Parti Socialiste Guarachéen voit le jour au sein de l'université nationale de Guaracha-city.
25 février 1971 : Trois autres partis voient le jour, la Mouvance Écologiste Guarachéenne, le Mouvement de la Renaissance Guarachéenne composé de leaders nationalistes bien connus se réclamant les héritiers naturels du régime de Boravas, ainsi que le très douteux parti national-socialiste : Force Guarachéenne National-Socialiste.
11 mars 1971 : Le premier tour des élections à lieu pour les trois candidats, Koratez représentant d'un Front Populaire Guarachéen, ensemble hétéroclite de partis communistes, socialistes et écologistes obtenant 45% des voix au premier tour, Hamez candidat du Nouveau Parti Catholique Guarachéen à tendance traditionnaliste obtenant 34% des voix et le très douteux Iorelscht, immigrant allemand et candidat du parti National Socialiste obtenant le score de 21% des voix. Le Front Populaire Guarachéen célèbre sa victoire.
14 mars 1971 : Aedhreas du parti communiste est nommé premier ministre, charge à lui de composer un gouvernement.
15 mars 1971 : La liste des ministres est rendue publique :
Koratez : Président
Ministre de l'Intérieur : Arkantos Ministre de la Justice : Dodos Ministre des Affaires Etrangères : Temudhunez Ministre du Travail : Aedhreas Ministre de la Guerre : Fabianes
19 mars 1971 :[/b] Les élections législatives ont lieu, le décompte des voix est contesté mais validé par le gouvernement :
Le Front Populaire Guarachéen contrôle donc l'assemblée avec une large majorité de 68 députés sur 100.
29 mars 1971 : Le budget de l'état, composé à 99% des aides humanitaires de l'ONU et des fonds débloqués par le FMI pour la reconstruction du pays s'élèvent à 30 millions, le président présente un plan budgétaire durant lequel les traditionnalistes et les écologistes s'estiment lourdement floués, alors que des rumeurs rapportent que le budget a déjà subi quelques coupes et spoliations par des ministres crapuleux.
14 avril 1971 : La colère monte dans les partis d'opposition et les écologistes quittent définitivement le front populaire Guarachéen, la menace d'un coup d'état se fait sentir alors que le ministre de la défense, Fabianez du parti écologiste, remplace les généraux et cadres de l'armée en place par des partisans écologistes, traditionnalistes et nazis :
19 avril 1971 : Le premier-ministre et le président du Guaracha laissent entendre que Temudhunez, ministre des affaires étrangères aurait volé une partie du budget de l'état. L'opposition accuse le gouvernement de vouloir casser un membre influent de la contestation sur de fausses accusations.
21 avril 1971 : Le général Hamez, membre très connu du parti traditionnaliste fait marcher ses troupes sur la capitale avec la ferme intention de déstituer le gouvernement, celui ci renforce la ville et attend le conflit. Le Vatican est approché par plusieurs représentants Guarachéens et bénit ce "mouvement libérateur".
29 avril 1971 : Les troupes de Hamez, rapidement rejointes par l'ensemble de l'armée Guarachéenne, renforcée de nombreux partisans entrent dans la ville, engageant les troupes de partisans loyalistes qui se sont formées. Des contingents d'intervention américains et français ont également été délégués sur place, officiellement pour la protection des civils, officieusement pour aider le général Hamez à prendre le pouvoir.
1er mai 1971 : Les loyalistes stupéfaits apprennent que le président, le premier ministre et le ministre de l'intérieur, commandants suprèmes des forces loyalistes, ont quitté le pays avec leurs budgets et tentent de s’exfiltrer du continent via le Brésil. Trahis et abandonnés les loyalistes se rendent avec la promesse des commandants putschistes de ne pas subir de représailles.
2 juillet 1971 : Les rebelles contrôlent l'ensemble du pays et réactivent les services publics.
14 aout 1971 : Les rebelles découvrent des documents dans les bureau du ministre de l'intérieur impliquant lourdement les trois fuyards dans des opérations de détournement d'argent public et de trafic d'influence.
10 septembre 1971 : Le chef suprème de la rebellion victorieuse, le général Hamez décrète la fin de la révolution et l'avènement d'une nouvelle constitution pour le pays.
20 octobre 1971 : Le général Hamez rend publique la constitution qu'il a établi au nom du parti traditionnaliste catholique :
- Le pays s'appelle maintenant l'Etat Latin de Guaracha - Le président et le premier ministre sont remplacés par un régent et un vice-régent - Les partis socialistes, communistes, libéral et nationalistes sont interdits de présenter un candidat aux élection présidentielles
8 janvier 1972 : Le régent annonce les membres de son gouvernement :
Président-Régent : Hamez
Premier Ministre : Arzglufoz
Ministre de l'Intérieur : Arzglufoz Ministre de la Justice : Dodos Ministre des Affaires Etrangères : Fabianez Ministre du Travail : Arkantos Ministre de la Guerre : Aedhrez
20 janvier 1972 : Le régent présente un budget qui convient à tous les ministres, l'assemblée se prononce pour grâce aux écologistes qui apporte les quelques points suffisants à l'approbation, le budget est voté à 54%
12 février 1972 : Recrudescence de la violence dans les quartiers de Guaracha-city, la drogue est un fléau qui semble s’accroître, la corruption grandit également.
25 mai 1972 : Les filières viticoles et agricoles du pays bénéficient de nouvelles subventions gouvernementales.
15 juin 1972 : Un grand congrès écologiste est organisé à Desolacioñ, deuxième ville du pays
19 aout 1972 : Le Guaracha envoie des dons massifs au Vatican.
11 septembre 1972 : Le Guaracha se dote d'hélicoptères et d'armements modernes pour résister aux agressions extérieures.
1er octobre 1972 : Iorelscht, leader nazi et amiral en chef de la flotte Guarachéenne est retrouvé mort à son domicile, l'enquète du ministre de l'intérieur n'aboutit qu'à un suicide. Stupeur dans les rangs du parti néo-nazi Guarachéen.
30 octobre 1972 : Le régent annonce une grande réforme de la constitution Guarachéenne et la fait voter par l'assemblée :
Régent : Droit de véto sur les votes de l'assemblée Droit de grâce Intouchable en justice Véto sur les nomination gouvernement et état major Droit de décret régent + Vice régent
Vice régent : Nomme les ministres
Ministre de la guerre : Nomme l'état major
Etat latin de Guaracha Culte catholique seul autorisé
2 décembre 1972 : L'assemblée vote contre la nouvelle constitution encore une fois grâce aux communistes et malgré le soutien des Néo-nazis, le ministre de l'intérieur Arzglufos est alors sommé par le président de faire intervenir la police et de forcer le vote de l'assemblée.
3 décembre 1972 : La police n'intervient finalement pas et des négociations s'entament avec les écologistes, elles aboutissent en pleine nuit et apportent quelques modifications à la réforme :
- Régent : Droit de véto sur les votes de l'assemblée si pas en accord avec la doctrine sociale de l'église (le vatican fait foi) - Droit de grâce (1 par tour + 1 réduction de peine) - Intouchable en justice - Véto sur les nomination gouvernement et état major - Droit de décret régent + Vice régent
Vice régent : Nomme les ministres
Ministre de la guerre : Nomme l'état major
Etat latin de Guaracha Culte catholique seul autorisé
5 décembre 1972 : La réforme constitutionnelle est votée à 58%
12 décembre 1972 : Le général Alejandro Lanusse (ça ne s'invente pas), dirigeant de l'Argentine conjointement avec son homologue brésilien, l'amiral Grunewald, affirment leurs revendications territoriales sur le Guaracha, la guerre menace.
16 décembre 1972 : Un grand débat présidentiel préparant les élections de janvier a lieu dans un contexte difficile et dans un climat de tensions aux frontières avec les deux grands voisins. Le représentant écologiste échoue lamentablement à défendre ses opinions et propose des négociations avec l'Argentine et le Brésil qui sont immédiatement raillées par les deux autres participants. Le représentant traditionnaliste Arzglufez expose son point de vue et propose lui d'appeler les états unis à l'aide, Iorelmänn (nouveau leader nazi après le suicide de Iorelscht) rétorque qu'il ne souhaite pas d'interventionnisme américain sur le territoire, il est rapidement contré par Arzglufez qui souligne que les états unis sont déjà impliqués puisqu'ils ont largement soutenu l'arrivée au pouvoir d'Hamez lors de la révolution de 1971. Au lendemain des débats, des sondages sur la population révèlent que les traditionnalistes ont augmenté leurs perspectives de vote de 3%, les nazis gagnent 1 point et les écologistes se maintiennent.
12 janvier 1973 : Le premier tour des élections a lieu avec seulement deux candidats, Hamez qui vise un deuxième mandat et Dodos, candidat écologiste, les deux candidats échangent des mots très durs. Finalement Hamez en ressort vainqueur avec 54% des voix exprimées et est reconduit pour un second mandat.
18 janvier 1973 : Par souci d'équilibre des budgets militaire les trois armées de terre Guarachéennes sont unifiées en un seul poste de général suprème. Le régent reconduit publie la liste des membres du gouvernement :
Régent : Hamez
Vice-Régent : Arzglufos
Ministre de l'Intérieur : Arzglufos Ministre de la Justice : Temundhunez Ministre des Affaires Etrangères : Iorelmänn Ministre du Travail : Dodos Ministre de la Guerre : Mkias
Général : Fabianez Aérien : Temundhunez Marine : Iorelmänn
30 janvier 1973 : Les élections législatives ont lieu :
Les traditionnalistes en ressortent vainqueurs malgré des tensions de plus en plus apparentes avec les écologistes.
5 février 1973 : Le budget de l'état est de 113.500.000 dollars, il est réparti par le régent de la manière suivante :
Régent : Hamez 30.5 millions
Vice-Régent : Arzglufos 15 millions
Ministre de l'Intérieur : Arzglufos 10 millions Ministre de la Justice : Temundhunez 10 millions Ministre des Affaires Etrangères : Iorelmänn 10 millions Ministre du Travail : Dodos 10 millions Ministre de la Guerre : Mkias 10 millions
Général : Fabianez 6 millions Aérien : Temundhunez 6 millions Marine : Iorelmänn 6 millions
20 février 1973 : Le budget est voté par l'assemblée à 59%
5 mars 1973 : La corruption de la police atteint des niveaux records, Arzglufos ministre de l'intérieur et vice-régent est interrogé à ce sujet et déclare : "Nous combattrons les corruptions en partant par le haut, j'ai justement des noms à révéler au régent à ce sujet !"
12 mars 1973 : Une série de lois conjointes du régent, de Temudhunez et du ministre de l'intérieur/vice-régent sont appliquées immédiatement, les droits des communistes, des juifs et des homosexuels sont lourdement restreints.
30 avril 1973 : Hamez, le régent, est agressé à son domicile par un commando organisé, à l'approche de la mort les médecins tentent un détournement cardiaque pour le maintenir en vie, des dons affluent de tous le pays, du vatican et des membres de son parti et du parti nazi pour payer une seconde opération.
15 mai 1973 : La seconde opération du régent est une réussite grâce à l'arrivée de médecins européens, grassement payés par les dons.
16 juillet 1973 : De son lit de convalescence, le régent et le vice-régent lancent un mandant d’Arrêt sur le ministre du travail Dodos, accusé de corruption et de détournement d'argent public.
17 juillet 1973 : Dodos est arrêté à son domicile et enfermé à la maison d'arrêt de Guaracha-city.
24 juillet 1973 : Des mouvements de contestation, homosexuels, juifs et communistes, ainsi que de nombreux partisans écologiste attaquent les symboles du pouvoir dans les faubourgs de la capitale. Les autres leader écologistes appellent à la seconde révolution.
12 septembre 1973 : Les troupes rebelles marchent sur la capitale, soutenus par l'armée de terre aux mains de Fabianez, leader écologiste. Des régiments de natifs sont formés à la hâte par Fabianez qui tente de rallier la capitale avant le début des combats.
19 septembre 1973 : Les écologistes sont en passe de l'emporter et seuls quelques régiments de soldats réguliers tiennent encore les ponts qui mènent au palais présidentiel, soudain les troupes de Fabianez arrivent dans la cité et révèle sa véritable allégeance en attaquant les écologistes pris entre deux feux.
25 septembre 1973 : Les dernières poches de résistance urbaine des rebelles sont rapidement détruites par l'armée, on ne compte presque aucun survivant des régiments de partisans qui s'étaient soulevés, un leader loyaliste parle de "déforestation" avec un grand sourire. Le régent lui même en meilleure forme apparaît au balcon du palais et prononce un discours sur "l'ancien monde qui brûle dans les flammes de l'industrie", il lancera près de 400 harengs à la foule en délire au pied du balcon.
1er octobre 1973 : La victoire des loyalistes est totale, le ministre de l'intérieur détient les deux dirigeants rebelles et les livre à un procès. Le ministre de la justice fait pression sur les juges et obtient la mort pour Dodos et la prison à vie pour Mkias.
BILAN :
- Aujourd'hui en 2014, nous sommes toujours sans nouvelles d'Aedhros, d'Arkantos et de Koratos ayant fui le pays en 1971 suite à la première révolution Guarachéenne, probablement morts, ils auront tout de même profité des montants qu'ils avaient détournés, leur trace se perd au Liechtenstein en 1985. - Dodos, grand leader écologiste, exécuté par le régime du régent Hamez en 1972 est devenu un symbole de l'écologie mondiale. Ces jeunes écologistes font facilement abstraction du fait que plus de 20 millions de dollars détournés par leur héros dorment dans les banques suisses et que 10 millions supplémentaires ont été retournés au Guaracha. - Mkias, enfermé dans son manoir à Deprecioñ, dans les faubourgs de Guaracha-City est toujours vivant à 104 ans, il a transformé son manoir en véritable maison de passe pour lesbiennes et coule des jours, que tous les adolescents Guarachéens imaginent, heureux. Il a également développé son entreprise de cinéma porno et fait un malheur sur flamand.org ou ses vidéos atteignent facilement les 200.000 "jebande". - Fabianez, général écologiste renégat est devenu le numéro 3 du régime après la disgrâce de Temudhunez, il est aujourd'hui ministre de la répression et à établi son QG dans la petite ville de Reprecioñ. - Arzglufos est toujours numéro 2 du régime, toujours à la tête des forces de police, il continue a organiser un racket sur les cartels et figure dans le top 100 de Transparency International sur les politiciens les plus corrompus de tous les temps. Touche à tout et politicien sans morale, il décède en léguant à ses héritier des sommes colossales accumulées sur le malheur des Guarachéens. - Hamez a rapidement transformé son troisième mandat en mandat à vie, à dissous l'assemblée et a tenté de se faire introniser roi du Guaracha par le pape qui a pris ses distance avec le personnage, il a changé l'état en dictature autoritaire à dominante catholique et a laissé ses ministres pourri la situation. Pourtant il effectue de grands dons à l'égard des pauvres et applique dans toute sa puissance la doctrine sociale de l'église de l'Etat Latin de Guaracha qu'il a construit. - Temudhunez, rapidement inquiété par les autorités Guarachéennes a été remercié et s'est reconverti dans le crime international, grand baron de la drogue et proxénète de premier plan, il a contribué lourdement à la destruction intérieure de l'ordre social du Guaracha, recherché par Interpol, mais protégé par le régime, il est finalement abattu par un commando Argentin alors qu'il sortait de chez lui en 1991. - Iorelmänn est demeuré le dirigeant du parti nazi et a participé à sa reconstruction et à l'accueil d'anciens nazis sur le continent, décédé en 1986, il lègue au Guaracha son principal parti d'opposition qui, malgré les efforts répétés du gouvernement et du régent, n'a pas encore été interdit.
BILAN DU BILAN :
Victoire économique : Dodo Victoire politique : Arzgluf et Hames Victoire criminelle : Temudhun et Arzgluf Victoire militaire : Fabian
TITRES :
- Dodo : Che Guevara - Fabian : Chef Raoni "Langue de Serpent" - MKI : Hugh Hefner - Hames : Idi Amin Dada - Temudh : Tony Montana - Arkantos : Jérôme Cahuzac fourbe - Koratos : Jérôme Cahuzac soumis - Arzgluf : Joseph Bonaparte - Iorel : Jean Marie Le Pen - Aedhr : Jérôme Cahuzac en chef
Arzgluf Nationaliste intégral
Messages : 998 Date d'inscription : 20/11/2011
Sujet: Re: Jeux via Skype Dim 12 Jan - 21:39
Grande gloire !
SergueiBorav L'homme que nous aimons le plus
Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 35
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 13 Jan - 9:31
Nous avons bien rigolé, c'était une bonne béta bien sympa, aussi je compte en refaire un bientôt.
Qui souhaiterais jouer et à quelle heure de quel jour ?
Moi perso je suis un peu dispo tous les soirs, samedi et dimanche entier, mais certains ne peuvent pas se coucher aux heures qu'ils souhaitent, d'autres doivent aller manger avec leurs parents.
MKI Chipoteur de RPDC
Messages : 2406 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 32 Localisation : Caen
Sujet: Re: Jeux via Skype Lun 13 Jan - 12:30
MKI réussira son coup d'Etat écologiste la prochaine fois !
dispo tous les soirs (sauf le jeudi soir) et dispo tout le week-end
Je pense que faire ça un samedi après-midi à partir de 13H30 peut être pas mal