Jeux via Skype

Je suis partant et je suis dispo un peu n'importe quand. C'est plus mes indisponibilités que mes disponibilités qui sont ponctuelles.

Pareil que Tem !

Dispo n'importe quand cette semaine à partir de mardi midi jusqu'à lundi prochain.

Moi je suis rarement là, mais je plussoie vivement MKI, le samedi ou le dimanche après-midi c'est un créneau qui moi en tout cas me convient très bien.

Bon bah je vous confirme une date dès que j'en ai une.

En voilà une !

Spoiler:

De rien !

Bon, je prévois un autre MV via skype samedi et/ou dimanche dans l'après midi, genre 14h30 à 18h00 quelque chose comme ça.

J'ai fait un google drive pour y inscrire vos disponibilités ça sera plus clair que de recenser des inscriptions via le topic : https://docs.google.com/spreadsheet/ccc?key=0AkWmqMhUCuEfdFMtVUE2cWVhenNtNGx1SjRPbHpXOFE&usp=sharing

Jeu skype prévu samedi/dimanche après midi/soir prochain.

La Ponéroumanie survivra t-elle aux ambitions Russes et à la communauté Russe ?
Parviendra t-elle à rester neutre dans le conflit Ukraino-Russe ou en profitera t-elle pour récupérer des territoires injustement perdus ?
Confirmera t-elle son entrée dans l'Union Européenne ou s'en éloignera t-elle ?
Les minorité musulmanes du sud poseront t-ils problème ?
Saurez vous contrer l'ambition des voisins Roumains et Hongrois ?
Relèverez vous les défis économiques qui vous attendent ?

Gloire !

Non.
Non.
Non.
Oui, pour un temps.
Les quoi ça ?
Bien sûr !

On vient d'improviser un petit jeu via skype avec Temudh, Koratos et Hames et on s'est bien fendu la gueule :

18 aout 1862, la petite ville de Angerstown au Texas ...

Le Sherif Jonathan Hames, arborant une barbe bien fournie et son étoile de shérif luisante est toujours à la recherche de Samuel Koratos, le nécro-pédophile qui rôde dans le comté. Soudain, il aperçoit un nègre !

"Hola sale négro, qui est tu et que viens tu foutre dans ma belle cité ?"
"Je m'appelle Temoudoune, je mi suis échappé de mon maîtwe qui est twès méchant !"
"Mhmmm, il y a surement une belle prime sur ta face de pet, vient par ici que je te menotte !"
"Jamais, je suis un homme libwe !"

Temoudoune se rue dans le saloon, le vaillant shérif s'y précipite à son tour. HORREUR, Samuel Koratos, le nécro-pédo bien connu est la lui aussi, sirotant une bière.

Les trois hommes brandissent leur revolver, ils disposent de 6 cartouches et pendant quelques secondes, alors que les clients fuient le bar en courant, ils se font face.

Tout va très vite, Koratos monte à l'étage pour se planquer derrière la balustrade, Hames attrape la serveuse et s'en sert de bouclier humain alors que Temoudoune lui tire une balle qui vient frapper l'innocente barmaid en plein torse.

Temoudoune voyant que son tir n'a pas eu d'effet et sachant que la corde l'attend, sort du saloon et attrape un bâton de dynamite dans les sacoches du cheval d'un prospecteur.

Hames lache le corps de la serveuse en hurlant "En avant pour affronter Fafner !" et tire trois balles dans le plancher du premier étage pour atteindre Koratos aux fesses alors que celui ci tire deux balles en direction du Sherif, tous les deux échouent car ils sont de mauvais tireurs.

Koratos fuit, il court vers le balcon et aperçoit avec horreur Temoudoune allumer le bâton de dynamite avec sa cigarette Malboro et le lancer au rez de chaussée du saloon par la fenêtre, il lui tire néanmoins dessus mais le loupe.

Hames à l'intérieur se couvre le visage du sang de la serveuse et se planque derrière le bar pour s'emparer d'une bière qu'il boit sur le champ. La dynamite explose, Hames est blessé par le feu qui crépite sur sa barbe.

Koratos y voit une occasion, il sort sa bouteille de chloroforme dont il se sert pour attraper des petits enfants ... Alors que Temoudoune lui tire dessus et l'atteint au bras, la bouteille tombe mais n'est pas brisée.

Hames, le visage couvert de sang, la barbe en feu, trafique deux bouteilles de whisky avec deux cartouches et se les place dans le slip avant de foncer sur Koratos, le flingue braqué sur son slip, avec la nette intention de se faire exploser.

Koratos ramasse la bouteille et la lance sur la barbe enflammée de Hames, mais le loupe, elle explose à côté et le slip d'Hames explose ! Il est coupé en deux, rampe sur le sol du bar, devenu un brasier, la barbe brulée et le visage plein de sang.

Koratos grimpe sur le toit du batiment et saute sur un toit voisin pendant que Temoudoune prépare un rituel vaudou en se basant sur le sperme trouvé dans l'anus de son fils qu'il a juré de venger et dont il gardait un échantillon jusque la, on entends le Shérif crier "JE TE HAIS" à l'intérieur du saloon !

Koratos approche de Temoudoune par derrière (comme à son habitude) et brandit son revolver, Temoudoune se retourne et lui fait face achevant son rituel, soudain, Hames bondit dans une explosion par la porte principale du bâtiment, brandissant un drapeau dixie d'une main, son revolver dans l'autre, un fer à repasser entre les dents, monté dans un petit chariot en hurlant "TOUDOU TOUDOUUUUU" au travers de son fer à repasser. Ahuri par le spectacle, Temoudoune ne prête plus attention à Koratos qui lui tire illico trois balles en plein torse ! Temoudoune dans son dernier souffle décapite la poupée vaudou, mais le rituel ne fonctionne pas, le noir s'écroule au sol et la poupée imbibée de sperme lui tombe sur visage et glisse doucement sur le côté.

Hames, mutilé et en feu, effectue un dérapage, s’arrête et ajuste le criminel qui se précipite pour récupérer les munitions de sa victime.

"Quand il y en a trop sur terre, les nécro-pédophiles retournent en enfer !" et l'abat d'une balle dans la tête, Koratos s'écroule, mort.

Le Shérif agonisant est immédiatement sauvé par la population soulagée et il est soigné par le médecin du village, Angerstown est sauvé et Hames est son prophète !

Gloire au Shérif !

Un autre jeu Skype à l'instant avec Temudhun, Zhyma, Hames et Dorhinel :

2 juillet 2014, Paris, un commando armé de trois personnes cagoulées attaque la rédaction de Dodo Hebdo, le journal satirique de gauche bien connu. Le bilan est terrible, 18 morts, autant de blessés. La France est en émoi alors que le commando terroriste (Temudhun) quitte la ville avec un objectif : Parcourir 200 km en direction du nord pour atteindre le point d'extraction.
Les forces du RAID (Zhyma) et du GIGN (Hames) se ruent à leur poursuite, estimant la position du commando à quelques kilomètres au nord de la capitale. Dans le même temps, le 2ème Régiment Étranger de Parachutistes de la Légion Étrangère (Dodo) s'autodéploie, rendu furieux par les amalgames qui ne manqueront pas de prospérer à la suite de l’événement.

H+00'07, le GIGN (Hames) se positionne au kilomètre 23 dans l'intention de faire sauter la voie, dans le même temps le RAID (Zhyma) se positionne au kilomètre 73.

H+00'11, km29, deux passants signalent le vol de leur téléphone portable par le commando armé (Temudh), les forces de police du RAID (Zhyma) mettent immédiatement les portables sur écoute et effectuent une triangulation pour repérer l'emplacement des terroristes.

H+00'13, km31, les forces du GIGN aperçoivent deux voitures roulant a vive allure vers le nord, ils les prennent en chasse avec deux minutes de retard.

H+00'16, dans Paris et sur le chemin jusqu'au km75, les forces du GIGN, du RAID et de la Légion prennent des centaines de musulmans en otage dans le but de négocier avec le commando, rien n'y fait. Des accidents ont lieu et plusieurs massacres ont lieux dans des mosquées, impliquant des parachutistes de la Légion et des membres du GIGN.

H+00'17, la circulation est coupée par la Légion au km 75

H+00'19, une équipe du GIGN s'introduit de force dans les locaux du ministère de l'immigration et y découvre des documents, le commando serait composé de 5 à 8 terroristes, le complot semble national.

H+00'24, les véhicules du GIGN subissent une explosion de grenade, leurs véhicules blindés sont indemnes mais ils perdent quelques précieuses minutes, le commando s'est volatilisé.

H+00'31, km75, un barrage routier de grande ampleur est installé par la Légion et le RAID, le GIGN continue la poursuite.

H+00'38, km66, un massacre atroce a lieu dans la boulangerie d'un village, les clients et gérants sont exécutés, les pains au chocolat sont volés, les croissants jetés au sol et piétinés avec rage.

H+00'42, km66, le GIGN arrive sur les lieux du carnage, se met en ordre de bataille et avance vers le petit commerce endeuillé, trois hommes en sortant sont immédiatement fusillés par un GIGN trop nerveux qui vient de tuer trois potentiels témoins.

H+00'46, km75, la Légion appelle sur les portables volés et trahit le RAID en dévoilant le barrage qu'ils ont installé km73. Ceci dans le but de pouvoir cueillir les terroristes eux même.

H+00'51, km73, le RAID parvient à géolocaliser les téléphones volés, l'un se trouve au kilomètre 29, l'autre au kilomètre 66.

H+00'56, le GIGN rejoint la Légion et le RAID au km75 et renforce le barrage. Dans le même temps, une autre équipe du GIGN est parachutée sur l'Elysée et en prend rapidement le contrôle, cherchant un dénommé "Abdallah de Bourgogne". Les troupes entrent dans le bureau du président qu'ils appréhendent. Ils interrogent le suspect qui déclare s'apeller monsieur Hollande. Astucieux, les hommes du GIGN décident de torturer l'individu qui révèle être Abdallah de Bourgogne et faire partie du complot. Sans plus attendre l'un des membres du GIGN défenestre le criminel qui clame en tombant : "Mais j'avais plein d'informations a donneeeeeeeeeeer". Le président François Hollande, traître à sa patrie, alias Abdallah de Bourgogne décède sur le coup.

H+01'01, km29, un passant ramasse un portable au sol, il reçoit un appel du RAID : "Alors chien de musulman, ça te plait d'entendre tes semblables couiner comme des truies ? *ARghahghghhhh pitié par les chiens AHRAHHYHGHGHHHHH*, traumatisé, le passant subira trois années de soins psychiatriques intensifs.

H+01'05, un véhicule de livraison explose sur les mines placées par le RAID au km73, les victimes civiles sont de plus en plus nombreuses, la France se pose des questions sur les compétences des chefs des groupes lancés aux trousses des terroristes.

H+01'07, km75, une fusillade éclate entre les membres du RAID et trois piétons, blessés aux jambes, ces derniers se révèlent être des terroristes. Aux cris de Allahou Akbar, ils se retranchent dans un fossé de la route forestière et ouvrent le feu sur les policiers.

H+01'08, km75, trois membres du RAID sont au sol, deux terroristes semblent morts, mais le dernier résiste toujours, il subit sans dégâts l'explosion d'une grenade a dix mètres de sa position, puis une attaque au lance flamme avant d'égorger les six chiens de la brigade cynophile du RAID. L'assaut est finalement lancé sur sa position et l'homme est touché une nouvelle fois et sombre dans le coma, non sans avoir abattu un autre membre du RAID.

H+01'18, alors qu'un nouveau barrage du RAID se met en place au km100, les régiments de parachutistes de la Légion repèrent la trace d'un fuyard en direction d'un hameau de trois habitations sur les indications d'une résidente septuagénaire au km78. Les drones thermiques du RAID apportent leur soutien et signalent quatre personnes dans une maison, cinq dans l'autre. Les légionnaires prennent la décision controversée de brûler les deux maisons. Le terroriste quitte la première maison par la porte de derrière, laissant un bébé bruler aux côtés du cadavre de son père qu'il avait égorgé. Il emmène dans la forêt toute proche la mère en otage alors que la famille de la deuxième maison sort en hurlant, a moitié consumée par les flammes.

H+01'21, la forêt est encerclée par la Légion, rapidement rejointe par les forces du GIGN qui chassent toutes les personnes s'y trouvant à la fléchette anesthésiante. Malheureusement, la Légion avait lancé un incendie dans la forêt pour en faire sortir le terroriste, les morts se comptent par dizaines.

H+01'24, Paris, le GIGN vient de prendre le pouvoir et d'instaurer la régence. Le capitaine Jérome Degrelle est immédiatement élu régent par lui même et ses forces composées de vingts agents et trois véhicules blindés défilent dans une grande parade de la victoire de l'Elysée à la place de l'Etoile.

H+01'25, Paris, alors que le RAID tentait de mobiliser les populations contre les musulmans, ils sont immédiatement pris à partie par la population mécontente et inquiète du déroulement de la traque des terroristes. Le RAID réprime l'embryon d'émeute dans la violence et le sang.

H+01'27, Paris, le défilé du GIGN est attaqué alors que le Régent Degrelle s’apprête à faire un discours pour calmer la foule. Celle ci ne se calme pas et attaque le convoi qui est totalement débordé, le Régent est pendu à un lampadaire public.

H+01'34, un immense barrage se met en place au kilomètre 100 comprenant des forces du GIGN et du RAID, la Légion elle s'est installée au kilomètre 150 alors qu'on signale un massacre dans une église au km80 commis par un terroriste.

H+01'41, le corps d'un gardien d’aérodrome est retrouvé au km49, les vigiles enquête pour savoir si un avion a disparu.

H+01'45, les hélicoptères de la Légion récupèrent un homme d'origine africaine dans la forêt en flammes, celui ci prétend avoir des informations et accompagne les légionnaires jusqu'à leur barrage du kilomètre 150.

H+01'53, Paris, la Légion force les bureau du Chef d'Etat Major des Armées françaises et l'exécute pour lui dérober les codes de lancement nucléaire, ils négocient avec l'état islamique l'arrêt des conneries sous menace d'une bombe nucléaire ce qui n'émeut pas les djihadistes. Diffusant la conversation qui s'ensuivit, la Légion parvient à relancer les conflits au Moyen Orient.

H+01'59, le GIGN fusille de nombreux protestataires dans les rues de Paris à l'arme automatique, l'émeute est totalement réprimée et le GIGN reprend le pouvoir, installant un nouveau Régent. Le RAID et la Légion obtenant titres et privilèges prêtent aussitôt allégeance.

H+02'11, un avion est repéré au km100 par les forces du GIGN et du RAID, ces derniers se déplacent au kilomètre 200, le GIGN poursuit l'avion en hélicoptère.

H+02'15, un légionnaire isolé arrive au barrage du km 150 et s'empare d'un véhicule de la Légion, il s'agissait d'un terroriste déguisé. Il emmène également l'africain sauvé dans la forêt en flammes qui s'avérait être le terroriste qui s'y était réfugié. Les deux fuient en direction du nord, approchant le kilomètre 200 à grande vitesse.

H+02'22, Paris, le nouveau Régent instaure le Parti Patriote Français et le rend obligatoire, il déménage également la demeure des Régents de France à Versailles. Le RAID organise de nombreux défilés de triomphe dans les rues de Paris pacifiée en l'honneur du nouveau Régent.

H+02'25, le Régent révèle les carnets secrets du président français, lesquels contiennent les preuves de la complicité de Dodo Hebdo dans un immense complot koratiste ainsi que l'existence de deux CD dérobés par les terroristes. Ces CD contiendraient les preuves de l'implication de hauts responsables français dans des snuffs movies pédophiles a tendance koratiste. Cette vérité que cherchaient a faire apparaître les terroristes est aujourd'hui entièrement contenue dans deux CD qui doivent franchir le km200 à tout prix !

H+02'29, le petit avion de tourisme repéré au kilomètre 100 est abattu par les forces anti-aériennes de la Légion Étrangère au kilomètre 150, en même temps que les deux hélicoptères du GIGN qui le poursuivait.

H+02'31, l'africain et le faux légionnaire qui avaient réussi à franchir les barrages et dérober un véhicule de la Légion arrivent devant l'ultime barrage du RAID au kilomètre 200 et entament une violente fusillade. La proximité de leur objectif redouble leur ardeur et leur courage, près de 6 hommes du RAID tombent ansi que 10 citoyens armés par ces derniers.

H+02'33, le pilote de l'avion a quitté l'avion en flammes en parachute et atterit au sol, criblé de balles et dans un état très grave.

H+02'34, alors que le RAID et le GIGN paradent dans Paris, que leurs forces sont à la poursuite des trois criminels encore en fuite entre le kilomètre 200 et le kilomètre 150, que les forces antiaériennes de la Légion fuient la région à toute vitesse, le commandement de ces derniers prend une décision radicale et envoie une tête nucléaire sur le km200. L'explosion ravage tout à 100 kilomètres à la ronde, les deux terroristes du kilomètre 200 meurent sur le champ en même temps que les forces du RAID, le pilote de l'avion, mortellement blessé, agonisant et brulé au deuxième degré cherche en vain une oreille attentive pour raconter le véritable objectif de leur attaque originelle.

H+02'39, Bernard Henri Levy rencontre le mourant, récupère le CD et déclare : "La liberté prévaudra toujours sur la tyrannie !" Avant d'être abattu par un membre du GIGN a la recherche du précieux CD qu'il détruit aussitôt. Les terroristes ont perdu.

EPILOGUE : Le Moyen Orient est entré dans une guerre totale, la France est atomisée et ravagée, le Régent prépare les fêtes d'avènement de son règne après avoir réussi à réprimer une tentative de coup d'état de la Légion Étrangère menée par l'archiprince de Manosque, comte de Corse et protecteur du Var.

Ce fut rude, mais l'Etat de droit a prévalu face à la tyrannie autocratique du terrorisme.