Going Medieval - Recit

Arkantham ... ce nom inscrit à la plume sur un vieux parchemin était le seul à témoigner de l’existence d'un hameau éponyme. Car le lieu en question n'existait pas encore ! Pour l'heure, il ne s'agissait que d'une plaine morne et désolée que seuls quelques bandits et fugitifs se disputaient. Mais le seigneur qui avait reçu ces terres du roi - une bien mauvaise farce à vrai dire - était bien décidé à défricher l'endroit et y installer des paysans afin d'en tirer profit, aussi maigre était-il.

8 autres villages ponctuaient également ce triste pays tel des fanaux peinant à percer un inquiétant brouillard.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Des paysans furent donc envoyé sur place afin d'y bâtir en premier temps un corps de ferme fortifié, afin de tenir en respect les légions de bandits qui hantent la région. Ils étaient quatre :
Emileen, une jeune femme de petite taille (155cm) mais tout en rondeur (117kg). Très paradoxale, elle était à la fois délicate, amoureuse des choses fragiles et belles ; mais dévoilait parfois une férocité macabre que seul le sang pouvait satisfaire ... Car sa vie fut loin d'être simple du haut de son jeune âge !  C'était une maître d’œuvre accomplie grâce à une expérience durement acquise sur les nombreux chantiers de cathédrales qui fleurissent sur le continent. Hélas pour la pauvresse, son retour en Angleterre coïncida avec l'arrivée de la peste noire. Seule survivante de sa famille elle dû elle même brûler le corps des siens ! Suite à ce drame elle s'en alla vivre au milieu des bois païens avec sa grand mère qui s'adonnait dit-on à la sorcellerie. C'est là qu'elle appris la langue secrète des bois sauvages !

Maraud, un semi-homme (114 cm) plutôt rondouillard (70kg). Ce bagarreur originaire de Catalogne comme il se plaignait à le rappeler le soir, quand il crevait du froid de l'Angleterre auprès du foyer, savait soigner les animaux et parfois les humains. Très instruit il comprenait les croyances des sarrasins et était initié aux enseignements de Galien et d'Aristote. Mais son patron, un grand médecin de peste de Barcelone s'ouvra un jour les veines en maudissant les français ainsi que son propre souverain. N'ayant pas le cœur à comprendre ce drame impie, il pris la fuite en direction de l'Angleterre, afin de changer de vie ...

Fabian, aux yeux divergents ! Il était courtaud (163 cm) mais plutôt fort (73kg). Assez laid, il savait pourtant apprécier les jolies choses qu'il convoitait ... Détail important : il était roux ! Autrefois compagnon émérite du plus grand forgeron de Chartres, sa vie fut changée sinon détruite, comme tant d'autre lorsque la peste frappa ! perdant son maître et son foyer, il se retrouva à errer les rues, dépouillant les cadavres pestiférés qui jonchaient les ruelles en quête de quelque richesse. C'est là qu'il trouva un jour une paire de ciseau et entrepris avec de découper les vêtements des dépouilles des malades, afin de confectionner ses propres créations ! C'est ainsi qu'il devint tailleur amateur. Mais quand le prévôt de Chartres découvrit le gagne-pain du jeune homme, il dût fuir pour l'Angleterre afin d'éviter le gibet.

Et enfin Hames dont la grandeur (196cm) et la robustesse (96kg) n'avaient d'égales que sa laideur ! Il aime par dessus tout la nature et prête facilement l'oreille aux animaux et au bruissement du vent dans les feuilles. Tanneur émérite, il savait confectionner des cuirs dont lui seul avait le secret grâce à des recettes ancestrales à base de boyau de mouton, de cervelles de renard et de sève et d’excréments de vierge. Sans lui, personne n'aurait d'aussi jolies bottines ! Il était peu populaire car les tanneries, surtout la sienne, empestaient. Fuyant à la campagne suite à la peste, il trouva une jument en train de mettre bas. Pris de pitié il décida de consacrer ses jours à s'occuper des animaux.  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Ces quatre paysans s'installèrent alors dans cet endroit désert où s’élèvera un jour le fief de Arkantham ! Mais pour l'heure, il ne s'agissait que d'une modeste masure garnie de quelques couches de paille infestées de puces...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

La vie dans ce nouveau hameau était assez rude. Les bras manquaient mais pas les estomacs ! Car si tous avait un toit de chaume sur la tête, l’approvisionnement en nourriture et sa conservation allaient être des défis de taille et personne ne savait, pour l'instant cultiver un champs. Les paysans allaient devoir vivre sur le pays pendant un temps !

Il fut décidé de répartir un certain nombre de tâches par individu, selon les avantages de tout à chacun. Hames pris un arc, décidant qu'il était le meilleur chasseur. Personne ne le lui contesta. Il décida également qu'il se chargerait de couper du bois, cueillir des plantes et rechercher dans les quelques grimoires à disposition la manière dont on plante les choux, à la mode de chez lui. Emileen ajouta qu'elle pouvait aider Hames dans la cueillette et la recherche des arcanes de l'agriculture même si elle excellait surtout en construction. Fabian s’esclaffa qu'il était également compétent en ce dernier domaine et que, du reste il voulait bien se charger de la cuisine. Enfin le groupe baissa les yeux vers Maraud qui conclut qu'il pouvait bien aider à la coupe des arbres et à la cuisine.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Hames avec ses grimoires

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Maraud à la cuisine, sous la pluie

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Fabian aux charpentes

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Hames à la chasse

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Maraud au bois

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Emileen et Fabian transportant des ressources



Mais la torpeur du quotidien fut brusquement interrompue par l'arrivée d'un fugitif. A la surprise générale, il entra au village, nu et paniqué. Des chaînes lui liant le cou et les poignées et son dos était meurtri, sanguinolent de par de nombreux coups de fouet ! On le poursuivait, dit-il, des faquins étaient à ses trousses et lui en voulait à sa vie ! Il supplia l'aide de nos quatre villageois en bon chrétien qu'ils étaient. Car il est vrai que l'étranger est envoyé par Dieu et qu'il était du devoir de tout bon croyant de savoir ouvrir sa porte à qui le demandait. Il fut donc décidé de recueillir le fugitif prénommé Elmer, et de panser ses plaies ...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le fugitif

Mais tandis que le fugitif se reposait, l'inquiétude gagna le cœur des paysans : Des bandits étaient certainement en chemin ... Et la faim qui en démangeait certains n'était pas à même de leur faire envisager cette perspective avec sérénité, la panique les gagnait ! Allait-il affronter des bandits alors que l'inanition les guettait ? Allait-il périr ? Il fut décidé en grande hâte de précipiter les travaux de renforcement autour du corps de ferme et tant pis pour la ration du jour ! Fort heureusement, l'enceinte du bâtiment était presque déjà terminé si bien qu'il ne restait plus que quelques palissades et épieux à dresser afin de ceindre la place. Quand le soleil et coucha et la lune se leva, se fut terminé. Mais malgré ces défenses supplémentaires la faim et l'angoisse tiraillaient les paysans ...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le lendemain matin les craintes des paysans furent justifiées ! Quatre bandits se présentèrent devant la ferme, demandant que l'on leur restitue le fugitif ! La tension était à son comble, les paysans allaient-ils devoir livrer combat ? Mais les fripons décidèrent d'opter pour les arguments de la langue avant de sortir ceux du fer. Ils arguèrent qu'il s'agissait d'un païen et que sa place était sur le bûcher, et ajoutèrent que quiconque l'aiderait ne pourrait être considéré comme frère chrétien. Cependant ils étaient prêt à comprendre l'ignorance des habitants de la ferme s'ils acceptaient de remettre le fugitif. Ou bien les arguments étaient très bon, ou bien les paysans étaient aussi mort de trouille que de faim, mais ils décidèrent, en grande honte de remettre leur hôte. Fabian se chargea de réveiller l'homme. C'est la gorge sèche qu'il lui annonça que ses tortionnaires étaient là pour le récupérer. Vide de ses forces par la fatigue, la faim et les meurtrissures, l'homme n'eut même plus la force de pleurer. On l'aida à se relever et il s'en alla en titubant, sans jeter un regard en arrière, qui de toute manière n'aurait trouvé réponse : Tout les habitants du hameau avaient les yeux baissés, honteux.

[img(1000²px,500px)][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Plus personne ne reparla de cet évènement au hameau. Il y avait bien trop de travail pour se tourmenter l'âme ! Et si le risque de disette avait enfin été écarté par la plantation de choux et la fabrication d'un boucan pour la viande - Hames était enfin parvenu à percer les secrets de l'écriture - il restait bien des choses à faire pour rendre ce lieu digne d'être mentionné sur une carte. On redoubla alors d'effort pour se changer les idées, mais aussi pour renforcer l'endroit au cas où une autre bande de brigands passerait dans les parage. De plus il fallait satisfaire les demandes capricieuses du seigneur d'Arkantham ! Celui-ci voulait une cave où stocker de l'alcool alors que le hameau n'en produisait même pas. Hames se chargea de creuser cette cave sous le cellier.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Hames qui creuse la cave à vin pour le capricieux seigneur d'Arkantham

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Maraud dans les choux

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Fabian au boucan

Néanmoins les conditions de vie s'amélioraient petit à petit. Désormais les colons pouvaient presque s’enorgueillir d'avoir une chambre individuel - des parois avaient été dressée entre les différentes couches - et des lits en bois avaient été installés ! Même si les puces étaient toujours présentes de même que la paille. Mais en la surélevant ils évitaient bien des désagréments.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le nouveau dortoir.

De même de nouveaux bâtiments avaient été construit. Une salle pour se divertir et prier tout d'abord puis une salle commune où manger et discuter ... la colonie prenait forme !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Maraud qui joue tout seul au backgammon qui du reste est trop haut pour lui.  


Un beau jour d'été un étranger arriva à la colonie. Il demanda une place sous les modestes toits de la ferme. Les occupants de celle-ci s’inquiétèrent de savoir si l'homme était poursuivi, mais il n'en était rien. C'était simplement une âme errante comme il en existe que trop ici bas. Amateur de boisson et de soleil, l'homme demanda à se faire appeler Lucius. C'était un ancien boucher qui savait faire des merveilles de son couteau. Aucune bête n'avait de secret pour lui et on racontait qu'il était capable de transformer le moindre gibier à paysan en véritable met pour un prince ! Mais tout cela était loin derrière lui, car depuis la peste il avait beaucoup changé ... Le hasard voulu que lui aussi découvrit sur un cadavre pestiféré une paire de ciseaux avec laquelle il se pris de passion pour le métier de tailleur. Cela lui faisait un point commun avec Fabian qui du reste fut joyeux d'accueillir l'homme à la colonie.

Hélas pour nos fermiers, s'ils accueillirent avec joie le nouveau venu - car une paire de bras était toujours la bienvenue maintenant que les risques de disette étaient écartés - le tout puissant sembla vouloir les mettre à l'épreuve : Une bande de bandits s'attaqua ainsi au village ! Mais pourquoi donc, se demanda t-on, y avait-il un rapport avec l'histoire de ce fugitif du mois dernier, questionna Emileen ? Impossible répondit Hames, catégorique. "C'était un hérétique, nous avait fait notre devoir de chrétien." Mais alors quoi ? Les paysans n'eurent pas le loisir de chercher une réponse, les vils brigands montaient à l'assaut ! On pria et on s'arma dans la hâte, avec ce qu'il pouvait bien y avoir : arcs, lances ou coutelas. Mais c'était trop peu pour tout le monde ! Hames se retrouva à devoir se battre à mains nues depuis qu'il avait cédé son arc au nouveau venu, bien plus habile que lui !

La bataille fut terrible, si certains bandits tombèrent dans les quelques pièges qui avaient été préparés pour l'occasion, la plupart parvinrent à pénétrer dans la cour centrale où une bataille s'engagea autour d'une palissade. De son côté Lucius tenta d'attirer certains bandits dans les bois et de les harceler de son arc afin de libérer ses compagnons de quelques assaillants qui se révélèrent mieux armés !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Lucius faisant diversion.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Emileen pris au contact avec les bandits

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le violent combat de la palissade.

Tous nos héros furent blessés, parfois gravement dans cet affrontement. Celui-ci demeura incertain un long moment mais la bravoure et la ruse des paysans eurent raison de la sauvagerie de ces fripons et la plupart périr. Les paysans délestèrent les morts de leurs effets de valeurs, puis un bûcher fut dressé pour incinérer leurs corps. Enfin aucune blessure ne fut trop sérieuse pour ne pouvoir être guérie.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Un bandit fuyant le champ de bataille en y laissant ses tripes

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Si la récente victoire contre les bandits avaient donné du baume au coeur, il était certain pour les paysans d'Arkantham que ce n'était que le prélude d'une glaciale symphonie : L'hiver approchait et avec elle son lot d'incertitudes. Allait-on avoir suffisamment de vivre pour se nourrir, se couvrir et se chauffer ? Allait-on pouvoir se défendre si d'aventure des pillards affamés ne décident de s'attaquer au hameau ? Nul ne savait. Mais pour sûr, on décida de construire une première tour en pierre. Celle-ci, premier jalon d'un futur mur d'enceinte, servira d'abri fortifié en cas d'attaque. On en posa les premières pierres, non sans accident car par mégarde Emileen fut emmuraillée vivante tout une nuit !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Mais cela n’empêcha pas les travaux de se poursuivre, lentement mais sûrement. Hames se chargeait de récupérer le calcaire nécessaire à la construction et Emileen et Fabian de monter la structure. Fort heureusement un prompt renfort vient porter assistance au village dans son entreprise de fortification en la personne de Marvailh. Cette jeune galloise à la petite stature mais aux fortes rondeurs parcourait l'Angleterre, allant de bourg en bourg, de hameau en hameau afin de faire profiter aux vilains de ses talents de cordonnières. Mais elle aussi avait eu sa vie bouleversée par la peste. Devenu laconique, elle passait le plus clair de son temps à boire quant elle n'était pas en forêt à écouter le murmure du vent dans les arbres, jurant qu'il s'agissait de fées.
On fit bonne place à cette nouvelle venue et le chantier progressa davantage encore ! Quand les premières neiges tombèrent, les bases d'un corps de garde avaient été levée.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

L'hiver fut marquée par une vague de froid sans précédent. Les récoltent gelèrent sur pied tandis que les arbres se fendirent. De nombreux paysans soufrèrent de gelures et certains s’évanouirent même dans les neiges. Des loups se mirent également à roder aux abords du village, interdisant toute sortie pour quérir bois ou gibier. Heureusement les réserves étaient pleines.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Mais aussi rude fut-il, l'hiver passa et bientôt le blanc s’estompa, redonnant vie aux verts des plantes et au bleu du ciel. Une année entière allait bientôt s'être écoulée depuis l'installation de nos paysans en ces terres hostiles.

Une année révolue et les beaux jours arrivés, cela emplie de joie et d'espoir le cœur des paysans. Une nouvelle paysanne fit également son entrée dans le hameau. Il s'agissait d'une chirurgienne réputée du nom de Lune. Elle s'était égarée dans les bois et avait finalement trouvé le hameau d'Arkantham, après de nombreux jours à dormir dans la boue sans rien avoir à se mettre dans le ventre. Mais la dame cachée un lourd secret ! Si apte à guérir les plaies elle était, elle avait développé une répulsion certaine en ce qui concernait les pestes. Ainsi lorsque le mal noir arrivé, elle s'enferma dans son cabinet, verrouillant la porte et, terrifiée à l'idée d'entrevoir la maladie, se garda bien d'ouvrir aux malheureux mourants qui venaient gratter à ses gonds.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Lune arrivant au Hameau

Une fois ses forces retrouvées, la chirurgienne se révéla être une alliée précieuse, aidant aussi bien à déchiffrer d'obscure grimoire qu'aux constructions manuelles ! Les travaux avancèrent d'autant plus vite et la première tour, à présent terminée allait voir naître sa jumelle tandis qu'entre les deux se dressera la future porte du château.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Il fut également décidé de ceindre le hameau d'une rustique mais solide palissade en bois, afin de prévenir toute agression le temps qu'une véritable muraille, dont on commença à poser les bases vint le jour. Et ce fut une sage décision car la région était forte hostile et avec les beaux jours les bandits sortirent de leurs hivernages. Il ne tarda pas avant qu'une nouvelle bande ne se présente aux portes d'Arkantham, mais cette fois ci, les paysans avaient de quoi se mettre à l'abri et riposter depuis la sécurité des murs de pierres.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Une horde de bandit approchant par les bois

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Lune, Lucius et Marvailh armés d'arcs bien en sécurité en haut de la première tour.

Les brigands furent accueilli par des flèches, mais il en fallu davantage pour les démoraliser ! Ils s’engouffrèrent par l'une des portes du hameau, nombreux furent blessés par les pièges qui y avaient étés disposés, mais ils continuèrent sans relâche leur charge.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Arrivant sur la place, ils la trouvèrent vide. Tout nos héros étaient sur les murs, tirant des flèches ou s’apprêtant à en découdre si naguère les truands auraient l'idée d'y forcer un passage.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Mais à l’affut du gain ils étaient et nombreux furent-ils à se disperser, démolissant, pillant ce qu'ils trouvaient dans le hameau. Un certain nombre cependant, fortement enragé par les incessantes volées de flèches vinrent pour tentés l'aventure d'atteindre les archers dans leur nichoir de pierre.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les truands s'attaquant aux établis et aux ressources.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Les bandits entrant dans un baraquement donnant accès à la tour.

Les portes ne résistèrent pas longtemps aux coups de hache de ces païens et bien vite le combat s'engagea entre les murs de la tour. Celui-ci fut féroce, mais heureusement les bandits, éprouvés par les fourbes pièges et le harcèlement des goguenards archers furent un à un défait.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le combat de la tour.

Un seul de ces fripons en réchappa et parvint à fuir le hameau sous les tirs de nos 3 archers. Une fois de plus, les habitants d'Arkantham prouvèrent leur valeur et leur détermination à vivre dans ce désert païen.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]