Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 25 Juin - 12:33 | |
| Les étoiles représentent les armées dont un déplacement à été signalé. Les zones hachurés blanches sont les zones agitées par les révoltes. Pour plus de visibilité j'ai fusionné sur la carte les petits états italiens, ils seront autonome dans le jeu. La Carte actuellement présenté n'est pas la carte finale comptant la Russie - Description de la bataille:
18 Juin 1815 18h38
Ney venait de prendre la ferme de la Haye Sainte avec ses cavaliers et l'appui du IIe corps d’infanterie de Reille. Conformément au plan de Napoléon, quatre-vingts canons y furent rapidement déployés pour pilonner violemment le centre britannique. Après quinze minutes, Ney et Reille, soutenus par la cavalerie, donnèrent l'assaut aux positions anglaises sur la route d'Ohain. Il ne leur fallut pas vingt minutes pour enfoncer profondément le système défensif par le milieu, mettant les défenseurs en déroute. Coupée en deux, l’armée coalisée préféra se replier en bon ordre vers le Mont St Jean en emportant son artillerie. Toutefois, ces armes étant très peu mobiles et très lentes, elles furent les cibles premières des chasseurs français. Entre protéger leur précieux chargement et mourir ou fuir, les artilleurs firent rapidement leur choix, et prirent leurs jambes à leur cou.
Malgré ce succès, la bataille était loin d’être gagnée. Les alliés parvinrent finalement à sauver une vingtaine de canons, et rassemblèrent près de quarante mille hommes sur le Mont St Jean. D'autre part, les Français étaient menacés par les troupes prussiennes, qui prirent place sur leurs arrières, coupant leur ligne de ravitaillement et de retraite. Blücher fut toutefois bloqué dans le village de Plancenoit par l’arrière-garde impériale. Celle-ci batailla à moins d'un contre trois depuis plusieurs heures pour assurer le contrôle du village. La réussite de la bataille semblait passer par la possession Plancenoit, mais le génie tactique de Napoléon n’accorda qu’une attention secondaire aux conclusions formulées par ses généraux.
Profitant de la désorganisation des Prussiens après un nouvel assaut échoué, l'Empereur prépara un plan d'un assaut total sur les positions britanniques, tout en dépêchant un régiment de grenadiers de la Vieille Garde pour soutenir les défenseurs de Plancenoit. L’arrière-garde française devrait tenir tête aux Prussiens jusqu’à ce que Napoléon revienne, malgré la supériorité numérique flagrante en faveur des assaillants.
La Vielle Garde, presque au complet, fut la première à monter l'assaut du Mont. Le peu de canons anglais lui permit d'avancer au pas, ce qui ne manqua pas d’impressionner tant les soldats français que leurs homologues britanniques. L’artillerie française entra en action pour couvrir la progression de l’infanterie, faisant s’abattre un déluge de feu sur le Mont Saint Jean.
C’est aux alentours de vingt heures que les Prussiens remontèrent à l'assaut de Plancenoit, après un usage abondant de leur artillerie. Malgré l'acharnement des Français, le sud du village fut rapidement nettoyé et les assaillants remontèrent vers la place centrale. Un combat très violent s'engagea dans le cimetière, alors que des éclaireurs signalèrent à l’arrière-garde impériale que Blücher venait de lancer toute son armée et ses réserves dans la bataille. Pour accueillir honorablement ces nouveaux adversaires, le général Duhesme rallia autour de lui les lambeaux de son infanterie et sollicita l’intervention des grenadiers de la Garde, restés jusque-là en attente. Unissant leurs dernières forces, les Français firent une charge à la baïonnette qui prit à contrepied les assaillants et les chassa hors du village. Emporté par son élan, le général Dehesme fit même une percée dans les positions prussiennes et captura les canons qui y étaient placés. Néanmoins, cela les avait menés aussi à portée de tir des réserves de Blücher, qui ouvrirent le feu alors que plusieurs régiments de cavalerie occupèrent le terrain entre les Français et Plancenoit. Cambronne, à la tête des grenadiers de la Garde, positionna ses troupes en carré pour faire un baroud d’honneur, tout en répondant son désormais célèbre mot à l’officier prussien venu demander sa reddition. En quinze minutes, les derniers restes de l’arrière-garde impériale furent réduits à l’état de petits groupes épars utilisant les corps des morts comme barricades pour se protéger des tirs. Ils ne durent finalement leur salut qu’à l’arrivée des cavaliers du général Kellermann, qui engagèrent les forces prussiennes et ouvrirent la voie au corps d’armée du général Erlon, qui arrivait à marche forcée depuis le Mont Saint Jean.
Ce secours providentiel était l’œuvre de Napoléon lui-même. Les assauts menés contre les positions alliées ont contraint Wellington et ses troupes à se replier en désordre vers le village de Mont Saint Jean, au sommet du mont homonymique, tout en abandonnant bon nombre de blessés, de prisonniers, et les derniers canons. On racontait même que Wellington lui-même avait été pris par les forces impériales. Assuré que les Anglais ne seraient plus en mesure de lancer une contre-attaque, Napoléon dépêcha Kellermann et Erlon pour arracher Dehesme et Cambronne à leur funeste position, tout en faisant encercler l’ultime position britannique avec le reste de ses troupes.
A Plancenoit, l’arrivée fracassante des renforts français fut perçue par Blücher et son état-major – et ses soldats – comme le signe de la défaite de Wellington. Un ordre de retraite vers le bois de Paris fut rapidement donné, mais des désordres dans les régiments ralentirent la manœuvre et permirent à Kellermann de charger, transformant la retraite en déroute. Vers vingt-et-une heures trente, avec le retour du corps d’armée d’Erlon au Mont Saint Jean, Napoléon lança l’assaut final. Wellington fut officiellement capturé, Picton et d’autres généraux britanniques furent tués au milieu de leurs hommes, ce qui laissa le jeune prince Guillaume d’Orange comme commandant des armées alliées. Conscient de la défaite, il rassembla ce qu’il put de forces pour tenter une percée et se replier vers Bruxelles, sans succès, et rejoignit donc Wellington parmi les prisonniers.
Vers vingt-deux heures quinze, Napoléon put mettre pied à terre et se reposer : la bataille de Waterloo était une nouvelle victoire impériale.
- Situation en Europe:
Avec la victoire à Waterloo, plus rien n’empêchait l'armée française de marcher sur Gand pour capturer Louis XVIII et sa cour. Les hommes de Grouchy furent chargés de cette mission, et capturèrent sa Majesté et une partie de sa suite le 23 Juin, à proximité de Bruges, alors que le souverain déchu tentait d'atteindre Ostende pour embarquer vers l'Angleterre.
Suite à de nombreuses promesses française et aux sentiments noirs nourris par la population belge, cette dernière est actuellement en révolte et réclame au roi des Pays-Bas la reconnaissance de la République Belge. Avec son héritier prisonnier et les troubles dans le Sud de son royaume, Guillaume I d'Orange va devoir la jouer fine et choisir rapidement entre alliés et français ...
Dans les régions germaniques, plusieurs États hésitent à rejoindre à nouveau le camp français pour contrer la puissance grandissante de la Prusse, tandis que dans le défunt Royaume de Pologne, divisé et annexé par la Prusse et la Russie, les rebellions déjà nombreuses s’intensifient et deviennent de sérieuses épines dans les pieds de ces empires.
Les Russes et les Autrichiens ont fait jonction en Allemagne pour former une force comptant à présent un peu plus de 200 000 hommes. Cette armée se trouve à trois semaines de marche de la Belgique, mais ces empires souhaitent-ils continuer la guerre ? Les pertes alliées à Waterloo furent lourdes, on parle de plus de 25 000 morts et le double de prisonniers (la plupart des blessés ayant été fait prisonniers). La Prusse va-t-elle rapatrier le reste de ses troupes, actuellement occupées à mater les révoltes armées polonaises, vers la France ? Où va-t-elle former de nouvelles troupes sans expérience pour contrer la menace que représente désormais l'Aigle ? L'Angleterre à toujours lutté contre l'Empire, mais la défaite de Waterloo lui à coûté cher, et de nouvelles recrues sont impératives si elle veut pour suivre la guerre.
Enfin, en France, malgré la victoire, la situation n'est pas des meilleures. Certes, l'aura de Napoléon protège actuellement le pays des révoltes et les anciens soldats affluent pour reprendre du service dans l'armée impériale, mais Louis XVIII est parti avec la caisse. De plus, de nombreuses menaces militaires pèsent sur l'Empire. Personnages Jouables- Camp Français:
-Napoléon ( France/ Temudhun Khan ) -Joachim Murat ( France/Kevin13 ) : Ex-roi de Naples, il est actuellement en Corse à la tête d'une petite force et se prépare à récupérer le trône de Naples, et de là pourquoi pas le royaume d'Italie ? -André Masséna ( France/Thorn ) : Il maintient actuellement l'Ordre en Provence et hésite entre l'empire et son serment aux royalistes. -Louis Davout( France/ Varden ) : Le meilleur général de Napoléon et invaincu à ce jour. Il fait également partie de ses plus fidèles lieutenants. -Grouchy ( France/ Raft War ) : Acquis corps et âme à Napoléon, il détient actuellement Louis XVIII -Caulaincourt ( France/ Dorhinel ) : Fidèle aide de camp de Napoléon, il est son actuel ministre des affaires étrangères. -Jean Soult ( France/Hgh11 ) : Maréchal de France, il a actuellement la garde de la frontière avec l'Espagne. -Joseph Fouché ( France/Beregil ) : Il est actuellement le cul entre deux chaises, ou plutôt trois. Après avoir trahi Napoléon en 1814, il s'est mis au service de Louis XVIII, avec lequel il ne s'entend pas. Fouché va devoir choisir entre servir l'Empereur, entrer dans la résistance royaliste, ou bien créer son propre mouvement, car Fouché a de nombreux amis chez les républicains et pourrait très bien tenter de rétablir la République. Ce qui est sûr, c'est que Fouché dispose avec Talleyrand d'un des meilleurs réseaux d'informateurs connus. -Samuel Whitbread ( Angleterre/ Celtiktom) : Chef des opposants à la lutte contre la France à la chambre des communes. -Henri van der Not ( Belgique Silvio ) : Chef des révolutionnaires belges, il dirigea déjà avec efficacité la révolte brabançonne.
- Septième Coalition:
-François I ( Autriche/ Arzgluf ) : Empereur d'Autriche, il détient actuellement le fils de Napoléon et sa femme (qui est aussi sa fille) qu'il a remarié à Neipperg. -Frédéric Guillaume III ( Prusse/ Wellan ) Roi de Prusse -Guillaume I ( Pays-Bas ) : Privé de ses deux fils, son royaume en décomposition, Guillaume I d'Orange va devoir choisir son camp avec astuce pour ne pas tout perdre. -Talleyrand ( France/ MKI ) : Il détient actuellement le trésor royal français que Louis XVIII lui a fait transmettre, mais Talleyrand jouera t'il dans le camps des royalistes français ou ralliera-t-il Napoléon ?
- Résumé Diplomatique et liste des factions:
Camp français : -France : Animés depuis 1789 par de puissants idéaux de Liberté et d’Égalité, les Français avaient trouvé en Napoléon à la fois leur protecteur et le meilleur exportateur des idées révolutionnaires. Parti avec une armée de paysans, le «Petit Caporal» a conquit l'Europe, mais il a suffit d'une erreur sur le chemin du retour depuis Moscou pour que l'Empire se fissure, trahison après trahison. Aujourd'hui Napoléon est de retour en France, et qui sait ce dont il est capable ? -Révolutionnaires belges : César déjà considérait les Belges comme les barbares les plus braves. Gouvernés par des étrangers depuis des siècles, ils se sont révoltés en 1789 avant d’être massacrés par les Prussiens et les Autrichiens. Ils furent ensuite intégrés à la Première République française.
Septième Coalition -Grande-Bretagne : La plus grande ennemie de l'Empire finance les alliés depuis la première coalition. Mais cette dernière à néanmoins souffert de profondes divisions internes. Entre 1796 et 1801, la Grande-Bretagne fit face à une révolte irlandaise, puis à la guerre anglo-américaine jusqu'en 1815. Avec Waterloo, elle vient de perdre la majorité de ses troupes en Europe et doit désormais ramener ses hommes d'Amérique. Le pays du libéralisme pourra t'il résister au mécontentement croissant des financiers ? -Autriche : L'Empire Autrichien à plutôt choisi son camp au gré du vent. Après ses défaites de 1809, il a rejoint la France et a donné une femme à son chef. Mais après la Russie, la trahison est de mise et l'Autriche joue sa carte en espérant se retrouver parmi les vainqueurs. -Russie : La Russie a tiré un grand prestige de sa victoire sur la Grande Armée venue l'envahir. Elle est l'un des principaux piliers de la coalition. -Prusse : Les guerres napoléoniennes et le traité de Vienne ont été très favorables à la Prusse qui a vu son territoire doubler. Son nouvel objectif est d'imposer son hégémonie sur l'Allemagne en contrant les influences françaises et autrichiennes, mais jusqu’où cette jeune nation est elle prête à aller pour cela ? -Sardaigne : La maison de Savoie à beaucoup souffert des guerres napoléoniennes. Son territoire continental à vite été annexé sur la France, exilant la famille sur cette île méditerranéenne, mais le traité de Versailles à guéri ses plaies en lui donnant une couronne et en agrandissant ses domaines. Mais est-elle vraiment capable de s'opposer à la France ? -Pays-Bas : Etat-tampon sensé pouvoir stopper une attaque française, ce jeune royaume est en danger. Alors que les révoltes enflamment tout le Sud du pays, le roi va devoir choisir entre se rallier aux Français ou continuer avec les alliés. -Suède : Dirigé par le prince Bernadotte, ancien maréchal de Napoléon, la Suède tente actuellement de se rendre maîtresse de la Norvège et revendique aussi la Finlande, actuellement Russe. -Espagne : Minée par les divisions et les partis, l'Espagne est très affaiblie. -Bavière : La Bavière fut longtemps un fidèle allié de Napoléon avant de changer de camp pour être avec les vainqueurs. -Danemark : Allié loyal de l'Empire français, le Danemark paye encore très cher sa prise de position. Sa flotte a été coulée et la Norvège s'est rebellée contre le roi actuel. -Saxe : Encore un allié fidèle de Napoléon qui fut raboté du tiers de ses terres à Versailles. Sa survie reste néanmoins essentielle pour l'Autriche et sa position dans la confédération germanique. -Hesse : La Hesse fut initialement alliée de Napoléon, bien qu'elle retourna rapidement sa veste. Aujourd'hui elle est plutôt proche des positions prussiennes. -Bade-Wurtemberg : Le Royaume de Bade-Wurtemberg eut la même trajectoire que la Hesse, mais est bien plus indépendant au sein de la confédération. -Royaume de Sicile : Les Bourbons siciliens ont toujours été opposés à Napoléon. Aujourd'hui ils viennent à peine de récupérer le royaume de Naples avec l'aide de leur grand allié autrichien. -Portugal : Tout comme l'Espagne, le Portugal reste très divisé et son roi est encore au Brésil ! -Grand Duché de Toscane : Promis à L'aiglon, le fils de Napoléon, il est théoriquement administré par sa mère, bien que cette dernière ne puisse quitter Vienne. -Parme : Sous protectorat autrichien, le jeune duché n'en revendique pas moins sont indépendance. -Modène : La situation en Modène est similaire à celle de son voisin parmesan. -Royalistes Français : Malgré la capture de Louis XVIII, les royalistes restent très puissants en France et à l'extérieur. Napoléon devra s'ôter une nouvelle fois cette épine du pied s’il veut que son fils lui succède.
Neutre : -Empire Ottoman : Les Ottomans souffrent depuis un siècle de grandes pertes territoriales suite à des guerres contre les Autro-Russes. Que ces derniers se méfient, car l'homme malade de l'Europe à encore de belles dents. -Mecklembourg : Très lié au Danemark, le Mecklembourg à choisi de rester en retrait de la coalition pour parer toute intervention belliqueuse de son voisin prussien. -Suisse : La Suisse à lourdement souffert des guerres napoléoniennes et compte bien en rester à son statut de neutralité perpétuelle obtenu à Versailles. -États pontificaux : Le pape est très loin d’être un ami de Napoléon auquel il s'est de nombreuses fois opposé, cependant, la situation actuelle de ses Etats ne lui permet pas de prendre part à la coalition.
- Règles:
-Vos stats seront constituées d'un bilan de votre situation, de la liste des unités recrutables, de plusieurs questions avec des propositions de réponse, comme dans les Scénario Virtuels, et du nombre «d'actions libres» dont vous disposez ce tour. -Vos actions seront constituées des réponses aux questions posées et du nombre d'actions libres accordées. - Vous ne jouez qu'un personnage, s’il meurt vous êtes éliminé. - Chaque personnage possède un ou plusieurs avantages plus ou moins important dans un domaine. Pour les généraux cela reste surtout une augmentation de la force de l'armée. - N'ayant pas de chiffres exacts et afin d'éviter les réclamations, je gère moi même la question des revenus en fonction de la situation du pays. Cela marchera par unité de richesse(UR). Avec une unité de richesse, on paie un corps d'armée durant un mois. -Afin de prévenir toute contestation, je vous préviens qu'un soldat de ligne autrichien ne sera pas forcément aussi efficace qu’un soldat de ligne français. Différents éléments entrent en jeu dans la force des unités. -Le recrutement se fait au minimum par corps d'armée, soit 40 000 hommes au choix. Quand vous recrutez, les hommes sont disponibles sous deux mois environ. - Un corps de gardes civils se recrute en deux semaines, mais est bien moins combatif. -Vous êtes des hommes du XIXème siècle. Il y a peu de chance que vous vous retrouviez tous dans la même pièce, aussi évitez les longues discussions sur le topic comme si vous étiez en face à face. -Un tour représentera un ou deux mois. Vous serez toujours informé à l'avance de combien de temps s'écoulera durant le tour prochain.
Je gérerais seul le MV mais Beregil et moi même formons un tandem pour l'écriture des tours.
Dernière édition par Luis Daoiz le Ven 29 Juin - 13:59, édité 2 fois |
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MKI Chipoteur de RPDC
Messages : 2406 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 32 Localisation : Caen
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 25 Juin - 13:02 | |
| Talleyrand Edit, je préfère changer pour Talleyrand après avis, j'espère que ça gène pas trop
Dernière édition par MKI le Lun 25 Juin - 13:18, édité 1 fois |
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kevin13 La victoire jusqu'à Jérusalem !
Messages : 1913 Date d'inscription : 03/12/2011 Age : 30 Localisation : LYON ! (oui Lyon ^^)
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 25 Juin - 13:17 | |
| Camp français : -France en bleu. -Révolutionnaires belges pas de couleur.
Septième Coalition -Grande-Bretagne en rouge. -Autriche en mauve moche proche du rose. -Russie en vert. -Prusse en rose proche de mauve. -Sardaigne en turquoise. -Pays-Bas en beige. -Suède en bleu clair. -Espagne en jaune. -Bavière en gris bleuté à côté de l'Autriche. -Danemark en brun moche. -Saxe en jaune clair tirant sur le vert. -Hesse en vert pomme. -Bade-Wurtemberg en rouge tirant sur le Bordeaux. -Royaume de Sicile en noir. -Portugal en gris. -Grand Duché de Toscane, Parme, Modène en vert kaki moche au dessus des états pontificaux. -Royalistes Français non colorés.
Neutre : -Empire Ottoman en rouge terne à l'emplacement de la Grèce. -Mecklembourg en jaune orangé. en dessous du Danemark. -Suisse en couleur carte. -États pontificaux en rose tapette, comprend Rome.
Et il manque la Westphalie en orange foncé à coté des pays bas. Edit: En vrai c'est le Hanovre qui est sous contrôle anglais. Toutes mes excuses.
Dernière édition par kevin13 le Lun 25 Juin - 13:25, édité 1 fois |
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Dodo Le conquérant du pain
Messages : 1352 Date d'inscription : 20/11/2011 Age : 31
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 25 Juin - 16:11 | |
| - MKI a écrit:
- Talleyrand
Edit, je préfère changer pour Talleyrand après avis, j'espère que ça gène pas trop Je sais que Talleyrand est bizarre, mais on aura du mal à en faire un schizophrène. Donc un seul doit le jouer ! |
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