Forum de Jeu de Rôle et de Grande Stratégie amateur |
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| Le Vol de l'Aigle [LVA] | |
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Auteur | Message |
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Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Dim 1 Juil - 23:56 | |
| J'ai pas réussi à croiser Fabian avant, c'est le genre de choses qui arrive quand on a un délai de moins d'une semaine. |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 2 Juil - 0:00 | |
| Désolé mais j'aime pas trop faire trainer les tours, après c'est décourageant pour le Mj ( soit moi ) je trouve.
Silvio tu retapes tes actions *j'en tiendrais compte* et évite le pavé comme tes dernières actions sinon ça va finir en sanction. |
| | | Invité Invité
| | | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 2 Juil - 0:15 | |
| Je pense passer le tour dans les régions manquantes ( soient les principales ) à partir de demain midi.
Pour synthétiser c'est simple via pc. Tu tapes ton truc, puis tu le relis, et ensuite tu n'as plus qu'a garder la phrase/ les deux trois vraiment représentative de ce que tu veux. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 2 Juil - 0:18 | |
| Yep, c'est ce que je vais faire, merci du conseil ! A part ça... Je n'ai aucune idée de quand je pourrai les envoyer demain... On va partir toute la matinée/après midi faire les soldes, puis en soirée on va voir une tante qui vient d'arriver d'Italie aujourd'hui... Un tel retournement de situation n'était pas prévu, mais je vais faire mon possible pour renvoyer ça au plus tôt. |
| | | Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 2 Juil - 0:37 | |
| L'Empire connaît décidément une véritable épiphanie ces derniers jours puisque c'est maintenant le Royaume-Uni avec qui nous venons de signer le ... - Citation :
Traité de Guernesey
- L'Empire Français et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande s'engagent à cesser dorénavant toute action belliqueuse à l'encontre l'un de l'autre.
- L'Empire Français s'engage à libérer les prisonniers de guerre britanniques actuellement détenus dans ses geôles.
- Le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande s'engage à ne pas financer les ennemis de l'Empire Français.
- L'Empire Français et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande baissent chacun les droits de douanes à l'intention des marchandises provenant de l'autre signataire du traité. Napoléon, Empereur des Français, signe le présent traité. |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 2 Juil - 17:18 | |
| Tour 1 : 23 Juin-31 Juillet
- Carte:
Hachuré noir= zone de troubles Les zones occupés sont désignées par des petites hachures serrées de la couleur de l'occupant Au passage j'ai oublié la zone occupé par Grouchy.
- Scandinavie:
Le Danemark et la Suède semblent s’être mis d'accord, aussi le prince Bernadotte quitte t-il la Norvège à la tête de ses troupes dès le 28 Juin. Cela permet au Danemark de dialoguer avec les révoltés, et finalement la Norvège devient pacifiquement un territoire danois semi-autonome dirigé par Christian Frédéric, un prince danois. La Scandinavie retrouve la paix.
- Finlande et Pays-Baltes:
Ici en revanche, la paix laisse la place aux troubles. Dans un Empire Russe encore très féodal, de nombreux serfs ont décidés de lyncher leurs seigneurs. Animés par des sentiments nationalistes et anti-serbes, encouragés par de l'argent venu de l’étranger, les peuples des Etats-Baltes deviennent de plus en plus virulents, et un début d'armée semble s'y créer alors que les troupes russes sont trop occupées en Pologne, sur la frontière ottomane et en Finlande. Dans cette dernière région, les révoltes sont matées par les balles russes qui n'épargnent rien. Fin Juillet, la Finlande à été « pacifiée », tandis que les Etats-Baltes proclament leur indépendance comme Royaume de Lituanie.
- Espagne:
La nouvelle de la paix entre l'Espagne et le France provoque la stupeur en Espagne où l'or coule à flot pour tenter de maintenir le pays tranquille. Malgré ces efforts, le peuple se reprend, et de nombreuses insurrections éclatent, menées par le clergé et une partie de la noblesse. A Cadix, les Cortés se reforment, tandis que les mécontents affluent dans Madrid. Un couvre feu quasi-permanent est alors institué dans la ville pour tenter d’empêcher tout trouble. Le 8 Juillet, les révoltés occupent les rues et certains marchent sur le Palais Royal pour obtenir du roi l'application de la Constitution de 1812. Les nombreux coups de feu qui y éclatent résonnent dans la capitale et enveniment la situation, d'autant que Ferdinand VII fait intervenir l'armée. Suite à cette sanglante répression, une junte prend le pouvoir en Andalousie le 12, puis une autre en Galice et encore une dans la région de Valence, le reste de l'Espagne étant victime de troubles violents. Le 18, le roi décide de négocier pour rétablir le calme mais il est trop tard. Le parti pro-français à rassemblé une armée en Catalogne et marche sur Madrid pour «protéger le roi», mais les constitutionnalistes ont fait de même à Valence. Les deux troupes se retrouvent sur les rives de l'Henares, où les constitutionnalistes sont décimés par des adversaires bien plus expérimentés et habiles. Les «afrancesados» occupèrent donc Madrid, s'assurant du soutient du Roi à Napoléon. L’Espagne retint alors son souffle tandis que de mystérieux colporteurs rappellent au peuple espagnol le temps béni des Habsbourg. C'est alors que le parti pro-autrichien s'allia habilement aux autres et prit le contrôle des trois juntes et de l'armée. Une bonne partie de cette dernière fut réuni à Cordoue, d'où elle entama le 23 une marche sur Madrid. Au soir du 30 Juillet, les troupes font halte à Tolède tandis que les pro-français hésitent à fuir la capitale. Bien que précaire, la fédération des partis sous l'égide des pro-autrichiens recueille un fort soutien populaire. Reste à savoir ce qu'ils vont faire de l'Espagne …
- Balkans:
Une fois de plus, les populations chrétiennes des Balkans tentèrent de se soulever contre la Sublime Porte. Contre toute attente, de hauts responsables régionaux ottomans furent corrompus à grand coup de coffres remplis de devises étrangères, et ceux qui refusaient furent assassinés. Les insurgés tentèrent de former une armée de libération grâce à l’envoi par des réseaux implantés à l’étranger de nombreux fusils et de munitions adaptées. Toutefois, pour le plus grand soulagement du sultan, une force conséquente de janissaires était en manœuvre dans la région, et les principales tentatives de constitution d’une armée révolutionnaire furent étouffées dans le sang. Malgré cette répression, nombreux sont les villes et villages éloignés qui ne répondent plus à l’autorité d’Istanbul, et les montagnes abritent encore d’importantes caches d’armes qui alimentent des groupes de résistants. La pacification de la région à coup de baïonnette risque de prendre au moins deux mois.
- Grande-Bretagne:
La paix avec la France à fait de nombreux remous en Angleterre. L'impopularité du gouvernement est chronique et seul l'appel au calme de Sa Majesté, renforcé par des interventions efficaces de la police, a permis de maintenir l’ordre. A la Chambre, le parti conservateur entame la procédure de motion de censure le 5 Juillet, malgré les grands efforts déployés par les pro-français. Cependant, une impressionnante campagne politique de Whitbread auprès des députés des Communes permit de faire échouer le vote et sauva le gouvernement. Reconnaissant, le Premier Ministre allait nommer ce député prometteur ministre des Affaires Etrangères, quand Whitbread fut assassiné en pleine rue. Les assassins réussirent à quitter l'Angleterre, mais plusieurs témoignages, dont celui d'un maître d’hôtel, permirent d'établir qu'ils étaient étrangers et qu'ils avaient payé leurs nuitées en or suédois. Scandalisée par l’idée que l'assassinat d'un de ses représentants pourrait être l’œuvre d’une puissance étrangère qui est normalement leur alliée, l'opinion publique anglaise soutient désormais la paix avec la France. Les industriels eux aussi soutiennent désormais cette réconciliation, le juteux marché français satisfaisant pour le moment leur désir de capital.
- Italie du Sud:
Face aux patriotes italiens, Ferdinand I à opté pour l’exécution sommaire automatique dans tout le Royaume des Deux-Siciles. Cette mesure n’eut pour effet qu'exacerber les idées nationalistes, d'autant que de l'argent et des armes de facture française vont leur permettre d'entrer en révolte armée. Le 5 juillet, les patriotes lancent une insurrection à Naples et prennent la ville, le roi leur échappant de justesse, mais très vite les révoltés doivent faire face aux troupes austro-napolitaines qui encerclent la ville. Une sortie est alors tentée, mais les Italiens doivent vite abandonner cette idée pour limiter leurs pertes. Cependant, le débarquement de Murat à Tarente obligea le général Bianchi à scinder ses troupes pour se porter à la rencontre du Français. Dans le même temps, la flotte française fait le blocus de la Sicile et inflige une sévère défaite à la marine napolitaine, bloquant du même coup une partie des troupes de Ferdinand I loin du théâtre d'opération. Cela permet également aux révoltés de Naples d’être ravitaillé par la mer, et de recevoir du secours. Le 13 juillet, le général Lechi débarque à Naples avec 10 000 volontaires et vétérans italiens des guerres napoléoniennes. Il prend le commandement de la ville, organise et entraîne les défenseurs dans le but de briser le siège terrestre par la force. Le 15, Murat et Bianchi se rencontre à Potenza. Le Français est en légère supériorité numérique, mais compte de nombreux gardes civils. Le combat est rude et coûteux en hommes, et c'est finalement la puissance de l'artillerie adverse qui oblige Bianchi à la retraite. Poursuivit par son royal adversaire, il tente de rallier Naples, mais le 22, les nationalistes y brisent le siège au prix de lourdes pertes. Murat y fait donc une entrée triomphale, se proclamant une nouvelle fois roi de Naples, tandis que Bianchi retrouve Ferdinand I et ses troupes à Bénévent. Malgré sa victoire et le soutien de patriotes italiens, la situation de Murat reste précaire : il suffirait d'une défaite pour que les austro-napolitains reprennent le Sud de la botte si convoitée.
- Italie du Nord:
Soult et Masséna font leur jonction à Marseille le 3 juillet et entret triomphalement dans Nice le 6, puis s’empareront plus tard de la Ligurie. Ils totalisent 100 000 hommes alors que le Piémont-Sardaigne ne peut guère aligner que 55 000 soldats, commandés par le général Gonnet. Ce dernier compte entièrement sur l'arrivé des Autrichiens du général Frimont, mais ces renforts ne viendrons finalement pas. Gonnet ce décide finalement au combat à proximité de Pignerol pour tenter de protéger Turin. Sachant les fusils français deux fois plus nombreux que les siens, il plaça ses troupes sur le fait des collines pour s'assurer un meilleur angle de tir, mais dès les premiers coups de feu, il comprit que cet avantage ne lui accordera pas la victoire. Certes, l’armée française composée au trois-quarts de gardes civils n'est pas experte en tir, mais le nombre de tireurs accroît les chances de faire mouche. Appuyé par l'artillerie, Gonnet fait charger l'ensemble de son infanterie. La pente augmente encore le choc, tandis que la ligne française se brise. La cavalerie piémontaise, qui profite du chaos pour s'infiltrer dans les rangs, provoque les premières déroutes et tue à loisir. Gonnet croit à sa victoire, mais le courageux Masséna décide de prendre la bataille en main et charge avec sa cavalerie les régiments piémontais. Désorganisés par leur propre charge, ces derniers sont piétinés, d'autant que les régiments de ligne vétérans de Soult chargent également. Le courage de Masséna raffermit le cœur de nombreux conscrits français qui reviennent au combat. Après une demi-heure de lutte sans merci, Gonnet ordonne le repli. Malgré des attaques nocturnes et des tireurs embusqués, les français s’empareront de Turin le 22 Juillet et y resteront jusque début août. Pendant ce temps, le général piémontais entraîne ses recrues. Le Piémont n'est pas encore français.
- Allemagne et Alsace:
Prévenu à temps de la trahison bavaroise, l'empire autrichien fait face. Von Westmeath marche depuis Venise avec 40 000 hommes sur la Bavière, tandis que Schwarzenberg et l'armée coalisée préfèrent quitter à regret le Bade-Wurtemberg plutôt qu’être prit entre français et bavarois.
Plus au Nord, Grouchy s'empare d'Aix la Chapelle le 10 juillet avant de marcher sur le Rhin, mais Blücher se porte à sa rencontre peu avant Cologne. La bataille est rude, cependant le manque d'artillerie est fatal aux Prussiens. Toutefois, Grouchy doit également battre en retraite, ses informateurs l'ayant prévenu que le corps de Schwarzenberg, plus de trois fois supérieur au sien, venait à sa rencontre. Il reprendra cependant Aix le 28 Juillet, prévenu du départ de l'armée coalisée.
En Bavière, l'armée de von Wrede qui marchait sur le Wurtemberg doit retourner sur Munich pour tenter de stopper Von Westmeath. Grâce à des tirailleurs bavarois, l'armée autrichienne fut retardée dans les Alpes, permettant au général bavarois d'arriver dans sa capitale à temps et même de marcher à la rencontre de son adversaire. Les deux généraux se retrouvèrent donc à Rosenheim, les Autrichiens plus fatigués et moins nombreux que les bavarois étaient désavantagés. Mais un boulet bien placé tua le cheval de von Wrede, l'assommant dans sa chute et laissant les bleus et blanc sans chef. Désorganisé, les bavarois furent débordés par les hussards hongrois, puis, enfoncé par l'infanterie autrichienne, ils durent battre en retraite sur Munich. Là, une levée de conscrits dissuada le général autrichien de donner l'assaut. Ce dernier préféra camper non loin, empêchant l'envoi d'aide aux Français.
En Alsace, les corps de Davout et de Rapp durent attendre le 16 Juillet pour faire jonction avec l'empereur. La fatigue de ses soldats avait ralenti la marche de Napoléon, mais les plans du Corse restaient inchangés. Il marcha donc sur Baden-Baden et la prit sans résistance. L'armée impériale sécurisa ensuite tout le duché de Baden mais n'osa s'aventurer en Wurtemberg, où les troupes de Schwarzenberg les attendent.
Enfin, tandis que les Autrichiens se battent, les Prussiens renforcent leur influence sur l'Allemagne. Les sentiments nationalistes reprennent vie, et pour de nombreux Allemands, la Prusse serait l'acteur de cet idéal.
- Pologne:
Visiblement aidés par des investissements étrangers et dotés d'armes en abondance, les Polonais s'organisent et font de la lutte contre la Prusse leur priorité. Ils réussissent même à corrompre le quart de l'armée de Silésie et sabotent le ravitaillement du reste. En fâcheuse posture, Clausewitz préfère négocier l'indépendance avec l'accord de son roi : la Wesphalie prussienne n'est elle pas en partie occupée ? Un Duché de Pologne vassal de la Prusse est institué, et les nobles élisent comme Duc le roi de Saxe. Mais si la partie prussienne de la Pologne est libérée, la lutte se retourne vers la partie russe, tandis que la zone autrichienne connaît ses premiers troubles.
- France:
Louis XVIII est confié aux douaniers français le 28 Juin par Grouchy, et ce dernier repart immédiatement en direction de la Westphalie. Or, la route est longue jusqu'à Versailles, et les douaniers bien moins nombreux que les agents royalistes avertis de ce transport. Le convoi fut attaqué dans les Ardennes et roi recouvra sa liberté. Cependant, le souverain déchu se déclare prêt à négocier avec Napoléon des termes plus favorables que précédemment.
Dans le Sud de la France les réseaux royalistes semblent étrangement calmes … En attendant la tempête ?
En Vendée, les derniers Chouans se battent avec la rage du désespoir mais la région a été mise sous contrôle par le général Travot et ses renforts. Cependant, les nombreuses exactions ne donnent pas une belle image de l'Empire.
Aussi, une nouvelle menace intérieure à émergé en France. Les accords commerciaux avec l'Angleterre sont ruineux pour les industriels français, qui voient leurs ventes s'effondrer et leurs bénéfices fondre par manque de compétitivité. Si certains protestent passivement et réclament le retour des droits de douanes, d'autres, comme les tisserands de Lyon, n'ont pas hésité à faire occuper la préfecture par leurs ouvriers. Les accords ont en revanche favorisé les agriculteurs français, qui exportent en grande quantité du grain vers l'Angleterre. Il faudrait même veiller à ce qu'il en reste assez en France, tant les ventes sont fortes.
- Royaume des Pays-Bas:
En prévision du référendum prévu par le traité d'Anvers, les deux camps n'ont pas lésiné sur les investissements en propagande dans les régions concernées. Ils auraient d'ailleurs tous reçu un ou plusieurs soutiens financiers venus de l'étranger. Mais à ce petit jeu, le Royaume des Pays-Bas semble l'emporter de loin. Deux dépouillages ont été nécessaires dans la plupart des régions suite à des contestations des résultats. Les pro-français l’emportent haut la main en Flandre Romane, en Flandre Maritime et dans le Hainaut, puisque ces trois régions plébiscitèrent respectivement à 98%, à 85% et à 76% au premier tour leur rattachement à leur voisin impérial. Ce seront toutefois les seuls gains des pro-français. Plus modestement, les Pays-Bas virent les régions de Liège et du Luxembourg Occidental les rejoindre dès le premier tour de scrutin, avec 50.6% et 52% des suffrages. En revanche, les partisans pro-hollandais purent se maintenir au second tour à plusieurs occasions, et l’emportèrent dans la province de Namur avec 62%, dans le Brabant Flamand avec 64%, ainsi que dans le Brabant Septentrional, la Flandre Orientale, la Zélande Septentrionale, à Anvers et à Maastricht. Les nationalistes belges furent très déçus des résultats, ne récupérant finalement que le Luxembourg Oriental, la région de Bruxelles, la Flandre Occidentale et la Flandre Zélandaise. Enfin, il faut noter la création d’un Etat wallon indépendant dans le Brabant Wallon, ainsi que le rassemblement du Limbourg Méridional et Septentrional, qui forment désormais l’Etat de Limbourg. Les observateurs notent donc une victoire assez large des Pays-Bas, qui parviennent à conserver bon nombre de régions belges. La France parvient à récupérer le Hainaut. Les révolutionnaires belges sont, à la sortie des urnes, les plus mal lotis, car eux qui espéraient la formation d’un Etat indépendant honorable se retrouvent contraints de négocier avec les Etats du Limbourg et de Wallonie s’ils veulent pouvoir encore espérer former un État moyen. A noter qu'Henri von Noot à été élu président de la Belgique
Rumeurs-De nombreux agents suédois parcourraient la Scandinavie. -Le Danemark aurait arrêté plusieurs agents chargés de corrompre la noblesse. -Plusieurs arrestations auraient eues lieu en Suède et l'armée suédoise se serait intensément entraînée du coté de Stockholm. -Talleyrand se serait d'ailleurs réfugié dans ce pays décidément bien actif, ou alors en Russie, ou bien en Espagne... Les rumeurs divergent, mais il est certain qu'il n'est pas en France. -La France serait un nid d'espions, où les réseaux s'entrecroisent sans se percuter, pour le moment. -Les industriels français ne seraient pas les seuls à connaître des pertes... -Un grand emprunt aurait eu lieu en France -Plusieurs nations auraient contacté le pape et les Etats-italiens dans des buts différents. -Des troubles auraient éclaté en Saxe -La Prusse serait en passe de fédérer l'Allemagne. - Des frégates anglaises et de l'infanterie serait de retour des indes occidentales. Merci à Beregil pour les corrections orthographiques. Les rumeurs et la Belgique viendront plus tard suite à un problème technique. Toute mes excuses au joueur éliminé, c'est très tôt dans la partie mais la somme investie était conséquente et surtout les dés ne t'ont laissez aucune chance.
Pour les stats je commencerais peut être dans la soirée, sinon demain. Je vais me remater les stats de DPI pour les enrichir avec notamment votre réputation. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Mar 3 Juil - 21:41 | |
| Face aux résultats des référendums, Henry Van Der Noot ne peut que s'incliner face à ce résultat et se rendre à l'évidence... La Belgique ne veut pas d'un Etat belge à elle et préfère rester soumis à des maitres plus puissants, quelques soient leurs nationalités. Il faut donc se rendre à l'évidence, la création d'une Belgique, quelle qu'elle soit, reste une utopie, et Henry ne s'efforcera désormais plus d'essayer à unir ce peuple. Il remercie les belges des quatre régions qui ont cru à cette formation d'un Etat belge, avant de se retirer dans ses appartements. L'avenir de ces régions reste bien incertains. |
| | | Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Mar 3 Juil - 22:19 | |
| Napoléon Bonaparte est surpris de voir la Wallonie considérée comme "un maître plus puissant" par le président Belge, surtout quand elle ne contrôle que le Brabant wallon. |
| | | Celtiktom
Messages : 758 Date d'inscription : 21/12/2011 Age : 29
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Mer 4 Juil - 12:02 | |
| - Silvio007 a écrit:
- Face aux résultats des référendums, Henry Van Der Noot ne peut que s'incliner face à ce résultat et se rendre à l'évidence... La Belgique ne veut pas d'un Etat belge à elle et préfère rester soumis à des maitres plus puissants, quelques soient leurs nationalités.
Il faut donc se rendre à l'évidence, la création d'une Belgique, quelle qu'elle soit, reste une utopie, et Henry ne s'efforcera désormais plus d'essayer à unir ce peuple. Il remercie les belges des quatre régions qui ont cru à cette formation d'un Etat belge, avant de se retirer dans ses appartements. L'avenir de ces régions reste bien incertains. Il y a un peu un côté Jean-Luc Mélenchon dans ta déclaration Silvio |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Ven 13 Juil - 22:03 | |
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| | | hgh23 Empereur du Sahara
Messages : 1066 Date d'inscription : 23/04/2012 Age : 27
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Ven 13 Juil - 22:17 | |
| T'as une date de préférence ? |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Sam 14 Juil - 2:19 | |
| Le plus tôt possible donc 13-14-15 maximun ! |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Lun 23 Juil - 19:09 | |
| Tour 2 : 1 Aout- 30 Septembre 1815 - Carte:
- Italie du Nord:
Jusqu'au 15 Août l’immobilisme règne. Tandis que les autrichiens et les piémontais se sont rejoints et attendent que les nouvelles recrues soient formées, les français s’entraînent et érigent des fortifications. Mais les milices piémontaises sont prêtes les premières et les coalisés marchent sur les français qui se regroupe à Asti. Le 24 ils découvrent les défenses construite par les français dont l’entraînement est loin d’être terminé, et dès le lendemain le canon gronde. Le pilonnage durera sept heures et attaquera fortement le moral français; d'autant que le Maréchal Soult semble devenu fou, laissant Masséna seul maître. Le héros cent fois décoré préfère d'ailleurs se rendre plutôt que de subir l'assaut des nombreux et fougueux autrichiens. La bataille d'Asti est donc un désastre pour l'Empire, plus de 70 000 soldats sont fait prisonniers dont deux maréchaux. Mais la raison de cette reddition ne tarde pas à arriver. Masséna est proclamé Roi d'Italie sous des vivats autrichiens et piémontais tandis qu'il tente de rallier les prisonniers français à son Royaume et au Roi Louis XVIII. A ces mots l'infanterie de ligne hurle "Vive l'Empereur" et rejoint par des miliciens, ils s'insurgent contre cette trahison. Bientôt les cris se transforment en insurrection et ils fuient devant les balles autrichiennes, emportant Soult avec eux. Mais les fuyards seront traqués par la cavalerie autrichienne et une part non négligeable d'entre eux seront tués. De plus, ces hommes ne représente qu'à peine la moitié des prisonniers français. Les autres, encouragés par des pièces sonnantes, soutiennent le nouveau Roi. Ce dernier prend alors le chemin de Rome, tandis que l'armée piémontaise libère ses terres et que les autrichiens s'en vont vers la Bavière.
- Italie du Sud:
Tandis que les français tentent de rétablir une administration acquise à leur parti dans le Royaume, Murat s'en va vers le Sud de l'Italie pour mater les garnisons qui s'y trouvent. Bianchi et ses autrichiens remontent alors vers Rome pour se reposer tandis que Ferdinand I de Sicile choisi de marcher sur Naples qu'il croit sans défense. Contrairement à ses attentent, Naples est gardée, et bien gardée. Mais le siège est établi et les défenseurs pourtant supérieurs en nombre se refusent à sortir. Il faut attendre le 17 Août et le retour victorieux de l'expédition de Murat dans le Sud pour que la situation se débloque. Le français se sert de l'artillerie récupérée dans les garnisons pour forcer les siciliens à se rendre sur les plages. Là une frégate lui appartenant prend le relais, bloquant Ferdinand et ses troupes entre deux feu. Sans issu, ils se rendent au bout d'un quart d'heure et Murat force son adversaire à abdiquer en sa faveur. Les prisonniers faits lors de son expédition, l'ensemble du Sud de la botte et une bonne partie de la Sicile et de ses garnisons lui jurent alors fidélité. Le nouveau Roi de Naples profite alors ce ce calme momentané pour pacifier son état, aidé en cela par ses nouveaux soldats et sa nouvelle flotte. Le 30 Aout l'ensemble des rebelles sont morts ou emprisonnés, mais Murat apprend aussi la défaite d'Asti et la trahison , il doit se préparer au combat. Le 10 Septembre Masséna est sacré Roi d'Italie devant une pléiade de nobles dans la chapelle sixtine. La Lombardie autrichienne, le Piémont ainsi que Parme, Modène et la Toscane entre dans ce nouvel état fédéral. Mais à peine la cérémonie finie, le Roi part conquérir Naples suivit par Bianchi et le général Neipperg qui tenait garnison à Rome. Murat se prépare donc à le recevoir mais voit ses effectifs fondre, une bonne part patriotes italiens préférant servir le nouveau Royaume. Le 14 ils sont en vue de Naples mais la flotte napolitaine les empêche de s'approcher trop de la cote. Neipperg est alors laissé devant la ville tandis que les austro-français prennent possession de places fortes et de villes. Murat tente alors une sortie et bat sans difficulté les autrichiens grâce à son artillerie et à son sens tactique. Tandis que les troupes de Sicile sont rapatriées sur le continent, le Roi de Naples marche vers Rome et Masséna revient vers la capitale adverse. Les prochaines journées seront cruciales pour les deux royaumes.
- Espagne:
En ce début Août, tandis que les partis fédérés ne sont plus qu'à quelques kilomètres d'achever leur marche sur Madrid, l'Espagne semble devenir le siphon des trésoreries européennes. Les pro-français eux ont préférés quitter la ville en emportant le Roi. La capitale tombera le 6 Août au mains des fédérés en nette position de force. Le parti pro-autrichien contrôle directement l'armée tandis qu'eux et leurs alliés font la loi partout sauf en Catalogne, fief de leur adversaire. Ils n'ont plus qu'à battre l'armée des afrancesados et à rétablir l'ordre dans cette région pour vaincre. Mais voilà que dans la nuit du 6 au 7 Août, de nombreux assassinats ont lieu à Madrid et dans le reste du pays. Les leaders de tout les mouvements fédérés sont liés et de nombreuses preuves accusent les partis constitutionnaliste et pro-autrichien d’être à l'origine de ces actes. Bien que ces derniers nient en bloc en avançant qu'ils ont perdus leurs propres leaders, la fédération s'effondre. Les pro-autrichiens eux sont au bord de l'implosion, cependant des agents venus d'Autriche réussissent à garder le mouvement uni. Un autrichien prend même la tête de cette faction, tandis que les constitutionnalistes et les républicains font cavaliers seuls et que les absolutistes s'allient finalement aux français. Les pro-autrichiens contrôlent l'armée et la très riche Andalousie. Les militaires, mis à contribution, mènent alors une grande campagne d'arrestations tandis que d'autres unités tentent de prendre possession des bastions adverses. Désorganisés, privés du contrôle de Valence, les constitutionnalistes se rendent tandis que de sanglants combats ont lieu en Galice face aux absolutistes qui perdent finalement leur fief. Quant aux républicains, le manque de militants et de soutiens ainsi que les arrestations les empêchent de jouer un rôle. Grâce aux soldats et à leur popularité, au soir du 31 Août les pro-autrichiens contrôlent une large majorité du pays. Mais ils doivent faire face aux absolutistes et aux français qui contrôlent la catalogne et la région de Saragosse. D'autant qu'une rumeur raconte qu'ils formeraient une armée en plus de leurs forces actuelles. L'armée espagnol va alors avancer prudemment, reprenant village par village aux pro-français durant tout le mois de Septembre, tandis que ces derniers reculent et attaquent des groupes isolés. Mais sur la fin du mois ils sont obligés de passer les Pyrénées avec le roi pour se réfugier en France. Cependant, des villageois murmurent que plus de cents milles soldats ou militaires en formation auraient franchi les montagnes, retourneront ils en Espagne quand ils seront prêts ? Quoi qu'il en soit les Cortés proclament la déchéance de Ferdinand VII et François I d'Autriche est proclamé Roi d'Espagne.
- Scandinavie et Finlande:
La Scandinavie a apparemment décidé de s'engager plus en avant dans le conflit européen. Tandis qu'une imposante armée embarque à Stockholm pour une destination encore inconnue, Bernadotte entre en Finlande à la tête de plus de 100 000 hommes pour «libérer le pays». Les troupes russes venues maintenir l'ordre sont vaincues à Kemi puis à Oulu. Ces victoires créent un fort élan populaire envers Bernadotte, de nombreuses milices se forment pour soutenir l'armée suédoise. Le Roi en profite donc et se met en scène lors de défilés dans chaque ville libérée du joug russe. Mais le 18 Août alors qu'il parade dans Kuopio, la foule se jette sur lui et sa garde. Surpris et affolés, les soldats se mettent à tirer sur la foule, un régiment tente même de nettoyer la rue à la baïonnette pour récupérer leur maître. Quand la populace se retire, le roi et sa garde sont horriblement démembrés, aucun n'a survécu. Les arrestations et l’enquête concluera à un assassinat dont le commanditaire serait étranger, de nombreuses devises françaises ayant été retrouvées dans la ville. Malgré le drame, la guerre continue. Le général Hokmund prend alors la direction des troupes et décide de continuer l'opération.
Pendant ce temps des troupes danoises débarquent à Stockholm tandis que d'autres franchissent la frontière. Sans réelle armée pour faire face, la Suède est rapidement mise sous contrôle. Prévu pour le 15 Septemple, l'élection de l'Empereur de Scandinavie est promptement avancée au 1 Septempre. Malgré l'opposition d'une partie de la noblesse scandinave, c'est le roi du Danemark qui la remporte, créant ainsi l’État fédéral de Scandinavie. La nouvelle cause quelques troubles en Suède, mais le nouvelle empereur Ferdinand I les mate rapidement. De plus il reçoit l’allégeance d'Hokmund et des troupes parties en Finlande. Il lui faudra d'ailleurs négocier avec le Tsar le sort de ce pays qu'il contrôle presque entièrement.
- Pologne et Pays-Baltes:
Face aux révoltes, François I choisit de céder les régions autrichiennes de l'ancien Grand Duché au nouveau Duc. Les russes en revanche semblent vouloir enterrer la révolte par les balles, et la nouvelle armée polonaise n'est pas prête à s'interposer, tout comme l'armée saxonne. Dans le même temps les baltes finissent par contrôler une bonne partie du territoire qu'ils revendiquent, peu de soldats russes venant s'opposer à eux. Mais conforme à sa logique et malgré la déroute de ses armées en Finlande, le Tsar préfère leur envoyer des conscrits plutôt que négocier. Malgré leur peu d'expérience, leur armement réussi à maintenir l'ordre dans les régions où ils s'installent. Cependant ils sont bien trop peu pour empêcher l'indépendance de fait du nouveau royaume de Lituanie.
- Balkans:
Malgré l'envoi de nouveaux fonds et armes, la Sublime Porte et ses janissaires sont intraitables avec les révoltés. Chaque vallée, chaque rocher, chaque brin d'herbe est passé au peigne fin. Ainsi se termina la révolte des Balkans, comme celles qui l'avaient précédée.
- Belgique:
Sous l'influence d'Henry Van der Noot son premier Président, la Belgique devient un État fédéral et entame un rapprochement avec le Grand Duché de Limbourg et le Duché de Wallonie. Ce rapprochement aurait pu aboutir sur une intégration de ces états dans la fédération si les belges n'avaient pas été repris par leurs vieux démons révolutionnaires. A partir du 17 Août, les comités se réactivent, les hollandais sont pris à partie un peu partout en Belgique, tandis que la jeune armée belge effectue de mystérieuses manœuvres. Finalement le 23, l'armée belge passe la frontière et envahit le Luxembourg oriental, la Flandre orientale et le Brabant Flammand. Les garnisons y sont prises par surprise et exterminées, le chaos règne dans l’État-major des Pays-Bas. Puis les stratèges se reprennent et dressent le plan de ce qu'ils appellent « La Campagne de Belgique ».
A Liège les hollandais infligent une très sévère défaite à l'armée adverse et font plus de 10 000 prisonniers, ce sera la seul bataille rangée de cette guerre. Car à la discipline hollandaise les belges opposent la guérilla et le combat de rue, freinant l'inexorable avancée ennemie. Le soir du 30 Septembre les hollandais ont repris le contrôle des trois régions qu'occupait l'armée belge. Ils occupent également la Flandre Occidentale et la Flandre Zélandaise. Les belges vont ils continuer à combattre ou négocier ?
- Allemagne du Nord:
En Wesphalie les anti et pro-prussiens se déchaînent mais l'expropriation et l’exécution de ces derniers par l'armée française calme leurs ardeurs. L'armée entraîne aussi des volontaires pour former l'armée wesphalienne, tandis qu'un mouvement indépendantiste lui assure le contrôle du pays jusqu'à une ligne Paderborn Bielefeld. Une presse libre et sympathisante de l'Empire fleurit d'ailleurs dans cette espace libéré, mais l'armée prussienne n'est pas loin. Le 20 Août, Grouchy apprend que plus de cents milles prussiens auraient rallié le corps de Blucher à Bielefeld et seraient sous le commandement de Clausewitz.
Pendant ce temps, Napoléon et Davout tentent de rallier la Wesphalie en passant par la Hesse, mais ils tombent sur un ennemi inattendu. Sous le commandement du général Rimini, 60 000 Russes et 25 000 hessois tentent de s'interposer entre l'Empereur et son objectif. Ce dernier en légère supériorité numérique décide de livrer bataille à Offenbach le 16 Aout. Bien supérieure en nombre, l'artillerie impériale permet après deux heures de bataille à l'infanterie d'effectuer un contournement et de se retrouver sur le flanc gauche de leurs adversaires. La cavalerie russo-hessoise tente bien de les déloger mais les carrés français sont solides. Dès lors la bataille est une victoire française, même si au soir de celle-ci l'ennemi ne laisse que 15 000 morts et prisonniers sur les lieux. L'Empereur décide néanmoins de les poursuivre et les forces de nouveau au combat à Friedberg le 23. Rimini et ses hommes, qui se sont placés sur les hauteurs, n'échappent pas aux batteries françaises, ni à l'avancé de l'infanterie que les arbres dissimulent en partie. Bien qu'ils défendent pied par pied leur terrain, les russes sont obligés de reculer en bon ordre, ils ne voient cependant pas que les français les entraînent peu à peu vers un plateau. Amené là par l'adversaire, ils doivent affronter une gigantesque charge de Ney et ses 10 000 cavaliers. Des drapeaux sont enlevés, plusieurs carrés sont réduits en bouillis et la différence de langue freine la réorganisation des deux armées. La cavalerie se retire alors, avec des pertes respectables pour laisser place à l'infanterie. Cette dernière encercle l'ennemi qui ne sait plus où tirer lui-même. Cependant une charge de Rimini et ses dragons permet de former une brèche dans la ligne française, les russes s'y précipitent. Mais affaibli et las, ils fuient le champs de bataille laissant les hessois toujours prisonniers de l'encerclement à leur sort. Sans espoir de survie, ces derniers se rendent une demi-heure plus tard. On totalise plus de 40 000 morts et prisonniers et la rumeur murmure que les russes s'enfuiraient vers la Prusse. Napoléon en profite alors pour soumettre la Hesse à son bon désir. Le Roi est fait prisonnier et une diète pro française est créée pour diriger le pays. Dans le même temps le Grand Duc de Limbourg à profité des événements en Hesse et en Wesphalie pour occuper et annexer le Limbourg allemand à son territoire.
En Wesphalie, les prussiens marchent vers Cologne où se trouve son corps et l'embryon de la nouvelle armée wesphalienne. Malgré de gênantes actions de la part des wesphaliens pro-français ( ponts détruits, tentatives d'empoisonnements, francs-tireurs ), ils sont en vue de la cathédrale le 30. Grouchy préfère se retirer et faire sauter les ponts plutôt que de livrer combat à une armée quatre fois plus nombreuse. Les prussiens seront ainsi bloqués sur la rive droite du Rhin jusqu'au 3 Septembre, mais quand ils le passent enfin Grouchy et Napoléon ont fait leur jonction et se préparent au combat. Pourtant la nouvelle d'un débarquement suédois en France et d'une révolte dans le Sud les obligent à rentrer au pays, emmenant les volontaires wesphaliens dans leurs valises. Les prussiens en profitent donc pour récupérer la Wesphalie. Cependant la forte opposition qu'ils y trouvent les empêche de se porter en Hesse.
- Allemagne du Sud:
Avertie par ses agents du départ de Napoléon et de Davout, Schwarzenberg marche avec ces troupes sur le Bade pour en reprendre le contrôle. Le général Rapp et les 30 000 hommes qui s'y trouvent ne font pas le poids et sont obligés de se replier sur Strasbourg, comptant eux aussi sur la destruction des ponts pour retarder leurs ennemis. En ne marchant pas vers le Nord, le général autrichien désobéit aux ordres, mais l'aubaine est trop belle. Le 20 il franchit enfin le Rhin et force les français à se réfugier à Colmar en se dirigeant sur Strasbourg. La ville prise il se dirige vers le nouveau refuge des français, pensant continuer sur sa lancé. Mais Rapp à reçut l'aide de l'armée de Paris et aligne désormais plus de 60 000 garde de civils. Il n'y a cependant pas de quoi inquiéter les austro-allemands qui s’emparent de la ville mais pas sans pertes. ; avant de fuir les français ont défendu leurs positions. L'armée française se réfugie donc dans les montagnes vosgiennes laissant leur adversaire occuper la plaine d'Alsace.
En Bavière von Westmeath à certes fortifiés ses positions, mais le général autrichien ne peut rien face à l'assaut de l'armée bavaroise et de ces nouvelles recrues. Pilonné, ayant perdu la moitié de ces positions, il est contraint de se rendre à l'ennemi qui reprend son territoire mais pas pour longtemps. Le 8 Septembre l'armée de Frimont entre dans les Alpes bavaroises tandis que 40 000 autrichiens venus des frontières balkaniques se dirige vers Munich. Le général von Wrede comprend qu'il doit à tout prix empêcher la jonction des deux forces et se dirige vers ceux venu des Balkans. Des émissaires négociant la libération de von Westmeath sont envoyés à Frimont pour le retarder tandis que des partisans bavarois tentent d'affaiblir ses forces par des tirs isolés ou des empoisonnements.
Le 12 Septembre, alors que le corps venu d'Italie est encore bloqué dans les Alpes, von Wrede rencontre l'archiduc Charles et ses 40 000 à Passau. Supérieur en nombre, placé sur une position avantageuse, les bavarois battent les autrichiens et font 18 000 morts et prisonniers. Mais Frimont approche de Munich, le général bavarois choisit de retourner vers sa capitale plutôt que de poursuivre les fuyards. Arrivant in extrémiste pour empêcher les autrichiens de donner l'assaut, von Wrede engage une bataille acharné qui durera deux jours. Le 20 Septembre Frimont choisit de battre en retraite face à l'obstination des bavarois et son incapacité à prendre la ville. La seconde bataille de Munich est une victoire, mais elle permet aussi aux deux armées autrichiennes de se rassembler trois jours plus tard dans les alpes bavaroises. Ils marchent de nouveaux conjointement vers Munich, mais est-ce que l’armée qui s’entraîne au Nord de la Bavière arrivera à temps pour sauver Von Wrede d'une défaite certaine ?
- France et Mer du Nord:
Sans raison connue, la flotte et l'armée embarquée en Suède vont attaquer sur leur route plusieurs navires marchands britanniques. Ils échapperont de peu à la Navy en débarquant à Dunkerque le 28 Août. 120 000 hommes se déversent dans les campagnes françaises avec la ferme intention de prendre Paris. Devant cette menace Napoléon, Davout et Grouchy quittent la Wesphalie pour tenter de faire barrage à cette invasion. Dans le même temps le Sud de la France se soulève sous l'influence des royalistes. Préfet des régions Midi-Pyrénées et PACA, Louis XVIII déclare leur appartenance au Royaume de France et les rumeurs parlent d'une armée en court d’entraînement. Dans les garnisons impériales, on dénombre des empoisonnements en série, des trahisons et des assassinats d'officiers alors que des royalistes causent des troubles partout dans le reste du pays.
Suédois et Français se rencontrent finalement à Beauvais le 9 Septembre. Malgré le désespoir des suédois dû à la mort de leur Roi, la bataille est rude et dans la soirée l'issue de la en est encore incertaine. Mais les suédois sont fourbes et ne respectent pas la trêve de Morphée, profitant de la nuit ils récupèrent en secret plusieurs positions française, ranimant la bataille. Il faudra finalement tout le génie militaire de l'Empereur pour imposer en début de matinée une victoire française. Les suédois évacuent donc un champs de bataille chargé de plus de 50 000 cadavres et y laissent des prisonniers. Plutôt que de poursuivre les suédois qui semblent se rediriger vers leurs navires, Napoléon conduit son armée à Paris pour qu'elle s'y ressource et assure l'ordre en Ile de France.
Le 20 Septembre les suédois découvrent avec stupeur que la rade et les fortifications de Dunkerque n'ont finalement pas protégés leurs bâtiments des frégates anglaises, ils sont bloqués en France. Dans le même temps l'Empire dispose de 160 000 nouveaux soldats répartis sur diverses garnisons et l'armée du Roi de France entre en service et prend le contrôle de Carcassonne. Mais les troupes des espagnols pro-français qui franchissent en masse les Pyrénées contrecarrent les plans de Louis XVIII. Aidés des nouvelles recrues, les pro-français reprennent le contrôle du Midi-Pyrénées forçant les royalistes à fuir vers PACA. Mais là aussi ils sont attendus de pied ferme par les nouveaux soldats impériaux et doivent céder village par village. Au Soir du 30 Septembre le Roi ne contrôle plus que la Provence bien que des troubles causés par ses agents agitent encore le pays.
Les suédois eux ont pris le contrôle de place forte qu'ils pensent céder contre un rapatriement au pays.
Rumeur : -Plus de 50 UR auraient été investis ce tour si en Espagne -L'Ottoman masserait ses troupes dans les Balkans - L’assassin de Bernadotte ne serait pas français -Le peuple autrichien exigerait une baisse d’impôt -Les actions des royalistes auraient discrédité ce mouvements auprès des français -Murat ferait mieux de troquer son royaume ou de rallier la coalition. -La France serait capable de repousser haut la main les assauts coalisés -Masséna aurait été trahi, ce qui l'aurait conduit à trahir -La flotte autrichienne pourrirait à quai |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Mer 25 Juil - 0:30 | |
| L'Empire Ottoman est fier d'annoncer au monde qu'il vient de lancer la construction d'une ligne de chemin de fer reliant Ankara et Istanbul. |
| | | Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Jeu 26 Juil - 15:20 | |
| Un nouveau pas vient d'être fait vers la fin de la guerre de la Septième Coalition. En effet, les Empires Français, Scandinave et Russe sont parvenus à trouver un terrain d'entente. - Citation :
Traité de Rovaniemi
- L'Empire Français et l'Empire Scandinave s'engagent à cesser dorénavant toute action belliqueuse à l'encontre de l'Empire Russe.
- L'Empire Russe s'engage à cesser dorénavant toute action belliqueuse à l'encontre de l'Empire Français ou de l'Empire Scandinave .
- L'Empire Français s'engage à n'apporter aucun soutien direct à la Pologne ou à la Lituanie.
- L'Empire Russe cède l'île de Åland à l'Empire Scandinave.
- La frontière entre l'Empire Russe et l'Empire Scandinave est déplacée à la rivière Onasjoki. Napoléon, Empereur des Français, signe le présent traité. |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Ven 27 Juil - 0:09 | |
| Alexandre I, Empereur de la Sainte Russie, signe le présent traité.
Frédéric I, Empereur de Scandinavie, signe le présent traité.
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| | | LuciusLanda Trésorier du fan-club de Benalla
Messages : 405 Date d'inscription : 04/12/2011 Age : 29 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Mar 31 Juil - 19:14 | |
| Il ne reste plus de places libres Luis ? |
| | | Luis Daoiz
Messages : 384 Date d'inscription : 24/12/2011 Age : 30
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] Mer 1 Aoû - 9:03 | |
| Non malheureusement c'est full. Même pour l'aryenne de ton avatar. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Le Vol de l'Aigle [LVA] | |
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| | | | Le Vol de l'Aigle [LVA] | |
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