Monde Virtuel: 1805, ou l'Europe Française.

Si j'ai bien compris, on peut commencer à jouer ? Si oui :

Frédéric-Guillaume III de Prusse, annonce qu'il l'édit de ratifier l’édit de Koenigsberg qui accorde la liberté de culte dans le Royaume de Prusse. Il espère ainsi mettre fin aux tensions religieuses et renouer des relation cordiale avec sa Sainteté le Pape.

Le Sultan Selim III annonce son intention de réformer en profondeur le système politique et administratif de l'Empire Ottoman, et a décidé pour se faire de lancer les Tanzimat. L'un de ses premiers effets sera l'adoption par l'Empire Ottoman d'une constitution à la française et d'un parlement à l'anglaise.

François II du Saint-Empire annonce la fin du Saint-Empire Romain Germanique et la naissance de l'Empire de Germanie.
Il donne à Maximilien IV Jospeh, de Bavière, le trône de l'Empire de Germanie. Le fils de Maximilien, Louis, devient électeur de Bavière.
L'Autriche et la Prusse se voient accorder une libération totale de leurs territoires: l'Empire de Germanie ne comporte que le territoire purement germanique (le territoire gris clair)

Le Royaume du Portugal et l'Empire Français viennent de signer une paix séparée d'avec la Troisième Coalition.

Le traité engage également le Royaume d'Espagne et la République Batave, qui soutenaient l'Empire Français dans les négociations.

Il ne sera pas donné davantage de précisions quant au contenu du traité.

Spoiler:

Europe : L’avancée Française


Une nouvelle année de défaite pour la Troisième Coalition, qui éclate de partout. Toute l’Europe est en flamme. Toute l’Europe ? Non. Il existe un pays qui repousse vaillamment les attaques de la Troisième Coalition. La France, avec ses alliés également. Alors que l’Empire Français fait chuter des monarchies, avec l’aide de nouveaux alliés, d’autres peuples s’unissent afin de ne former qu’un seul royaume, tentant de retrouver la puissance d’antan, avec des résultats moyens. Alea jacta est, dirait César, représenté par Napoléon Ier depuis non pas Rome mais Paris. L’année 1806 qui s’ouvre risque d’être aussi voire plus sanglante que l’année 1805, et le sort de l’Europe se jouera certainement en 1806. La victoire Française, qui semble être inévitable déjà, ou la victoire Coalisée, ce dont les stratèges des deux camps doutent de plus en plus.

I La chute du Royaume des Deux-Siciles.

Sans soutien, peut-être faudra-t-il y réfléchir à deux fois pour attaquer l’Empire Français, qui fortifiait rapidement ses côtes, rapidement certes, mais puisements, notamment grâce à de la main d’œuvre envoyée par des alliés, main d’œuvre venue de colonies diverses. Sa Majesté Ferdinand Ier des Deux-Siciles avait envoyé sa flotte composée de quatre navires de premier rang, dix navires de quatrième rang et de vingt-cinq navires de cinquième rang détruire les ports de Toulon et de Marseille, là où une bonne partie de la flotte impériale française était à quai. Seulement, Napoléon se voulait prudent avant de mettre son plan à exécution. Plusieurs dizaines de navires de pêches, rapides, surveillaient les côtes, afin de prévoir toute offensive navale. Voyant la quarantaine de navires, l’un d’entre eux fit rapidement un détour, afin de prévenir l’amiral Villeneuve, qui s’apprêtait à appareiller avec toute sa flotte pour les Caraïbes, et mettre en marche le plan de l’Empereur.

Ainsi, Villeneuve appareilla tout de même, alors que l’Amiral Anglais Horatio Nelson n’attendait évidemment que ça. Nelson s’était préparé à voir Villeneuve partir vers les Deux-Siciles, afin d’affronter la flotte, prenant ainsi une avance, théoriquement. Malheureusement pour lui, il s’aperçu rapidement, mais trop tard, que Villeneuve n’était pas derrière lui. La flotte des Deux-Siciles avait tentée d’attaquer les ports de Toulon et Marseille, mais seulement, elle se fit rapidement attaquer par les bastions, et une heure plus tard, par une cinquantaine de navires français, commandés par Villeneuve, qui prenait à revers la flotte des Deux-Siciles. Averti, Nelson fit immédiatement demi-tour lorsque la flotte des Deux-Siciles fut complètement anéantie, et que Villeneuve, avec une semaine d’avance sur lui, prenait le cap des Amériques.

Et alors que les Deux-Siciles, ne connaissant toujours pas leur défaite, voulait envahir les régions françaises de la Mer Adriatique, la IIIème Armée Française est venue envahir le royaume. Possédant une armée de 80’000 soldats, et 400 canons, les Deux-Siciles étaient numériquement bien inférieurs, face aux 282’500 soldats et 800 canons. La construction de forteresses près de la frontière avec les États-Pontificaux fut rapidement stoppée par la fulgurante avancée française, qui a prit Naples, capturant par la même occasion le roi du pays, qui fut obligé d’abdiquer, laissant dorénavant place au roi Joachim Murat.

II Fin de l’Empire Autrichien.

L’Empereur François II d’Autriche avait été très prévoyant sur une éventuelle attaque française, voir même venant de pays voisins. Néanmoins, deux milliers de cavaliers auraient été plus utiles à Vienne qu’à la frontière prussienne ou varsovienne. Prévoyant, l’Empereur avait donc envoyé les trois quart de ses forces au Col du Brenner et à Villach, où des combats allaient bel et bien se passer. Mais l’Autriche ne s’attendait certainement pas à être attaqué de par ailleurs. Une armée avait certes était placée à Vienne, mais trop peu nombreuses face aux immenses armées françaises.

Les éclaireurs autrichiens avaient repérés dans les Alpes plus de 900’000 soldats marchant vers eux. Rapidement, ils tentèrent d’alerter les généraux présents à Villach et au Col du Benner, qui avaient de gros problèmes avec leurs armées : les français avaient secrètement empoissonnés leurs nourritures, alors que de nombreuses coupures avaient déjà lieues dans le ravitaillement des troupes, et que plusieurs officiers importants étaient morts intoxiqués. Il ne fut pas sans dire que la victoire française était indéniable dans les Alpes autrichiennes, permettant ainsi la capture de nombreuses villes, enclavant par ailleurs l’Autriche, qui n’avait dorénavant plus accès à l’eau, alors que sa flotte était dorénavant française.

Et simultanément, l’Empire Russe et l’Empire Ottoman lancèrent des offensives de masse sur l’Empire Autrichien, alors que Vienne était déjà assaillie par les Français. Des rebelles Roumains avaient aidés les Ottomans, ce qui facilita beaucoup l’avancée. Une semaine après le début du Siège de Vienne, la capitale était tombée, tout comme l’Empereur. Pendant ce temps, les armées russes arrivaient à Vienne, et furent chaleureusement accueillis par l’artillerie française. Ayant déjà perdu des soldats, les forces russes replièrent, subissant des harcèlements français. La France et l’Empire Ottoman étaient dorénavant les deux seuls pays maîtres de l’Autriche.

III L’échec de la Pologne et l’invasion de la Russie

Seulement, les forces russes envahissaient en même temps la Pologne, soi-disant avec l’aide des Prussiens, qui s’étaient alliés avec les Polonais. Ainsi, les armées polonaises qui devaient théoriquement être détruites par les forces prussiennes ne faisaient que de marcher avec celle du royaume de Prusse contre les forces russes, qui pensaient avoir déjà gagné la Pologne. Pilonnés par les boîtes à mitrailles prussiennes, les cosaques russes furent mis en déroute rapidement, alors que les immenses lignes de soldats alliés détruisaient absolument toutes leurs forces dans les batailles. Dorénavant, les troupes prussiennes et polonaises marchaient conjointement sur les territoires russes peuplés de polonais, qui seraient donc redonnés par la suite au Grand Duché de Varsovie, protectorat autonome prussien, le temps de la fin de la guerre certainement, ainsi que de reconstruire la Pologne endommagée.

La situation ne serait pas aussi dramatique à Moscou si la Russie était dorénavant seule et affaiblie par maintenant une attaque ottomane, qui reprend ses territoires de la Mer Noire, rappelant aux peuples locaux qu’ils étaient ottomans avant, et les embringuant avec les nouvelles réformes Ottomanes, qui ont redressés considérablement le pays, lui redonnant sa puissance d’antan. Ainsi, alors que l’île de Malte appartient dorénavant à l’Empire Ottoman, tout comme le Maroc placé sous protectorat, l’Empire Ottoman vainc l’Empire Russe, alors que les troupes russes restantes après la défaite en Autriche sont harcelées, et anéanties ou capturées. Une bonne partie de la Russie occidentale est capturée, alors que si une attaque russe s’était faîte en Suède, la situation aurait était bien plus pire.

IV La chute Anglaise, et la fin de la Troisième Coalition.

Le stratégique plan de Napoléon avait était donc mis en place, alors que Nelson suivait d’une semaine de retard Villeneuve, qui avait défendu la France contre la flotte des Deux-Siciles, maintenant dirigés par Joachim Murat, vassal de l’Empereur Napoléon 1er. Alors que l’Angleterre investissait massivement partout, et notamment dans le domaine militaire, les possessions anglaises dans les caraïbes furent détruites puis capturées par les troupes françaises, frappant un grand coup contre l’Angleterre, alors que l’Espagne envahissait le Belize. Nelson attendit que Villeneuve sorte des Caraïbes pour l’attaquer, malheureusement, la flotte française était bien plus nombreuse et puissante que celle de Horatio Nelson. Pendant plusieurs heures, les deux flottes s’affrontèrent vaillamment, et la bataille fut remportée par Villeneuve, laissant encore une trentaine de navires à Nelson, qui fuyait dorénavant avec sa flotte vers la Guyane Anglaise, alors attaquée par les forces espagnoles. L’argent ne coulait plus à flot pour l’Angleterre, qui ne pouvait plus en prêter aux membres de la Troisième Coalition, s’entretuant alors. Villeneuve arriva rapidement en Mer de la Manche, détruisant par ailleurs le blocus Anglais, en libérant la flotte de Brest, alors que celle de Cadix se libéra toute seule, difficilement certes. Gibraltar fut même reprit par les troupes espagnoles, qui contrôlaient donc l’accès à la Mer Méditerranée, maintenant vidée de navires coalisés. En cette année 1806 qui commençait, la victoire française était dorénavant certaine.

Monde : L’ère du colonialisme

Les européens ne chôment pas cette année ! Surtout la République Batave, qui a doublé son territoire colonial, voir triplé, alors que la Prusse s’est bien agrandie aussi. Ainsi, de nombreux territoires africains passent sous domination Prussienne ou Batave, alors que l’Angleterre a unifié la quasi-totalité de l’Inde. Néanmoins, l’Empire Marathe est bien décidé à tenir tête à l’Empire Britannique. Empire Britannique qui colonise de plus en plus avec l’envoie en masse de colons l’Australie. On annonce aussi la colonisation de la Corée par le Japon, suite à de nombreuses tensions avec elle, alors que le Japon modernise de plus en plus son armée comme la Chine, grâce aux européens notamment.

Note : De gauche à droite : Fath Ali Shah Qajar de Perse ; Frédéric Guillaume II de Prusse ; Napoléon Ier de France ; Selim III d'Ottoman ; Alexandre Ier de Russie.

En ce jour, un accord de paix a été signé à Yalta entre l'Empire de Russie et ses opposants, l'Empire Ottoman, l'Empire Perse, le Royaume de Prusse et l'Empire Français.

Le Royaume de Prusse et l'Empire Ottoman restituent à l'Empire Russe les territoires marqués par un point blanc.
L'Empire Ottoman cède au Royaume de Prusse le territoire marqué d'un point noir. Cependant, les populations roumaines qui y résident pourront bénéficier à la fois de la nationalité roumaine et de la nationalité ottomane.
L'Empire Russe cède à l'Empire Ottoman les territoires suivants : Oblys de Manguistaou et Balkan.
Les hostilités cessent dès ce jour.

> Carte <

Le sultan Selim III signe le traité de Yalta.

L'Empereur Alexandre Ier de Russie signe l'accord de Yalta.

Frédéric Guillaume III signe

Suite à un problème avec des actions, le tour est suspendu. Je le modifierais à mon retour. L'accord peut-être gardé, je pense, mais ça va modifier un peu sur un pays ou deux.