Peuples et Nations - 1830

La France réfute simplement les accusations de trahison de l'empereur, toujours sur ce fondement de l'alliance. Notre but n'est pas de mettre en difficulté l'Empereur mais d'obtenir la paix, rapidement.

L'Empereur sait très bien que concilier ses ambitions et celles de l'Empereur d'Autriche est une tâche complexe, les deux parties campant sur leurs positions. De ce fait, les tensions sont importantes et la France craint l'éclatement d'un conflit entre l'Autriche et la Russie.
La France ne souhaite pas la guerre entre ces deux parties, et encore moins être impliquée dans un tel conflit. Nos actions n'ont que cet objectif. Ce n'est pas de l'Empereur que nous souhaitons nous débarrasser - ce serait d'ailleurs un plan bien misérable -, c'est de la guerre.

Pour preuve, la proposition française de paix générale où toutes les nations annexent les terres qu'elles occupent pendant le tour tient toujours. L'empereur avait rejeté cette proposition et maintenu ses revendications. Vous comme l'Empereur d'Autriche ne changerez pas vos prétentions, et ne tomberez pas d'accord, et vous le savez très bien. C'est donc encore la proposition la plus neutre, et vous serez libre de régler vos différends entre vous plus tard si vous le souhaitez. Puisque nous sommes tous d'accord sur la libération de la Grèce, nous pourrons également nous accorder pour lui donner en plus les îles ottomanes et un contrôle sur les détroits.

Un conseil au roi de France, si vous voulez avoir l'air crédible quand vous prétendez ne pas vous mêler des affaires austro-russes, ne mettez pas votre signature en bas d'une lettre où vous proposez à un ennemi commun de revendiquer une plus faible superficie de ses terres s'il accepte de continuer la guerre contre nous, a fortiori si votre non-allié autrichien profite de cette même missive pour ajouter à la proposition une offre d'alliance.

Eh bien, nous faisons passer notre allié autrichien avant vous c'est vrai mais ça n'a rien de déshonorant. Nous ne nous sommes pas associés aux propositions de l'Autriche vous concernant.

La France n'a proposé son soutien à aucune des parties et était prête à revoir ses revendications à la baisse en échange d'une "paix rapide" et c'est tout, comme c'est indiqué dans la lettre. Elle n'a pas offert son soutien au Sultan, elle n'a rien entrepris ou projeté d'hostile contre la Russie. Encore une fois, nous voulions juste outrepasser le blocage évident qu'il y avait dans ces négociations.

L'Empereur prouve juste par son obstination qu'il n'a jamais souhaité une conciliation sérieuse avec l'Empire d'Autriche et qu'il recherche la guerre depuis le début.

Pour éviter la guerre, nous appelons le Royaume Uni et les autres grandes puissances européennes à servir de médiateurs. La France ne veut pas la guerre entre les nations d'Europe.

C'est étrange que vous ne voulez pas la guere puisque c'est vous qui l'avez quand même déclenché.

Évidemment nous avons voulu la guerre avec les Ottomans. Pour autant, nous ne souhaitons pas d'une guerre entre l'Autriche et la Russie.

Donc c'est en fonctions de vos désirs que les grands de ce monde doivent ou non intervenir pour éviter la guerre ?
Je ne suis pas une grande puissance mais si j'en étais une je ne le prendrais pas spécialement bien d'être appelé comme un bon toutou quand la France trouve une situation désagréable.

L' Empire Ottoman et prêt à renoncer à toute ses vus sur l'Europe, nous sommes même prêts à nous retirer de la Grèce et des Balkans en échange d'un retrait des troupes françaises en Egypte, nous voulons la paix au Moyen-Orient et nous voyons d'un mauvais oeil l'Empire colonial qui est en train de se bâtir en terre d'Islam et le partage du Moyen-Orient tel un gâteau entre les puissances Européennes.

La France était prête à revoir ses revendications à la baisse en échange d'une "paix rapide" ? C'est curieux comme la condition selon laquelle l'Empire Ottoman devait nécessairement continuer le conflit avec la Russie et la Perse s'est perdue en cours de route.

Nous n'avons effectivement pas cherché de coalition sérieuse avec l'Autriche, lorsque nous avons demandé un droit de passage par ses terres pour intervenir plus vite dans les Balkans en échange d'un pacte de non agression mutuel, celle-ci a répondu qu'elle n'était pas intéressée car elle ne participait à aucun conflit avec l'Empire Ottoman. Il semble évident au vu de l'évolution de la situation que cette réponse n'avait rien de sincère, mais nous nous en sommes contenté à l'époque. Nous avons ensuite fait une proposition de partage territorial à laquelle l'Autriche n'a pas daigné répondre, et sommes en conséquence accusés d'être borné et de vouloir la guerre avec un pays qui a refusé le pacte de non agression que nous lui proposions.

Nous allons par ailleurs rappeler le déroulement des faits.
- Vous avez attaqué l'Empire Ottoman sans prévenir alors que vous aviez prévu d'organiser un congrès pour régler pacifiquement la question des Balkans.
- Vous êtes venu demander l'aide de la Russie dans ce conflit, ce que nous avons accepté de faire afin de restituer les terres grecques aux Grecs et les terres slaves aux slaves.
- Nous avons discuté de la question de l'Autriche, nous avons précisé que nous préférions ne pas la voir s'impliquer à moins qu'elle ne revendique aucune terre slave, et particulièrement pas les terres slaves orthodoxes.
- La Grèce rejoint le conflit afin de récupérer ses terres légitimes. Pour une raison qui nous échappe, ce pays est considéré comme faisant partie d'une guerre visant à mettre fin à la piraterie en Méditerranée plutôt qu'à un conflit visant à libérer les terres grecques et slaves, mais la Russie est considérée comme ayant déclenché sa propre guerre. A ce stade, nous pensons que les mouches ont des difficultés à voler droit à Versailles.
- Il s'avère que l'Autriche a pris part au conflit et occupe désormais l'essentiel des terres que nous revendiquions. On nous demande de nous contenter d'une part amputée de la Bulgarie et de la Roumanie, seule la première faisant réellement partie des terres slaves. Nous apprenons également que les armées françaises et grecques coopèrent avec celles de l'Autriche, mais considèrent que les Russes mènent une guerre personnelle.
- Nous proposons un compromis auquel l'Autriche ne daigne même pas répondre. Cela fait de nous un souverain borné qui ne recherche que la guerre.

Nous ne souhaitons pas entrer en conflit avec l'Autriche, et encore moins la France, mais vos manœuvres n'ont rien d'honorable, et vous devez vous douter que nous n'aurions pas pris part à cette guerre si nous avions su au moment où vous nous avez invité à vous y rejoindre que nous serions traité ainsi. Nous ne demandons rien à la France, pas même qu'elle reconnaisse sa déloyauté puisqu'elle semble incapable de toute forme de remise en question. Mais nous annonçons d'ores et déjà que toutes nos relations diplomatiques passées sont considérées comme nulles.

Prenant acte de la proposition de l'Empire Ottoman, nous Léopold I de Grèce pensons qu'il est possible d'arriver à un accord.
Nous proposons au sultan que le royaume de Grèce récupère :
- Les territoires que nous occupons actuellement.
- La ville de Constantinople ainsi que sa partie orientale et l'arrière pays qui va avec.
- Les possessions insulaires de l'Empire.
- La rive orientale du détroit du Bosphore et l'arrière pays allant avec.
- La signature d'un traité de non agression sur 3 ans. (3 tours)
- Le droit de passage de la flotte ottomane sur les détroits.
- Un tzatziki fait maison

Sa Majesté Charles XIV Jean, roi du Danemark, de Norvège et de Suède, est heureux aujourd'hui d'annoncer la signature d'un traité d'alliance défensive avec le Royaume du Portugal et le Royaume uni des Pays-Bas.

Nos trois nations ont décidé dès à présent d'unir nos forces et de s'apporter mutuellement assistance. Cette assistance, outre le traité d'alliance défensive, prendra surtout la forme d'une coopération rapprochée dans le développement colonial de nos royaumes. Il est évident qu'aujourd'hui l'exploration coloniale est devenue un véritable objectif aussi bien culturel qu'économique pour chaque nation civilisée. Dans cette optique, il nous apparait évident de s'unir pour permettre une colonisation raisonnée et efficace, en évitant une course effrénée à la conquête de territoires inexploités. Le Royaume du Portugal, le Royaume uni des Pays-Bas et le Royaume de Suède prennent date dès à présent de leur investissement dans la promotion de cette colonisation éclairée.

En outre, nous annonçons aujourd'hui la création de la Compagnie suédoise des Indes occidentales et orientales qui aura pour but de pérenniser le développement des territoires colonisés par la Couronne.

Puisse cette alliance être fructueuse !

On me l'a demandé, voici une liste des pays et les pays avec lesquels ils n'ont pas d'accords technologiques :

France : Espagne, Portugal
Pays-Bas : Portugal
Prusse : Portugal
Autriche : Espagne, Portugal, Chili
Suède : Deux Siciles, Espagne, Argentine, Chili
Piémont-Sardaigne : Portugal
Deux Siciles : Espagne, Argentine, Portugal
Espagne : France, Autriche, Suède, DeuxSiciles, Japon, Empire Sikh, Perse, Etats Pontificaux, Argentine, Portugal
Grande Bretagne : Etats Pontificaux, Portugal
Etats Unis : Etats Pontificaux, Portugal
Japon : Espagne, Etats Pontificaux, Portugal
Empire Sikh : Espagne, Argentine
Perse : Espagne, Perse, Etats Pontificaux, Portugal
Etats Pontificaux : Espagne, Grande-Bretagne, Etats Unis, Japon, Perse, Portugal, Chili
Argentine : Suède, Deux Siciles, Espagne, Empire Sikh, Argentine, Portugal
Chili : Autriche, Suède, Etats Pontificaux, Portugal

Bavière : A signé avec tout le monde sauf le Brési, la Colombie et l'Empire Ottoman qui viennent d'arriver
Portugal : A signé avec la Bavière, la Suède, la Grèce, la Russie, l'Empire Sikh
Empire Ottoman : Vient d'arriver donc y'a rien de signé
Brésil : Pareil
Colombie : A signé avec personne, mais du fait de sa situation, le joueur peut m'envoyer une liste de partenariats qu'il veut signer, je les prendrais en compte et lui renverrai ses stats.

Guillaume 1er, Roi des Pays-Bas Unis, ratifie cet accord et annonce par la présente vouloir entériner des accords technologiques avec le Brésil, le Portugal et l'Empire Ottoman.

Sa Majesté, Charles XIV Jean, roi du Danemark, de Norvège et de Suède, est ravi d'annoncer l'alliance unissant le Royaume de Prusse et le Royaume de Suède.

Ce jour marque le début d'une union entre nos nations, nos peuples et nos cultures. Cette alliance, qui se veut totale, sera scellée par le mariage entre le Prince héritier Oscar de Suède et la Princesse Frédérique de Prusse, fille du roi Frédéric-Guillaume III. Ce mariage aura lieu au cours de l'année 1833, les circonstances connues de tous l'exigeant.

Outre l'union de nos deux nations, de nombreuses dispositions ont été prises. Dans un premier temps, le Schleswig-Holstein, territoire suédois soumis à de nombreuses protestations armées de la part de rebelles favorables à l'unification allemande, sera cédé au Royaume de Prusse. Dès lors, il sera dans l'année tout bonnement rattaché au Royaume de Prusse, faisant partie intégrante de son territoire. Le roi Charles XIV Jean démontre ainsi sa volonté de laisser aux populations allemandes le choix de se rattacher à la nation dont ils se sentent le plus proche.

En contrepartie, le Royaume de Prusse a accepté de céder ses colonies se trouvant en Afrique orientale à la Couronne suédoise. Le territoire anciennement prussien passera directement au cours de l'année sous pavillon suédois, et sera en conséquence administré par la Compagnie suédoise des Indes occidentales et orientales. En effet, le roi Frédéric-Guillaume III de Prusse a décidé de montrer sa volonté de soutenir la cause défendue par le Royaume de Suède au travers de sa Compagnie, à savoir une colonisation raisonnée et humaniste des territoires inconnus. Il s'inscrit ainsi dans la tradition de clairvoyance avec laquelle ses prédécesseurs ont régi le Royaume de Prusse.

Nos deux nations s'honorent d'être aujourd'hui unies par des liens familiaux et d'amitié profonde, et surtout une vision commune de la façon de gouverner, avec comme vision la préservation du bien commun.

Puisse cette alliance profiter à nos nations, et surtout à nos peuples !

Le Protecteur du Penjab demande à son ami le roi de Suède pourquoi la Compagnie des Indes s'installe en Afrique.

Mais félicitations aux mariés !

La Compagnie suédoise des Indes occidentales et orientales a vocation à s'installer sur tous les territoires contrôlés par la Couronne, en Afrique comme en Asie.

Le Protecteur du Penjab semble fort déçu de ne pas voir davantage d'états européens installer leurs colonies en Inde.

Le grand-prince de Novgorod ferait mieux de s'occuper des turcs que des Indiens.

Brasil

L'empereur Pedro II, fils de Marie-Léopoldine d'Autriche et de Pedro Ier -  qui a récemment abdiqué au profit de son fils - et frère de Marie II, reine de Portugal, est gravement malade.
Avec le soutient conjoint des différents partis Brésiliens, faisant suite à de légères altercations internes, je suis finalement nommé premier régent de l'Empereur.
Moi, Joao DaSilva, généralissime en chef des armées Brésiliennes, déclare que Pedro II est inapte à diriger le Brésil. Les pleins pouvoirs me reviennent dorénavant de droit.
Avec l'accord de sa soeur Marie II, reine du Portugal, nous pourrions l'acheminer vers sa famille, ce qui lui ferait le plus grand bien. Un bateau est prêt à partir dès que la reine aura apposé son accord.
Cela ne change en rien la politique actuelle extérieure du Brésil, qui conserve ses Alliances actuelles.

En ce qui concerne la diplomatie externe à l'Empire Brésilien :
J'annonce mon intention de signer un partenariat technologique avec les pays alliés au Brésil - à savoir le Chili et l'Argentine - ainsi qu'avec les USA, et tout autre pays qui serait d'accord pour un tel partenariat, sauf le Mexique et les pays Africains, sous réserve d'en discuter ultérieurement en anti-chambre.

Par ailleurs, j'officialise un partenariat commercial avec le Chili et l'Argentine, membres de la Triple-alliance, ainsi qu'une route fluviale via le Rio Paraná et ses affluents, allouée au commerce, dans ce but.

J'officialise également un pacte de non-agression avec les USA et ses autres territoires.

De plus, j'annonce mon intention de signer le traité de Washington, sous réserve d'un accord de la Bavière et des autres signataires.

HRP : on pourrait pas découper nos messages en une partie politique interne et une partie politique externe ? ce serait plus simple à lire. Ou alors mentionner les pays que ça concerne, pour s'y retrouver plus vite

Nous, roi de Prusse, Frédéric-Guillaume III sommes très heureux, non seulement de signer une alliance avec son voisin, mais de célébrer un mariage entre notre fille et le fils aîné du Roi de Suède.

Nous avons découvert au fil des négociations de quelle manière éclairée le roi Charles guide son peuple ainsi que la Compagnie des Indes sur le chemin de l'exploration et de l'aventure. Nous nous réjouissons d'avance d'avoir un tel partenaire.

J'officialise le partenariat technologique avec les Pays-Bas, les USA, le Chili, l'Argentine, la Russie, la Scandinavie, l'Italie, l'Empire Sikh, les deux Siciles, le Japon, l'Empire Ottoman, le Royaume-Uni, la Prusse, les Etats-Pontificaux et la Grèce. Je suis toujours ouvert pour d'autres partenariats de ce type.

Les services diplomatiques américains confirment la signature d'un pacte de non-agression et d'un partenariat scientifique avec l'Empire Brésilien. Nous espérons que cela soit le début d'une longue et fructueuse coopération.

La Reine Marie II du Portugal est heureuse de ratifier l'accord d'une alliance défensive ainsi que d'une entraide en ce qui concerne les colonies, avec le Royaume des Pays-Bas Unis et le Roi de Suède, de Norvège et du Danemark.


Le Portugal ratifie aussi la proposition du Brésil. Pedro II sera attendu au Port de la capitale Portugaise: Lisbonne. Puisse les dieu le ramener sain et sauf dans sa patrie originelle.

"Mes frères, ce jour est grave, nous avons été trahis. La paix ne fut qu'illusoire, moins de 20 ans après la dernière occupation de notre belle et grande nation par les forces de l'impérialisme, il frappe à nouveau à notre porte. Les sauvages cisalpins du Nord, qui prétendent être nos frères alors qu'ils sont la progéniture bâtarde de lombards et de gaulois, ont coupé la main que nous leur avions tendu en signe de paix et de coopération. Ces êtres abjectes mentent comme ils respirent, n'écoutez pas leurs beaux discours sur la soi-disant unité du soi-disant peuple italien, les gaulois sont de retour, et ils veulent à nouveau brûler Rome. Mais la traitrise n'est pas leur seul vice, ils sont aussi rongés par la couardise et se sont sentis bien trop inférieurs pour oser nous attaquer d'homme à homme, ils se sont ligués avec les britons et les teutons, des traitres qui rompent également leurs accords; et avec les ibères des infâmes qui renient leurs liens dynastiques pourtant sensés apporter la paix entre les peuples qui les partagent. Et tout cela pourquoi ? Parce qu'ils ont peur de nous, ils ont peur de toi, de toi et de toi aussi dit-il en pointant quelques uns dans la foule, ils tremblent à l'idée que les Deux-Siciles et la nation deux-sicilienne soit libre, ils craignent les fils d'Archimède et tout ce que nous représentons, ils suent à l'idée de faire face à notre génie et à notre bravoure, et s'ils nous attaquent à dix contre un et pas à moins, c'est qu'ils savent pertinemment qu'ils n'ont aucune chance dans un affrontement loyal et équitable. Mes frères, ils viennent pour nous éliminer et n'hésiteront pas à violer nos femme, nos soeurs et nos filles pour souiller notre sang. Nous devons être brave, résister coûte que coûte lors de leurs assauts, et être aussi ingénieux que notre illustre ancêtre pour venir au bout de cette nouvelle invasion impérialiste afin de libérer nos frères du joug de l'oppresseur. Dieu nous regarde dit-il en regardant le ciel et il nous sourit, Saint-Pierre se prépare déjà à envoyer les barbares en enfer vers la damnation éternelle, nous n'avons qu'à les y pousser. Mes frères, nous sommes la nation deux-sicilienne, nous sommes les fils d'Archimède et nous ressortiront victorieux de cette épreuve."