Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: 2030 - Guerre de Sécession Européenne Sam 28 Fév - 21:15 | |
| 2015 :- Suite à de nombreuses actions humanitaires, la Russie annexe l'Ukraine lors du traité de Kiev et divise le pays en une multitude de petites républiques. La communauté internationale agit très vivement en parole, assez peu en actes. 2016 :- Après avoir longuement piétiné en Syrie, l’État Islamique effectue une percée inattendue en Irak et prend le contrôle du pays. Grâce à un regain de sang neuf dû aux recrutements forcés, elle prend rapidement Damas et commence à s'attaquer au Koweït et au Liban. Il ne lui faut que quelques mois avant de relier la Méditerranée au Golfe Persique. - La Biélorussie réintègre la Fédération de Russie sur décision des présidents Poutine et Loukachenko. - Pour des raisons totalement indépendantes des événements précédents, et malgré les protestations de la Croatie, de la Grèce et de l'Espagne, l'Union Européenne accélère l'intégration de la Serbie, du Monténégro et de la Macédoine et incite la Bosnie-Herzégovine, la Moldavie et le Kosovo récemment reconnu indépendant à présenter leurs candidatures. - L'Union Européenne décide de manière tout à fait spontanée de se rapprocher diplomatiquement de la Turquie, et de nombreux députés assurent de manière enflammée que cette dernière verra bientôt la fin de son processus d'adhésion, en cours depuis 1987. - Le président européen voit ses pouvoirs augmentés et son mandat rallongé, tandis que certaines réformes diminuent les pouvoirs des états-membres. Certains pays refusent d’appliquer les nouvelles lois européennes, parmi lesquels le Royaume-Uni. 2017 :- L'opinion des citoyens européens est de plus en plus divisée entre les europhiles qui craignent la menace russo-islamique et les eurosceptiques qui se disent que les politiciens font quand même un peu n'importe quoi et qu'ils ne sont plus vraiment en phase avec les problèmes de leurs contemporains. Divers mouvements unionistes ou nationalistes gagnent en puissance. - L'Europe est victime d'une vague d'attentats terroristes successifs contre ses infrastructures et ses monuments, notamment des édifices religieux, mais surtout des équipements militaires. Une attaque kamikaze et coordonnée de drones submersibles coule notamment plusieurs sous-marins et porte-avions. Les attentats ne sont pas revendiqués mais attribués à l’État Islamique. 2018 :- Un programme de subventions est mis en place afin de réarmer les états européens, en particulier en Méditerranée, Europe de l'Est et Scandinavie, car ces pays sont considérés comme plus exposés à certaines menaces grandissantes. Par ailleurs, les lois sur le permis de port d'arme se voient considérablement assouplies dans de nombreux états. 2019 :- La Bosnie-Herzégovine, la Moldavie et le Kosovo voient leurs processus d'intégration arriver à leur terme en un temps record, accompagnées de l'Albanie, alors que ces pays ne remplissent pas vraiment les conditions demandées à leurs prédécesseurs. Pendant ce temps-là, la Turquie pousse collectivement un soupir blasé. 2022 :- Destruction des dernières poches de résistance au sein de l’État Islamique. Malgré ses nombreuses menaces, le pays ne déclare la guerre à aucun autre de ses voisins, semblant préférer temporiser. 2023 :- Le Kazakhstan intègre la Fédération de Russie. - Les États-Unis sont l'un des premiers états occidentaux à reconnaître l’État Islamique. Les accords pétroliers qui s'ensuivent sont purement fortuits. - La Géorgie et l'Arménie se voient proposer de rejoindre l'Union Européenne. La Turquie commence à se dire qu'elle pue du bec. 2025 :- La Russie annonce clairement son intention de reconquérir l'Asie Centrale et déclare la guerre à l'Ouzbékistan. La communauté internationale observe en silence. - La Géorgie et l'Arménie présentent leurs candidatures à l'Union Européenne et sont aussitôt intégrées. 2027 :- Le Kirghizistan et le Tadjikistan rejoignent la Fédération de Russie quelques mois avant l'annexion finale de l'Ouzbékistan. La Russie enchaîne en déclarant la guerre au Turkménistan, bien que les régions précédemment conquises ne soient pas totalement pacifiées. 2030 :- Le président Charles Revard propose un grand plan de réforme du territoire, avec pour objectif de réviser les frontières nationales des états membres de l'Union Européenne afin de "mieux prendre en compte la réalité culturelle, humaine et historique". Les dirigeants britanniques et espagnols se retirent aussitôt de l'Union, ce qui a pour conséquence le soulèvement immédiat de l’Écosse et de la Catalogne. Par ailleurs, Revard proclame ces décisions anti-démocratiques et déclare la guerre à l'Espagne et au Royaume-Uni au nom de l'Union. C'est le début de la Guerre de Sécession Européenne. - Liste des factions jouables (le cas échéant, entre accolades):
L'Union et ses alliés :
- France (Hames) : La France fait partie des rares états à avoir répondu immédiatement à l'appel de Revard, après que celui-ci ait assuré au président français ne reconnaître en France aucune minorité justifiant un réaménagement territorial. Le pays est toujours un des plus puissants économiquement d'Europe, et jouit par ailleurs de la meilleure armée de terre.
- Allemagne (Fabian_) : Non seulement l'Allemagne n'est pas très inquiétée par cette histoire de révision des frontières, mais en plus le mot Anschluss a été prononcé à plusieurs reprises en des termes favorables par Revard. Il n'est donc guère étonnant que cet état, le plus riche d'Europe, ait décidé aussi vite de se rallier à l'Union.
- Chypre : On pourrait affirmer que Chypre est un petit état insignifiant qui ne peut avoir d'impact dans un conflit militaire, mais ce serait compter sans les Chypriotes grecs et leur sens de l'initiative. Aussitôt la ligne verte démilitarisée par les Britanniques, qui avait décidé de rapatrier ses troupes, l'état a rejoint officiellement le camp de l'Union pour se placer sous sa protection, avant d'envahir le nord de l'île et d'en chasser toute la population turcophone.
- Insurrection écossaise (Arkantos) : Les Écossais ne sont pas tous indépendantistes, mais ils sont majoritairement plus attachés à l'Union Européenne qu'au Royaume-Uni. L'insurrection aurait pu cependant tourner court si elle n'avait été mené par les régiments écossais de l'armée britannique. La plupart des grandes régions sont déjà tombées et présentent une menace certaine pour le Royaume-Uni.
- Insurrection catalane : La Catalogne est dans une situation plus délicate, puisqu'elle n'est pas soutenue par des troupes régulières, mais dans son cas ce sont les institutions politiques qui ont déclaré l'indépendance, suivies par la population. La communauté autonome de Catalogne fait par ailleurs partie des régions les plus riches d'Espagne, et elle pourrait bien faire des émules.
Les sécessionnistes et leurs alliés :
- Royaume-Uni (Varden) : Le Royaume-Uni a toujours été fortement eurosceptique, et le projet de réforme territorial a été la goûte d'eau qui a fait déborder le vase, Revard n'ayant pas fait de mystère de son intention de faire éclater le pays en quatre morceaux. La reine et le premier ministre ont bien l'intention de s'opposer aux projets de l'Union avec toute la force de leur flotte et de leur économie.
- Espagne : L'Espagne est toujours mal à l'aise lorsque on aborde la question de l'indépendantisme. Cette histoire de révision des frontières a donc quelque peu fait paniquer le gouvernement, qui s'est donc retrouvé plus ou moins malgré lui parmi les leaders sécessionnistes. Cependant, avant de pouvoir prendre part au conflit face aux états étrangers, il lui faudra calmer la situation sur ses propres terres.
- Turquie : La Turquie ne devrait normalement pas être impliquée dans cette guerre, puisqu'elle ne fait pas partie des états membres de l'Europe. Néanmoins, elle a assez mal pris le fait que Chypre lui renvoie ses colons par la mer, sans bateaux pour certains, et a donc décidé de s'allier au Royaume-Uni et à l'Espagne.
- Insurrection corse (Dodo) et insurrection bretonne : Ces deux mouvements ont éclaté presque simultanément, motivées par l'hypocrisie d'une réforme territoriale qui ne reconnaît pas toutes les minorités ethniques à part égale. La Corse est relativement bien armée, mais manque sérieusement d'unité et de population. La Bretagne compte plus d'habitants, mais est beaucoup plus exposée.
Les indécis :
- Irlande : L'Irlande est assez attachée à son indépendance et donc peu encline à voir l'Union prendre trop de pouvoir sur l'état. Elle souffre néanmoins d'énormes difficultés économiques et dispose d'une des armées les plus faibles de toute l'Europe. Par ailleurs, les nationalistes seraient ravis de récupérer l'Ulster. Il est peu probable de la voir prendre ouvertement parti, mais il ne serait pas surprenant que l'IRA s'invite dans ce conflit.
- Benelux { Belgique (ServietSky) ; Luxembourg ; Pays-Bas } : Les Pays-Bas ne se sentent pas trop préoccupés par la réforme territoriale, et ne semblent guère enclins à prendre parti dans ce conflit. La Belgique, en revanche, est partagée entre la crainte et l'excitation à l'idée de se voir coupée en deux, tandis que le Luxembourg s'interroge sur la possibilité de se retrouver purement et simplement annexé par un de ses voisins mais ne semble pas particulièrement alarmé. Dans tous les cas, aucun de ces états n'est considéré comme une menace majeure par les camps en présence.
- Alpes et Méditerranée occidentale { Autriche ; Italie (Silvio) ; Malte ; Portugal } : Personne n'attend du Portugal qu'il joue un rôle important dans ce conflit, et ce dernier ne se sent que modérément concerné par ce dernier, malgré une minorité de nationalistes exigeant le rattachement de la Galice. En Autriche, la population et les classes politiques sont partagées entre les partisans de l'Anschluss et ses opposants, mais le pays manque de troupes en raison du peu de subvenions accordées par l'Europe pour le réarmement. Au contraire, l'Italie a réussi à obtenir des fonds importants en arguant d'un risque d'attaque maritime des islamistes. Bien qu'une part du budget ait mystérieusement disparu, le pays est désormais doté d'une armée respectable, si ce n'est qu'elle est constituée d'italiens. Cette nation est assez indécise concernant la guerre et sa cause, car la réforme pourrait aussi bien se traduire par le morcellement du pays que par la réalisation de ses anciennes revendications irrédentistes. Son choix pourrait bien faire pencher la balance. Malte, enfin, craint de se voir intégrée à l'Italie, ou à la Sicile si cette dernière venait à se voir accorder l'indépendance. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'île pourrait bien être un pouvoir avec lequel il faudrait compter : Dans les dernières années, elle a été transformée en une gigantesque base navale et aéronautique afin de bloquer l'accès à la Méditerranée occidentale à une éventuelle flotte islamiste.
- Scandinavie { Danemark (LuciusLanda) ; Finlande ; Suède (kevin13) } : Ces pays sont fortement unionistes, car une part importante de la population craint davantage la montée en puissance de la Russie que l'annexion par l'Europe. De plus, ils se sont vus alloués des fonds importants pour se réarmer, notamment la Finlande qui est désormais dotée d'une puissante marine et d'une armée de terre peu nombreuse mais bien équipée et bien entraînée. Cependant, la rumeur circule que Revard souhaite créer un état lapon, information que la population accueille avec assez peu d’enthousiasme. Il est par ailleurs à noter que ces dernières années ont vu une montée en puissance de mouvements pan-scandinaves.
- Baltique { Estonie ; Lettonie ; Lituanie ; Pologne (hgh23) } : Dans toute l'Europe, on ne trouve nulle part un aussi fort sentiment russophobe qu'ici. Il n'est donc guère surprenant que la majorité de la population soit fortement unioniste, d'autant que ces pays sont peu inquiétés par la réforme des frontières, malgré quelques rumeurs concernant la restitution de ses anciens territoires à l'Allemagne ou la fusion de l'Estonie avec la Finlande. Il est à noter que les trois états baltes ont mis à profit les subventions européennes pour se créer une armée de drones à la pointe de la technologie. La Pologne, pour sa part, a fait taire les craintes de ses voisins qui pensaient qu'elle utiliserait ses fonds pour former de régiments de hussards. Elle est désormais dotée d'une bonne marine et surtout d'une armée de terre conséquente.
- Carpates { Hongrie (Arzgluf) ; Moldavie ; Roumanie ; Slovaquie ; Tchéquie } : Les états de cette région sont passablement russophobes et par conséquents plutôt unionistes, mais ils se regardent en chien de faïence en attendant de voir quel camp vont rejoindre leurs voisins et à quoi ressembleraient leurs frontières si la réforme passait. Bien qu'elle ait à de nombreuses reprises envisagé la sécession au cours des dernières années, l'Europe l'empêchant parfois de faire ce qu'elle veut avec les libertés individuelles, la Hongrie fantasme à l'idée de récupérer la Transylvanie, la Voïvodine et la Slovaquie. La Roumanie, pour sa part, est plutôt favorable à la réforme si elle implique la fusion avec la Moldavie, beaucoup moins s'il est question de perdre la Transylvanie. Quant à la Moldavie et la Slovaquie, elles tiennent à leur indépendance mais ne souhaitent pas se retrouver seule face à la Russie. La Tchéquie, enfin, voit sa russophobie tempérée par sa germanophobie, craignant de voir les Allemands revenir dans les Sudètes. D'un point de vue militaire, ces états ont principalement misé sur l'infanterie et les drones, bien que la Roumanie compte aussi de nombreux chars et une flotte plutôt modeste.
- Balkans { Albanie ; Bosnie-Herzégovine ; Bulgarie ; Croatie ; Grèce ; Kosovo ; Macédoine ; Monténégro ; Serbie ; Slovénie } : Ces états sont extrêmement partagés. Tout le monde ou presque craint la réforme en raison de la mixité des populations, et plusieurs pays sont plus panslavistes que russophobes, en particulier la Serbie. Sans parler des vieilles rancœurs qui perdurent et risquent de prendre le pas sur toute forme de raisonnement pragmatique. La Grèce est un cas particulier : Les subventions lui ont permis de se doter d'une marine et d'une armée de terre avec lesquelles il faut compter, et elle voit dans cette guerre non seulement une occasion de redorer son blason, mais aussi l'opportunité de réaliser la Grande Idée en mettant une rouste à la Turquie. Le fait que cette dernière soit déjà en conflit avec les petits frères chypriotes fait d'autant plus pencher la balance en faveur de l’unionisme.
- Caucase { Arménie ; Géorgie } : Arrivés récemment dans l'Union Européenne, ces deux états n'ont eu beaucoup de temps pour réformer leurs armées et s'imprégner de l'idéologie européenne. Ils sont assez perplexe face à la situation actuelle, tous deux craignant les menaces russe et islamiste mais ignorant ce qu'impliquerait pour eux une réforme des frontières. La Géorgie craint de se voir découpée en morceaux, tandis que l'Arménie voit une opportunité de faire valoir ses revendications sur le Haut-Karabagh.
Les voisins :
- Russie (Wellan) : La Russie a les dents longues et est plutôt dans une bonne passe. Elle a récupéré nombre de ses anciens territoires au cours des dernières années, et serait ravie de donner une bonne leçon à ses turbulents voisins européens qui occupent toujours des terres qui lui reviennent de droit. Sans parler de tous ces bronzés qui lui bloquent l'accès aux mers chaudes. Bien sûr, il y a la situation en Asie Centrale à régler, et il faudrait trouver un moyen de calmer tous ces manifestants qui réclament que Vladimir Poutine soit sacré tsar et devienne un cyborg immortel qui tire des lasers, mais la Grande Russie s'est déjà sortie de situations bien pires, d'autant qu'elle dispose aujourd'hui d'une des armées les plus puissantes du monde sur tous les plans. En revanche, elle connaît quelques difficultés financières, en partie parce que personne ne lui fait confiance.
- État Islamique (Flovic) : L'État Islamique n'attend qu'une occasion de remettre en place ces chiens d'infidèles qui ne respectent pas la parole du prophète. Le problème, c'est que la liste des infidèles ne respectant pas la parole du prophète est un peu longue, et qu'il faudrait établir un ordre de priorité. L'Europe, décadente et corrompue, qui protège le Pape ? La Russie, qui tourmente les peuples musulmans en Asie Centrale et dans le Caucase ? Les Turcs, qui ont si souvent poignardé dans le dos les vrais musulmans ? Voilà plusieurs années que rien ne sort du Califat, et il est plus que temps de rappeler au monde que la parole d'Allah doit être entendue, et qu'elle ressemble beaucoup au tir d'une kalachnikov.
- L'AELE { Islande ; Liechtenstein ; Norvège ; Suisse } : Les membres de l'Association Européenne de Libre-Echange ont toujours représenté les irréductibles gaulois résistant encore et toujours à l'envahisseur unionniste, et ils n'ont jamais été aussi ravis de leur choix. De l'extérieur, il faut bien admettre que la situation a quelque chose de ridicule. Néanmoins, malgré une forte majorité prônant la neutralité, chacun des quatre états compte parmi sa population des citoyens défendant toujours l'Union ou affirmant qu'il faudrait soutenir les Sécessionnistes en prévision du jour où l'Europe ne voudra plus leur laisser le choix concernant leur intégration.
- Les micro-états { Andorre ; Monaco ; Saint-Marin ; Vatican (SergueiBorav) } :Aucun de ces états n'a de trop fortes chances d'influer sur la situation, mais pourquoi ne pas essayer ? Après tout, il se pourrait que l'étape suivant la réforme des régions soit l'intégration des micro-états. Par ailleurs, le pape Urbain IX songe depuis quelques temps à appeler à une croisade pour libérer la terre sainte et ses environs de tous ces métèques.
- L'Azerbaïdjan : Un petit état du Caucase, guère concerné par la situation en Europe mais très préoccupé par l'avancée de la Russie et de l’État Islamique, et soucieux de l'évolution de la situation entre la Turquie et Chypre.
Règle nazie numéro 1 : Ce MV est orienté militaire avant tout, si vous prenez une faction vous devez l'impliquer dans le conflit d'une manière ou d'une autre. Si vous restez en paix plus d'un tour, vous êtes exclus du MV. Par contre, vous pouvez trahir votre camp à tout moment (mais si vous faîtes ça en étant leader d'un des deux camps principaux, vous êtes un peu une pute). Règle nazie numéro 2 : L'exactitude et le réalisme géopolitique sont anecdotiques et c'est totalement assumé, j'ai la flemme de vérifier l'état précis de l'armée croate. Deal with it.
- Carte tour 0:
Dernière édition par Temudhun Khan le Dim 5 Avr - 19:24, édité 11 fois |
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Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: Re: 2030 - Guerre de Sécession Européenne Lun 2 Mar - 22:06 | |
| Après discussions avec plusieurs joueurs, je compte modifier le background pour équilibrer un peu les factions. Je vous préviendrais quand ce sera fait, et j'autorise les changements de faction après changement. |
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Temudhun Khan Combattant suprême
Messages : 2750 Date d'inscription : 20/12/2011 Age : 36
| Sujet: Re: 2030 - Guerre de Sécession Européenne Lun 6 Avr - 1:10 | |
| J'ai envie de tester un nouveau système en envoyant les stats par google doc. Évidement, ça marche que pour ceux qui ont un accès à google doc, donc ceux qui en ont un et que ça intéresse, donnez-moi une adresse de partage. Les autres auront des mp normaux.
Je précise que ceux qui sont sur google doc auront les stats en premier. |
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