Pour une poignée de pièces d'or...

Bienvenue à bord, il nous manquait un homme de métier pour entretenir le bateau.

Jan van de Houvenaarghe regardait ce petit monde s'agiter sur le port.

"Il y a trop de bâtards Castillans, d'impies Aragonais et de coquins Andalous sur ce bâtiment. Mais c'est le seul qui reste dans le port, et je préfère encore en fréquenter quelques uns que de me retrouver avec les juntas au cul. Jan van de Houvenaarghe, messieurs, fils d'un riche marchant brugeois, fin tireur, et prêt à remettre un peu de vrai sang germanique dans votre équipage. Si vous acceptez bien sûr.
Alors voilà mon deal, je vous aide pour toutes les corvées sur le navire et je défends le navire , mais je me casse au premier navire Hollandais que vous pillez. Donc si vous me jugez utile, vous savez comment me garder..."

Je n'aime pas trop votre ton, vous avez l'air d'un homme qui se plains facilement ...

wesh , moi c est Beppe Grillo , chuis un.soldat italien habitué à obéir à ses supérieurs, et je suis prêt à maintenir l ordre sur le bateau ou effectuer les sales tâches, repousser les vils pirates, etc !

Ernest s'approcha du capitaine et l'apostropha :
- « Salut, petite perche, alors comme ça, on s'embarque pour les rapines et l'oseille ? J'aime ça ; allons, embarquons ! »
Il lui tapota amicalement l'épaule puis s'éloigna, le sourire au lèvre, en direction du navire.

"Boubouh a entendu dire qu'il y avait un bateau tout blanc avec des tartes aux pommes. Boubouh a passé la moitié de sa vie sur un bateau, il aime le blanc et les tartes aux pommes et quand il faut se battre, il tape vite, fort et beaucoup."

Pendant que parle le colosse noir, son boa se réveille et commence à ramper sur la table du capitaine.

"Petite perche ?" Philippe aimait bien l'insolence d'Ernest !

Et il aimait d'autant plus le flamand qu'ils avaient en point commun leur haine des Espagnols !

Finalement l'équipage de ce bateau se renforce enfin de bons éléments.

Raft_Wars a écrit:

Je n'aime pas trop votre ton, vous avez l'air d'un homme qui se plains facilement ...

J'me plains pas capitaine. J'constate. Je peux pas les blairer ces Ibères et leurs cornes dans le cul. Si les Espingouins avaient fait à votre famille ce qu'ils ont fait à la mienne, je suis prêt à parier toute la fortune de ma famille que vous ne les aimeriez pas beaucoup non plus.
Mais bon, tant que le padre essaie pas de me convertir, je passerai. On est tous dans le même navire, après tout, non?

Dans mes bras compagnon, ravi de rencontrer quelqu'un qui ne se laisse pas berner par ces vermines ibériques !

Monte, je t'en prie ! Capitaine, cet homme vient avec nous, c'est un glorieux !

Le fier espagnol releva le menton, d'un air impatient autant que surpris. La gerbille sur son épaule fronça le sourcil.

Capitaine, il m'a semblé -sans doute un effet de la fumée et du bruit- que vous m'ayez ignoré. Vous acceptez des individus manifestement dangereux sur votre navire, en omettant les Fils de la Race et les gens habiles ? Sans doute est-ce méprise de ma part.

Veuillez me pardonnez, j'étais plongé sous le flot de demande, vous pouvez montez à bord.

Et Boubouh ?

Boubouh peut venir s'il surveille son serpent, Grillo tu viens aussi

Bon, je monte ou je monte pas?

Vous montez !

Merci mon capitaine.

Samael n'est pas le serpent de Boubouh, Samael est un serpent libre. C'est pas facile de mettre des chaînes aux pieds d'un serpent.

Samael? le poison de Dieu? Ca va faire plaisir au Padre, ça!

Samael aime les tartes aux pommes comme Boubouh.

Des éclats de rire retentissent de la table voisine, et un homme d'une quarantaine d'année, probablement ivre se lève et avance vers la table où se tiennent les préparatifs de l’expédition. Titubant, mais d'un air décidé sous les encouragements de ses camarades en rire, il s'approche de la dénommé Kantae Niskae et, plaçant une main sur sa hanche, tandis que l'autre cherche à se glisser sous ses jupons, il lui susurre quelque chose à l'oreille. Visiblement, ces quelques mots, et la démarche cavalière de l'homme ne semblent pas être au goût de la jeune fille qui tente de hurler, et de se débattre pour repousse l'homme, mais celui-ci resserre de plus en plus son étreinte sur elle, la collant totalement à lui, et lui baisant fougueusement le cou, rependant sur celui-ci sa bave poisseuse ...
Quelqu'un interviendra t-il pour sauver la pauvre demoiselle privée de parole ?


Tu ne joues pas beaucoup dans ce prélude Paedric, j'ai dû prendre quelques décisions en association avec Koratos ...

Voyant cette scène, le coeur de l'Espagnol ne fit qu'un tour ! Son sang ne battit qu'une fois ! Il bondit de sa chaise, main sur son fleuret, gerbille sur l'épaule.

Qu'est-ceci, individu ? Que faites-vous à cette dame ? Demoiselle, ô demoiselle, avez-vous besoin d'aide ? Répondez par oui ou par non !

Jèsus sorti de l'ombre sa bible à la main et commença à interagir avec l'agresseur et bougonner dessus, que c'est une acte qui doit être commis suivant le mariage et lui tapa sur la tête avec sa bible !

Capitaine, on a pas le temps de s'occuper de la dignité de cette pucelle, laissons la sur le quai et partons !
En plus les muets me foutent les jetons ! Ils disent rien !