[LGBT 2] La Grande Bataille Transeuropéenne 2

Le gouvernement républicains ayant pris la fuite en Amérique, c'est le peuple de Livonie qui signe avec joie la création de la République Populaire de Livonie !

Le sultan Mehmed Selim fait savoir aux cours et gouvernements d'Europe que l'Empire Ottoman et le Grand-Duché d'Ukraine-Crimée suspendent leur participation à l'URSS et que l'alliance défensive défensive entre ces deux pays d'une part et l'Empire Allemand d'autre part n'est plus d'actualité.

Le Kaiser annonce la Dissolution de l'URSS. En effet, le retrait de 2 membres fondateurs de cette alliance ainsi que l'inefficacité grandissante de cette union à protéger le monde contre le socialisme nous suffit à l'Imperator et à moi même. Les preuves sont faites, il n'y aura de défense contre le socialisme qu'entre nation qui sont réellement prête à se battre pour leur allié.

Par ailleurs, la suspension de l'alliance défensive entre les empire Ottomans et Allemand ne fait que nous ravir. Avec des alliés comme le sultan, pas besoin d'ennemi. Avec sa doctrine du loukoum, il ne fait que s'engraisser sur le dos de tous sans pour autant attirer les foudres du monde comme l'Allemagne avait pu le faire il y a plusieurs décennie. Et ne tiens absolument pas à respecter le moindre engagement.

Une alliance qui n'a pas vocation à faire la guerre est inutile Sultan, notre alliance était donc inutile, c'est pourquoi je la révoque également.

L'Imperator déclare sa déception quant à la dissolution de l'URSS, mais il s'agissait là d'une décision qui s'imposait au vu de son inneficacité et du départ de deux de ses fondateurs.

Entre autre, il déclare avoir trouvé un accord de paix avec l'Empire Britannique, dont voici les modalités:

L'Empire Italien et l'Empire Britannique retournent à leurs frontières ante bellum, et les reconnaissent mutuellement.
L'Empire britannique versera une somme gardée secrète à l'Empire italien, étalée sur la durée d'un an.
Un Pacte de Non Agression d'un an et demi (3 tours) est signé entre les deux nations
L'Empire britannique s'engage à ne porter aucun acte de représaille envers la République d'Irlande durant toute la durée de la trêve et du PNA avec l'Italie.

L'Imperator signe le traité

l'Ambassadeur britannique de Rome signe le document avant de se tourner vers l'Imperator italien :

"Et maintenant, une tasse de thé votre Altesse?"

Le sultan Mehmed Selim fait savoir aux cours et gouvernements d'Europe que l'Empire Ottoman a conclu une alliance avec la République du Danube. En outre, Constantinople et Londres ont signé le renouvellement du traité de non-agression entre les deux empires pour un an supplémentaire (jusqu'au tour 7 inclus).

L'ambassadeur britannique valide et offre un tasse de thé au Sultan

La République du Danube signe le traité d'alliance avec l'Empire Ottoman.

Cartes:

L'insurrection républicaine :

Le climat extrêmement tendu qui régnait en Autriche depuis plusieurs mois finit par exploser à la fin de l'hiver. Les républicains autrichiens prirent les armes dans le sud du pays afin de renverser le gouvernement socialiste en place et mettre sur pied un système républicain sur le modèle de la République du Danube (Serguei). Les armées danubiennes d'ailleurs entreprirent de traverser la frontière presque instantanément après le début des hostilités afin de soutenir ses alliés pendant contre les infâmes révolutionnaires. Ces dernières firent cependant soudainement demi-tour en apercevant au loin un corps expéditionnaire en provenance de la République Populaire de Corse Sardaigne (Aethwulf) en train de complètement massacrer les républicains qui ne pouvaient faire le poids contre les bombardements conjoints de l'armée populaire autrichienne et corso-sarde. Comme le dirent les généraux danubiens aux visages tout rouges et crispés : Nos alliés s'en sortent très bien sans nous, nous n'avons plus besoin d'intervenir, quel heureux hasard hahaha !
Les rêves de libertés républicains furent écrasés en moins d'un moins, conduisant à l'une des purge politique la plus violente de l'histoire moderne.

L'infamie moscovite : volume 2 :

Voyant les armées danubiennes traverser la frontière autrichienne, l'intégralité de l'armée moscovite (hgh) qui stationnait à la frontière danubienne afin de s'entraîner sautèrent sur l'occasion pour traverser cette dernière et se lancer dans l'invasion de la Galicie danubienne - l'occasion était trop belle, et la RPM n'était plus à sa première attaque surprise ces derniers temps. Rapatriant en urgence ses troupes qui revenaient d'Autriche, l'état-major danubien fit de son mieux pour tenir face à la sauvagerie socialiste, mais ils n'étaient que 600 000 contre plus d'1 000 000 de moscovites. La Magyar Gárda, fine fleure de l'infanterie hongroise, fut même encerclée est totalement annihilée, conduisant à la déroute totale du front danubien. L'intégralité de la Galicie se retrouva ainsi occupée, la République du Danube perdant de ce fait le contrôle de près d'un quart de son territoire.

Autres informations :

Au Royaume-Uni (Endwars), l'Ordre des Kingsmen fut crée, regroupant les chefs des plus hautes familles nobles autour d'une table ronde où ces derniers s’apostrophent mutuellement en utilisant des pseudonymes tirés des légendes arthuriennes.

En RPCS (Aethwulf), de terribles purges eurent lieu parmi les derniers opposants politiques restants au gouvernement socialistes, conduisant à l'exode des survivants à l'étranger.

L'Imperatore (Silvio) continua ses frasques latines, ne s'adressant désormais presque plus qu'exclusivement en latin et ne portant en public plus que la toge et la couronne de laurier. Les autorités italiennes poussèrent également la population à apprendre le latin et à vivre "à la latine", l'Imperatore posant même en photo aux côtés du Pape et de "sauvages convertis et sauvés" grâce aux jeux du Colisée.

Vu le comportement outrageux qu'à eux la République du Danube dans sa ridicule tentative d'invasion de la Commune d'Autriche, cette dernière annonce rompre tous les accords diplomatiques qu'elle entretenait avec le Danube et annonce que vu que ses frontières ont été violé par l'armée danubienne, elle la considère comme agresseur et se portera à la défense de la RPM si le conflit devait se prolonger.

La République du Danube ne peut laisser l'agression moscovite impunie, le conflit se poursuivra. Nous appelons à l'aide nos alliés de l'Empire Ottoman ainsi que toutes les nations de bonne volonté souhaitant lutter contre ce cancer qu'est le socialisme.
Puisse le sort des armes nous être favorable et puisse l'Europe être débarrassée de la menace rouge une bonne fois pour toute.

Suite à l'agression illégitime du Danube contre l'Autriche et son refus de reconnaître ses torts, nous rejoignons cette guerre pour la grandeur du socialisme.

Le sultan Mehmed Selim fait savoir aux cours et gouvernements d'Europe que l'Empire Ottoman répondra à l'appel de la République du Danube et déclare la guerre à la République Populaire de Moscou, la Commune de France et la Commune d'Autriche. Que toute autre nation déclarant la guerre à la République du Danube durant les six prochains mois se considère comme également en guerre avec Constantinople.

L'URSS appartient peut-être au passé, mais la conviction ottomane d'enrayer la propagation de la peste rouge est plus forte que jamais.

La République Populaire de Livonie déclare la guerre aux ennemis de la République Populaire de Moscou et se joint à son combat pour la liberté des peuples !

L'Imperator annonce qu'il ne peut plus rester plus longtemps impassible à l'ignonimie moscovite et socialiste, qui attaquent leurs voisins, à tour de rôle, sur des prétextes fallacieux de "liberté" alors même qu'ils massacrent leur propre peuple n'adhérant pas pleinement à leurs idéaux.

L'Empire d'Italie rejoindra donc son allié Ottoman et son ami Danubien dans la guerre qui les oppose à la Moscovie, Livonie et la Commune de France. Qu'il soit su également que Rome considérera comme son ennemi toute autre faction déclarant la guerre à l'Empire Ottoman, au Danube ou à l'Empire Allemand dans les 6 prochains mois.

Entre autre, il appelle également son ami et allié de longue date, le Kaiser, à le suivre à son tour dans la guerre et à déclarer la guerre aux chiens socialistes, joignant leurs Légions aux nôtres dans ce but commun.

Le Kaiser répond favorablement à l'appelle de son ami et allié, l'Imperator. Nous nous battrons contre la vermine socialiste qui ronge de plus en plus cette belle Europe qui est notre foyer. L'heure est à la guerre et à la victoire du bien sur le mal.

Par la présente, nous invitons nos alliés Hollandais à nous rejoindre dans cette guerre. Nous appelons également le pacte Nordique à réagir aux agressions socialiste et invitons le Danemark et la Suède à joindre leur déclaration de guerre à la mienne.

La Confédération Socialiste Espagnole et la République Populaire du Portugal rejoignent leurs alliés de l'APE dans la guerre.

En vertu du Pacte nordique, les Royaumes du Danemark et de Suède rejoignent l'Empire Fédéral Allemand dans la guerre. Le Royaume des Pays-Bas rejoint également l'EFA dans la guerre.

Le Royaume de Pologne rejoint son allié ottoman dans la guerre.

La Suisse déclare sa neutralité totale dans cette guerre, et rompt toutes les alliances militaires dont elle dispose afin d'éviter au peuple suisse les affres du conflit.

La république populaire de Corse et Sardaigne annonce se prénommer désormais la RSSM (république sociale soviétique de méditerranée) et adopter le drapeau rouge comme emblème. De plus le nouveau gouvernement entièrement composé de vétérans annonce soutenir ses alliés dans la guerre totale qui les opposes aux démons impérialistes. Le phare du socialisme éclairera de sa lanterne la mer rouge qui va déferler .

LA RSSM appelle tous les ouvriers, paysans et artisans de chaque pays capitaliste à se rebeller. Il n’est plus question à notre ère de voir nos frères asservis par ces bourgeois qui s’enrichissent sur notre dos. La révolution est en marche et elle aboutira car notre cause est juste. Chaque travailleur qui entendra cet appel se doit de prendre les armes. Ne combattez pas dans vos armées nationales commandées par vos bourreaux. Vous n’en retirerez que mépris et souffrances tandis que pendant ce temps vos familles seront prises à la gorge par les taxes capitalistes.

Prenez le drapeau rouge, prenez vos fusils et combattez contre vos gouvernements, résistez à la conscription forcée. HOURA Mes frères nous allons vous libérer.

Moi William IV d’Angleterre et d’Écosse, Empereur des Indes et Protecteur de l’Église Anglicane
Transmet à l’APE l’ultimatum suivant :

- Nous exigeons le retour immédiat de la Tunisie à son propriétaire légitime, le Sultan Mehmed Selim
- Nous exigeons la soumission des colonies du Maroc et d’Algérie à l’Empire britannique
- Nous exigeons la soumission du reste des colonies de la Commune à l’Imperator et au Kaiser
- Nous exigeons le retrait immédiat des troupes de l’APE de l’Autriche et de la République Danubienne

Si les demandes de notre bon Empereur ne sont pas respectées, il sera de notre devoir de lutter avec notre cousin et notre bon ami l’Imperator contre l’ignominie sans nom qu’est le communisme et le socialisme présent depuis bien trop longtemps en Europe.

Par le feu et le sang, moi William IV ferait mon devoir pour sauvegarder ainsi les peuples civilisés d’Europe.

L’APE n’est plus à une menace de plus. Dans ce cas nous refusons vos demandes odieuses et sans intérêts pour nous ». (Ce message à été rédigé par le secrétaire officiel du gouvernement, les propos du maréchal bernadino étant bien moins convenables 

La Commune de France préfère répondre à l'opportunisme très ouvertement capitaliste et impérialiste du Royaume-Uni par le dédain.

Cartes:

Musique du tour :


La Grande Guerre Patriotique :

Pour la première fois depuis des décennies, l'armée ottomane se mit en marche. Le complexe militaro-industriel de l'empire était tel que prés de 2 000 000 de soldats de toutes les nationalités de ce dernier furent mobilisés en à peine trois semaines. La moitié de ces forces fut envoyé se battre sur le front moscovite au côté de 400 000 soldats ukrainiens et 800 000 soldats polonais. En face, la RPM alignait 1 000 000 de troupes supportées par 400 000 livoniens. En faisant les comptes, les impérialistes alignaient donc plus de 2 200 000 soldats principalement inexpérimentés contre 1 400 000 socialistes mixant nouvelles recrues et vétérans de guerre. Espérant recevoir encore plus de troupes en provenance de la République du Danube, la commanderie ottomane dut lancer l'assaut sans leur soutien, l'intégralité de l'armée danubienne étant resté sur le front autrichien. Mehmed Selim en personne ordonna le signal du départ : opération "Loukoum septentrional.
Adoptant une posture défensive, les moscovites s'étaient retirés des territoires occupés de Galicie afin d'éviter un encerclement rapide et faire la jonction avec leur alliés livoniens. Malgré ces manœuvres qui ralentirent les impérialistes, les combats furent terribles et meurtriers, particulièrement la prise de Minsk qui fit à elle seule plus de 250 000 morts en 3 mois et autant de blessés. Acculés et sans renfort de leurs alliés les moscovites reculèrent petit à petit, et ils ne furent sauvés que par le salvateur hiver russe qui stoppa les avancées ennemis jusqu'au printemps. Le bilan était lourds pour les deux camps, mais les réserves en troupe de l'empire ottoman semblait loin d'être épuisées alors que du côté socialiste, la Livonie était occupée à 80% et Moscou était à portée des canons et de l'aviation ennemie...

Le Chemin des Dames :

Sur le front ouest, la guerre faisait aussi rage. Le Kaiser avait lui aussi rassemblé son armée et jubilait : après tant d'années, il allait enfin pouvoir accomplir le rêve de son père et de son grand père : envahir la France et prendre définitivement la place de première puissance européenne qui revenait au peuple allemand ! Malgré la fougue de leur chef, les officiers allemands adoptèrent une posture prudente. Se cantonnant à la frontière française, ils envoyèrent leurs puissante flotte - la deuxième du monde tout de même - appliquer un blocus total des côtes socialistes, de Dunkerque jusqu'à Gibraltar. Alors qu'ils s'attendaient à ne pas avoir à se battre pendant l'hiver, les garnisons de la ligne Siegfried reçurent un bien funeste message : il faut enclenchez le plan "Fall Gelb".
Sans attendre, près de 2 000 000 de soldats regroupant une coalition d'allemands, de suédois, de hollandais et de danois se lancèrent à l'assaut des lignes françaises. Initialement confiants face au défenseurs français - à peine 1 000 000 d'hommes - les impérialistes déchantèrent rapidement après leurs victoires initiales : de la Manche à la frontière suisse, les français étaient retranchées derrières les plus extraordinaires défenses que l'Europe n'avait jamais connue : des centaines de kilomètres de bunkers fortifiés, de canons anti-aérien, d'artillerie montée sur rail, de nids de mitrailleuses. Les allemands venaient de faire la rencontre de la ligne de la Fureur Prolétarienne ! Pendant des semaines les impérialistes tentèrent de franchir la ligne, et pendant des semaines ils furent fauchés et massacrés par un impénétrable rideau de feu. Chaque colline fut gagné au prix de dizaines de milliers de vie, et les blessés étaient trop nombreux pour être pris en charge. Se rendant compte qu'ils n'arriverait jamais à passer, l'état-major allemand sonna à contrecœur la retraite. Profitant de ce mouvement désorganisé, les français entreprirent d'avancer et d'occuper les territoires allemands et hollandais à l'ouest du Rhin sans avancer plus loin. On raconte qu'à Paris les bouteilles de champagnes furent ouvertes alors qu'à Berlin, le Kaiser brisait des assiettes en porcelaines tous les soirs pour se calmer.

Le sang des latins :

Au sud, la guerre faisait rage aussi. L'armée italienne menée par l'Imperatore en personne s'était elle aussi lancée dans une offensive spectaculaire par-delà les Alpes. En face, une coalition d'espagnoles et de portugais lui fit face, les deux camps alignant globalement autant d'hommes - entre 1 200 000 et 1 500 000 chacun. Cependant, l'expérience des vétérans espagnoles fit la différence : en effet, l'armée espagnole avait passé les trois dernières années en situation de conflit constant et en face les jeunes italiens fraichement sortis de l'académie du Colisée avaient certes de solides connaissances théoriques de la guerre mais manquaient d'une expérience concrète sur le terrain - expérience qu'ils allaient acquérir dans la douleur et le sang. Après quelques semaines de doute, les batailles penchèrent largement en la faveur des socialistes, qui firent une percée jusqu'à Milan avant d'être arrêtés. En panique, l'état-major italien envoya un message paniqués aux alliés allemands du nord disant "LES SOCIALISTES SONT PASSÉS, LANCEZ FALL GELB SANS ATTENDRE !. Au sud de l'Italie cependant, les garnisons italiennes aidées de l'armée papale réussirent à repousser une tentative de débarquement en Sicile en provenance de la Sardaigne, apportant un peu de gaité au peuple italien.

Le courroux des Directeurs :

Sur le front autrichien, la Commune d'Autriche ne se faisait pas d'illusion : il serait impossible d'arrêter la horde danubienne qui venait de traverser la frontière. Mobilisant toutes les personnes valides pour se battre, un seul mot d'ordre fut donné : il faut tenir. Abandonnant une grand partie du territoire autrichiens, les armées socialistes autrichiennes ainsi que le corps expéditionnaire sarde se retranchèrent sur une petite bande de terre autour de Vienne et firent face aux forces impérialistes. Chaque kilomètre carré de terrain fut farouchement défendu, mettant parfois en échec l'armée danubienne qui avançait cependant inexorablement. Perdant peu à peu du terrain, les autrichiens le savaient : sans aide extérieur, ils ne tiendraient pas deux mois de plus.

William l'opportuniste :

Alors que l'Europe s'embrasait, la première puissance maritime et économique du monde attendait. Le Royaume-Uni n'avait en effet rejoint aucun camp dans ce conflit malgré les multiples tentatives de séduction de la part des différents partis. Le roi hésitait : devait-il rejoindre ses confrères impérialistes et lutter contre la vermine socialiste au risque plus tard de le payer en Afrique ? Ou alors devait-il apporter son soutien aux socialistes tout en sachant que ces derniers pourraient représenter une menace terrible pour le futur de l'humanité ? C'est en réfléchissant à ces question que William se souvint de quelque chose : il détestait plus que tout son cousin, le Kaiser d'Allemagne. Depuis des décennies, l'Allemagne avait humilié l'Angleterre et ce malgré les récentes tentatives anglaises pour apaiser la situation. Le roi fit donc la réflexion suivante :
"Je ne souhaite pas m'engager contre les impérialistes, en particulier contre l'Empire Ottoman dont je tiens le sultan en haute estime. Cependant, je me souviens que sur son lit de mort, mamie Vicky m'a fait promettre de faire ravaler sa fierté à ces salauds de cousins teutons et de couler leur flotte ridicule qui est une insulte à notre Navy !" Le roi d'Angleterre pris donc une décision : il allait rendre hommage à sa prédécesseur avec sa manœuvre préférée ; il allait mettre l'Allemagne sous blocus pacifique !
Ne perdant pas de temps, il ordonna à la Royal Navy de faire naviguer près des côtes allemandes "autant de navires que l'Allemagne n'a de flotte !" afin de montrer sa supériorité. Et l'amirauté anglaise obtempéra. Ce fut donc près de 100 navires amiraux qui imposèrent un "blocus pacifique" aux côtes allemandes, arrêtant de ce fait tout navire souhaitant accoster en port allemand.
Ayant l'habitude de ce qu'ils appelaient les "singeries anglaises", le vice-amirale de Wilhelmshaven ordonna à la flotte sous son commandement de briser le blocus britanniques comme elle en avait l'habitude de la faire - c'est à dire en insultant les marins anglais et en tirant des coups de canons à blanc. Cependant, tout ne se passa pas comme d'habitude cette fois. Les anglais ne répondirent pas aux quolibets allemands, et ne reculèrent pas après les coups à blanc. Au contraire, les canons anglais furent pointés sur la flotte allemande, et un tonnerre de feu s'abattit sur cette dernière. L'intégralité des navires allemands furent envoyés par le font, et le port de Wilhelmshaven fut réduit en cendre. Cette fois-ci, les britannique n'était plus "pacifiques"...

Autres informations :

En Afrique, les allemands et les italiens envahirent la majorité des colonies françaises. Les britanniques de leur côté occupèrent plusieurs colonies allemandes et hollandaises.

Le Maroc espagnol fut céder pacifiquement au Royaume-Uni.

Après quelques accrochages, les impérialistes placèrent la Méditerranée sous leur contrôle.

En Tunisie, une insurrection locale soutenu par une armée ottomane fit perdre le contrôle à la RSSM.

Camarades aujourd’hui pleurons nos milliers de morts surtout nos frères russes mais demain vengeons les. Notre combat n’est qu’à son début nous engagerons toutes nos forces disponibles. Nous armerons chaque homme chaque femme chaque enfant et les enverrons combattre pour détruire ces capitalistes. Nous avons perdu en Afrique et en Russie mais nous gagnons‘ du terrain en Europe et bientôt nous sauverons notre mère russe. Ne perdons pas espoirs car l’ère nouvelle est proche. L’ère du peuple HOURA. En avant ! Les commissaires politiques seront vous motiver de toute manière houra à la CHARGE!

Carte:

LAGUÈRE - Été 1903 :

Sur le front de l'est, l'état-major moscovite se résigna : aucun renfort ne viendrait de l'ouest. Après avoir distribué toutes les réserves de vodka aux soldats socialistes, un seul ordre fut donner : tenir ou mourir. La ligne de front fut réduite à une poche de 200 kilomètres autour de Moscou. Équipant tout ceux qui pouvaient tenir une arme, la RPM réussit à aligner un impressionnant total de 3,5 millions de soldats. Face au dispositif défensif moscovite, l'armée ottomane et ses séides comptait 4 millions de soldats, mieux entraînés et mieux équipés. Les combats durèrent tout le semestre, chaque mètre carré de terrain étant gagné au prix de dizaines de vies. Au bout de 5 mois de combats d'une violence inouï, le Sultan fut poussé dans des extrémités qu'il n'avait jamais envisagé. 1 millions de socialistes étaient retranchés dans la capitale moscovite, et il semblait impossible à déloger sans sacrifier les vies de centaines de milliers de soldats. Apposant son sceau sur la prérogative Loukoum orange à la demande de ses généraux, Mehmed Selim se retira ensuite pendant plusieurs jours dans sa résidence secondaire en Grèce, supportant difficilement ce qu'il venait d'autoriser. Le matin du 1er juin 1903, Moscou se réveilla dans un vacarme de moteur d'avions et de hurlements. Une centaine de bombardiers ottomans venaient de faire plusieurs passages au dessus de la ville, larguant une mortelle cargaison sur celle-ci. Un gaz orange se propageait dans la ville, empoisonnant tous ceux qui l'inhalaient. Sur le million de soldats présents en ville, 1/4 mourut les trois premières semaines, et un autre fut handicapés à vie. Les civils ne furent pas non plus épargnées. Les membres du gouvernement survivants de la "Peste de Moscou" annoncèrent dans la foulée la reddition totale et instantanée de la RPM ainsi que la dissolution de ce qu'il restait de son armée. Le pays fut découpé en plusieurs zones d'occupation et la RPM fut officiellement dissoute.

Sur le front de l'ouest, les choses furent plus calme pour ce semestre. Les français et les allemands se regardèrent en chien de faïence durant de nombreux mois, aucun des deux camps n'essayant de repasser à l'offensive. En Italie, l'arrivée de renforts danubiens qui avaient terminés de briser la poche autrichienne ainsi que de troupes ottomanes - et de volontaires irlandais - permis de stabiliser le front au niveau de Milan sans pour autant repousser les socialistes.

En Mer du Nord cependant, les plus importantes batailles navales de l'histoire eurent lieu. La Manche fut le théâtre de violents affrontements entre les flottes du Pacte nordique dirigée par l'Allemagne et celles du Royaume Uni. Pendant deux mois, les navires britanniques bloquèrent les allemands qui cherchaient à passer au sud à atteindre Gibraltar afin de se rendre en Méditerranée. Ils arrivèrent plusieurs fois à forcer la formation britanniques, mais jamais avec assez de navires pour représenter une véritable menace. Fin mars, les allemands furent finalement défaits lors de la bataille de Capbreton. Le Royaume Uni était désormais maître des mers.

En Méditerranée, les flottes impérialistes réussirent à infliger un contrecoup assez sévères aux flottes socialistes pour leur permettre de débarquer en Sardaigne et en Andalousie. Cependant, l'annonce de la victoire maritimes britannique dans l'Atlantique mis un termes aux plans impérialistes de débarquement, et l'arrivée prochaine de la flotte anglaise en Méditerranée les força à rester sur la défensive.

En Afrique, des centaines de milliers de soldats furent envoyés d'Europe afin de renforcer les contingents coloniaux. Des escarmouches eurent lieux entre impérialistes et britanniques en Afrique de l'Est, et rapidement une ligne de front fut établie allant de la Somalie au Congo.

LAGUÈRE - Année 1904 :

Ayant vaincu à l'est, l'Empire ottoman rapatria son immense armée vers l'ouest afin de soulager ses alliés qui pouvaient enfin se reposer. La Pologne de son côté n'envoya rien, estimant qu'elle devait garder l'intégralité de son armée afin de contrôler les territoires moscovites sous occupation. De grandes offensives furent lancées par les impérialistes, et les socialistes furent repoussés jusqu'à leurs frontières que ce soit en Allemagne ou en Italie. La ligne se stabilisa ensuite, toutes les armées étant trop fatiguées pour continuer les couteuses offensives.

L'essentiel des combats se passèrent donc en Afrique. Les britanniques et les ottomans déployèrent des moyens considérables pour prendre le contrôles du continent, et rapidement les allemands, les français, les italiens et les hollandais ne représentèrent plus que 20% des forces en présence. La marine anglais ayant le contrôle total des mers désormais notamment grâce à l'emploi d'un tout nouveau type de navire le porte-avion, seul l'Empire ottoman percevait encore des revenus de ses colonies grâce à on réseau de chemin de fer qui relier directement l'Afrique à Constantinople.

LAGUÈRE - Année 1905 :

Le conflit s'enlisa pendant plus d'un an. En Europe, les économies de la France, de l'Allemagne, de l'Italie, du Danube et des ibériques étaient au bord du gouffre. L'Empire ottoman faisait ce qu'il pouvait pour tenir sous perfusion ses alliés, mais lui aussi commençait à arriver au bout - d'autant plus que sa population s'agitait de plus en plus pour une guerre dont elle ne percevait pas l'intérêt. C'est ainsi qu'à la fin de l'année 1905, britanniques et ottomans décidèrent d'organiser une conférence de paix globale à Genève, ne laissant que peut de choix à leurs alliés qui de toute façon étaient bien trop affaiblis pour refuser. Après des jours de négociations houleuses, un compromis fut finalement trouvé. Toutes les colonies africaines de la côte est furent cédées au Royaume Uni. La RPM fut officiellement dissolue et le Grand Duché d'Ukraine-Crimée prit le contrôle de son territoire sous le nom d'Empire russe. La Pologne gagna les territoires de la Biélorussie et de la Livonie et prit le nom de Royaume de Pologne-Lituanie. La Tunisie fut cédée à l'Empire ottoman. La Commune d'Autriche fut intégrés à la République du Danube. Les autres frontières furent rétablies comme avant la guerre et certains ajustements furent effectués. C'est ainsi qu'avec la signature du Traité de Genève, la Grande Guerre Transeuropéenne fut terminée.

Épilogue :

Après ce qui fut le plus grand conflit de l'histoire de l'humanité, la paix revint enfin momentanément en Europe. Les différentes économies de la majorité des belligérants étaient à genoux. La démographie européenne avait chuté de 5% à cause de la guerre, et certaines régions comme la Russie ou les berges du Po étaient gravement contaminées à cause de l'utilisation massive d'armes chimiques. Grands gagnants de ce conflit, le Royaume Uni et l'Empire ottoman se partagèrent l'Europe et l'Afrique en zones d'influences. L'Irlande fut mise sous un embargo totale par le Royaume-Uni, et son économie était en pleine récession. La RPMM réussit à garder le contrôle de sa population malgré les troubles qui l'agitait grâce à une sévère restriction des libertés individuelles. L'Empire russe, bien que bénéficiant du soutien des ottomans, restait meurtri par la guerre en son sol et en son sang. L'Empire allemand avait perdu sa place de grande puissance militaire européenne au profit de l'Empire ottoman, et la Pologne-Lituanie a sa frontière avait recommencé publiquement à demander le rattachement de la Prusse orientale à son territoire. La Commune de France, bien qu'économiquement au fond du trou, avait réussi à souder sa population autour d'un idéal de "socialisme républicain". Le Danube lui se faisait tout petit et avait même commencé à lisser sa diplomatie avec les états socialistes, juste au cas où...

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Classements globaux :

1) Royaume Uni
1bis) Empire Ottoman
2) Empire Fédéral Allemand
3) Empire d'Italie
4) Commune de France
5) République du Danube
6) République Sociale Soviétique de Méditerranée
7) République Populaire de Moscou (RIP)

Classements du swag :

1) République Sociale Soviétique de Méditerranée
2) Empire d'Italie
3) République Populaire de Moscou (RIP)
4) Empire Ottoman
5) Commune de France
6) Empire Fédéral Allemand
6bis) Royaume Uni
6bis bis) République du Danube

Titres :

Beregil gagne le titre de Madame Masmoudi pour sa diplomatie du loukoum digne des plus grands pâtissiers.

Endwars gagne le titre de Capitaine Haddock pour avoir dépensé 80% de son PIB dans les navires de guerre.

Kevin13 gagne le titre de Guillaume l'Impulsif pour avoir déclaré des guerres sur un coup de tête.

Temudhun gagne le titre de Taleyrand pour avoir changer de casquette politique "pour l'intérêt du pays".

Aethwulf gagne le titre de Grand Père Staline pour avoir créer le stalinisme dans son pays.

Silvio gagne le titre de Justinien pour avoir rétabli l'empire romain au niveau culturel.

Serguei gagne le titre de Tito pour avoir mangé à tous les râteliers et s'en être sorti à la fin.

Hgh gagne le titre de William Wallace pour avoir résisté jusqu'au bout et être mort en héro du socialisme.