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 Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion

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Ilthanir

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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeJeu 10 Fév - 23:02

Inter-Tour :

Carte
Mars 281


La formation du Royaume de Mélonie

Firazano et Napala prises, seul le petit village de Vengencia résiste encore et toujours à l’envahisseur mélonien. Mais les troupes sur place sont désormais bien seules, face à l’armée du Duc Sesare (LUCIUS). Ce dernier se prépare d’ailleurs à l’ultime combat contre les florentiens. Tout du moins, jusqu’à ce que, sortant d’un passage secret, la duchesse de Florentie (AETHWULF) lui fit face. Le dirigeant de Mélonie resta calme dans son auto-attribué domicile de Napala, après tout, si c’était pour l’assassiner, elle ne serait pas venue en personne. Luisa Firano lui fit une proposition assez simple. Elle acceptait de remettre le village de Vengencia à son concurrent, ainsi que de le déclarer légitime. En échange, ce dernier se doit de marier son héritier à la fille de Luisa, et d’assurer la sécurité des personnes et des biens dans toutes les villes de Florentie, y compris, pour l’ancienne famille dirigeante. Sesare, en bon commerçant, accepta avec joie cette offre qui lui évitait des batailles supplémentaires pour parvenir à ses fins et le dotait également de toute la légitimité nécessaire à son règne.

Une semaine plus tard à Firazano,

Une gigantesque foule s’agglutinait devant le palais ducal/royal de l’ancienne capitale de la Florentie, tous avaient envie de voir le spectacle qui allait avoir lieu sous leurs yeux. Sur le balcon de la demeure ducale, Sesare se tenait dans sa plus belle tenue, avec à ses côtés, Luisa Firano. Cette dernière, tenait dans ses mains l’ancienne couronne du royaume de Florentie. Après une brève hésitation, elle posa l’ornement sur le crâne de son ancien rival, consacrant ainsi sa victoire. La foule acclama son nouveau roi, certes triste que leur ancienne dirigeante ne soit pas celle qui ait été couronnée, mais heureux de l’union de tous les territoires méridionaux. L'État le plus riche du continent venait de voir le jour. De lui dépendrait désormais le succès ou l’échec des guerres. Ne s’intéressera-t-il qu’au commerce ? Ou sera-t-il prêt à jouer un rôle de déstabilisation ? Une banque pour les factions en guerre ? Ou un comptable se baignant dans son or ? Tout le monde se demande désormais ce que fera le Royaume de Mélonie.

La guerre civile impériale

Forteresse d’Hadren,

Les troupes impériales de l’Empereur Aurélien commencent à s’inquiéter, déjà plus de 3 mois depuis la perte de la quasi-totalité de leur flotte, et toujours pas de nouvelles des armées issues des colonies (ENDWARS, KANGLE). La guerre semble prête à durer encore longtemps. Soudain, un cri retentit sur les remparts. Aurélien fut le premier à se pencher pour regarder. Zigzaguant, un homme portant un uniforme de l’armée d’Honorius courait vers la forteresse, en esquivant au mieux les balles. Il réussit, par miracle, à atteindre la porte centrale, devant laquelle il jeta ses armes, et leva les mains. Ne comprenant pas vraiment, les hommes ouvrirent les portes. Le soldat honorien se constitua immédiatement prisonnier, avant de dire :
“ Cornelis Palas, sergent dans l’armée de la principauté de Slanir (ENDWARS), nous avons pris la ville de Ventam, et avons indiqué aux troupes d’Honorius que notre armée est en marche vers le Sud, prête à le prendre à revers. En réalité, nos troupes sont déguisées avec des uniformes ennemis et nous allows chercher à infiltrer son armée.
Bien, il est temps de sortir de ce guêpier et d’affronter Honorius d’homme à homme. La victoire ou la mort !”

En quelques minutes, Aurélien donna des ordres, et en à peine une poignée de jours, l’armée avait chargé son approvisionnement, et s’était mise en ordre de marche. L’heure de la bataille finale approche, affrontement qui décidera de l’avenir de l’Empire.


L’arrivée des Erceg sur Slanir

Le massacre de Slanir parut gratuit pour de nombreux observateurs, mais en réalité, il répondait à deux objectifs de Vladimir Varic (SILVIO). Le premier, rendre la monnaie de leur pièce aux bérusiens, après tout, ces derniers n’avaient-ils pas transformé son peuple en esclaves, et forcé la conversion ? Et le second, se débarrasser d’une famille au nom désormais prestigieux chez les païens, les Erceg (AETHWULF). Anciennement concurrente, désormais, encombrante. Ces guerriers se firent connaître par leur violente attaque sur la ville de Babylon et leur quasi succès face à l’armée de Prévalitane. Certains n’attribuent leur défaite finale qu’à la mort de leur leader, empoisonné par un ennemi infiltré. Si le prestige de Demir, leur ancien chef est microscopique par rapport à celui de Vladimir Varic, il n’a tout de même pas hésité à se proclamer Elu. Même s’il ne risque rien, l’ours ne manque pas de prudence, et il décida d’octroyer généreusement les terres de Slanir à la tribu des Erceg. Les éloignant et les fidélisant par un même geste. D’autant plus qu’une partie d’entre eux ont effectivement participé à la mise à sac de Slanir, et se trouvent donc déjà sur place.  Il ne resta plus qu’à convaincre leurs familles de s’installer là-bas, ce qui ne fut pas bien difficile. D’autant plus que les Erceg disposent désormais d’une multitude d’esclaves pour réaliser les tâches les plus difficiles.

Le départ des bérusiens

La prise de leur principal avant-poste venait d’affaiblir de façon spectaculaire l’influence de l’Empire sur le continent d’Alnethya. La famille Arcanius (ENDWARS), anciennement fonctionnaire de l’île, devenue consul par sa ténacité puis prince du fait de ses choix, était probablement les plus loyaux vassaux de la Bérusie. La guerre civile faisant toujours rage au sein de l’Empire, il n’est pas possible pour l’Empereur Aurélien d’apporter son soutien à son fidèle vassal. Pire encore, des rumeurs impliquant un accord entre l’Empereur et Valentar concernant l’indépendance de la colonie serait en passe d’être trouvé. C’est donc la mort dans l’âme que le Prince Savlian Arcanius se décida à négocier avec l’envahisseur païen. Suite à cet échange, il se fixa une nouvelle priorité, être l’un des colons le plus prolifique du nouveau monde. L’avenir de Slanir semble ne plus s’écrire sur Alnethya, mais sur Calitdum.  

L’élection du nouveau patriarche, le vultisme plus divisé que jamais

La mort de l’ancien patriarche par la foule n’engendra pas de grande tristesse parmi les populations pieuses du continent. Ne pouvant rester très longtemps sans patriarche, les grands cardinaux du vultisme se mirent en tête de trouver un candidat. Choix évidemment totalement libre, malgré la présence de mercenaires méloniens dans la salle même du conseil. Ce fut sans surprise qu’un candidat très complaisant envers les autres religions fut élu. La Mélonie (LUCIUS) agissant de manière à ne pas vexer son énorme voisin. Cette décision fut rejetée par la majorité du clergé qui, lui, veut un candidat très conservateur et opposé aux autres cultes. Un candidat de reconquête, après la perte de 4 États aux mains des païens, mais également suffisamment pieux pour faire oublier les errements de son prédécesseur. Le risque de division du vultisme en deux branches est de plus en plus grand, même si pour le moment, peu d’Etats sont prêts à se brouiller avec ceux qui ne suivent pas le même Dieu.

Autres nouvelles :


La conversion de la Rasina (KEVIN.A) n’a pas provoqué de troubles majeurs au sein de la principauté. Le massacre de la population par les Osroèniens (SERGUEI), combiné à l’ouverture au peuplement païen ont fait que la population était déjà très majoritairement païenne au moment de la proclamation.

Les conditions du traité de paix entre Slanir (ENDWARS) et l’Arthorie (SILVIO) ont fait grincer quelques dents chez les chefs païens.
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Silvio007

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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeJeu 17 Fév - 21:44

L'Empire d'Arthorie est fier d'annoncer un nouvel accord qui le lie au nouveau Royaume de Melonie, auquel il adresse ses félicitations.

Cet accord comporte un accord de protection de l'Empire sur le Royaume, en échange d'une compensation financière trimestrielle, conclue entre les deux parties 

Ainsi l'Empire fait savoir au monde que toute attaque direct contre le Royaume de Melonie entraînera une réaction de sa part, en vertu de l'accord.

Il est également fier de pouvoir compter la Rasina et les Erceg parmi ses vassaux, et leur promet une ère de prospérité nouvelle.

En revanche, au vu de la situation nouvelle, il annonce répudier le mariage de Jiuena Firano et de Stefan Varic. Jiuena sera bien entendu renvoyée en toute sécurité au Royaume de Melonie y rejoindre sa famille. Avis aux intéressés, Stefan, ainsi que Danica Varic, sont ainsi libres de tout mariage
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Ilthanir

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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeVen 18 Fév - 16:48

Nouvelles règles de déplacement

Carte

Vos unités terrestres peuvent désormais traverser l'équivalent d'une case, sauf la cavalerie qui peux en traverser 2.

Les unités navales peuvent traverser l'équivalent de 2 cases.
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LuciusLanda
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeSam 19 Fév - 19:12

Silvio007 a écrit:
L'Empire d'Arthorie est fier d'annoncer un nouvel accord qui le lie au nouveau Royaume de Melonie, auquel il adresse ses félicitations.

Cet accord comporte un accord de protection de l'Empire sur le Royaume, en échange d'une compensation financière trimestrielle, conclue entre les deux parties 

Ainsi l'Empire fait savoir au monde que toute attaque direct contre le Royaume de Melonie entraînera une réaction de sa part, en vertu de l'accord.

Il est également fier de pouvoir compter la Rasina et les Erceg parmi ses vassaux, et leur promet une ère de prospérité nouvelle.

En revanche, au vu de la situation nouvelle, il annonce répudier le mariage de Jiuena Firano et de Stefan Varic. Jiuena sera bien entendu renvoyée en toute sécurité au Royaume de Melonie y rejoindre sa famille. Avis aux intéressés, Stefan, ainsi que Danica Varic, sont ainsi libres de tout mariage

Nous confirmons cet accord.
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Ilthanir

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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeLun 21 Fév - 20:15

Tour 5 : L’apocalypse

1er Mars - 31 Mai 281

Carte

La conclusion de la guerre civile impériale

L’heure de la bataille décisive est venue. Aurélien (PNJ), sentant qu’il tient une chance de vaincre, met son armée en marche pour écraser son rival. Bien conscient de son infériorité numérique, il sait pertinemment qu’il n’y aura pas de meilleure opportunité d’attaquer. Ce sera la victoire ou la mort. Face à lui, Honorius, surpris de le voir débarquer de cette manière met hâtivement ses troupes en formation de combat pour stopper l’armée adverse. Ne voulant pas lui laisser la chance de terminer son déploiement, Aurélien forme une grande batterie pour canonner la cavalerie adverse, puis lance une terrible attaque avec ses troupes montées sur le centre ennemi pendant que les régiments d’Honorius se mettent en position. La charge ravage les premières lignes adverses, mais la cavalerie d’Aurélien est assez rapidement forcée au repli par les cavaliers ennemis.

Profondément énervé par le manque de réactivité de ses troupes, Honorius lance une attaque frontale sur le centre adverse avec son propre dispositif central, souhaitant profiter de sa supériorité numérique afin d’éliminer son adversaire rapidement. Face à la violence de l’attaque, Aurélien se décide à faire reculer son centre pour tenter de limiter le choc qui ne manquerait pas de subvenir. Il envoie également toute sa cavalerie sur le flanc gauche ennemi afin d’éliminer 50% des troupes montées d’Honorius, et déploie sa réserve pour contrer un éventuel assaut sur son propre flanc gauche par la cavalerie d’Honorius. Sa stratégie paya en partie, car il réussit à tenir avec son centre, à dominer sur son flanc gauche, mais se trouva en difficulté sur son flanc droit, Honorius ayant décidé d’engager sa réserve. Aurélien se rendit vite compte qu’il ne peut espérer gagner la bataille dans cette configuration. Il donne l’ordre de limiter le recul du centre, puis, demande à son aide de camp de sonner 3 fois dans un cor.

Le centre adversaire sombre alors dans le chaos, les régiments infiltrés de Slanir (ENDWARS) et de Valentar (KANGLE) se mirent à attaquer les soldats d’Honorius au sein du dispositif central. Déstabilisée, l’armée garde néanmoins sa cohésion, après tout, la bataille ne vient que de commencer, et les troupes d’Honorius sont majoritairement composées de vétérans. Les troupes infiltrées se retrouvèrent donc à se battre pour leur vie, restant sur la défensive, et relativement encerclées au sein de l’armée d’Honorius. Elles cherchèrent donc à percer les lignes arrières de l’armée d’Honorius, pour essayer de se garantir une échappatoire.

De l’autre côté, voyant la situation ennemie, le centre d’Aurélien cesse de reculer, pour la première fois, se met à avancer pour mettre la pression sur leur ennemi, et pour sauver ses alliés désormais pris entre deux feux. Incapables de reculer, les troupes d’Honorius préfèrent mourir sur place, ralentissant d’autant plus l’avancée des troupes auréliennes.

La cavalerie honorienne finit par lâcher face aux réserves d’Aurélien, la garde impériale se lança donc sur le flanc de la formation ennemie pour essayer d’en finir le plus rapidement possible. De l’autre côté, la moitié de la cavalerie loyaliste est déjà passée de vie à trépas, il ne lui reste plus longtemps avant de craquer.

Finalement, le centre d’Honorius commence à craquer, attaqué de trois côtés, les soldats de Valentar et Slanir réussissent à percer les lignes arrières au prix de pertes effroyables, ils n’ont donc plus qu’à se battre sur un seul front. La cavalerie d’Aurélien est définitivement mise en fuite par la garde impériale d’Honorius et ce qui lui reste de cavalerie. Il décide de tout lancer sur le centre ennemi pour essayer de tuer son concurrent. Mais ses troupes sont déjà trop épuisées, son centre finit par craquer, ce qui entraîne une fuite générale. Honorius, conscient de sa défaite, se replie avec son armée. Mais n’ayant plus les moyens de tenir sa capitale, il prend un navire vers l’Ouest.

D’un autre côté, les troupes d’Aurélien reçoivent la reddition de la capitale. Une gigantesque fête et le couronnement sont ordonnés dans la foulée. Suite à quoi, le vassal et l’ancien vassal de l’Empire sont renvoyés chez eux.

La paix retrouvée dans le Nord

Le Nord, zone particulièrement agitée sur le continent semble enfin retrouver la paix. Depuis 6 mois, plus aucun combat n’a lieu. Cela n'empêche néanmoins pas les différents royaumes de se regarder en chiens de faïence, et de garder des armées prêtes, au cas où le pire se produirait. L’armée de Suèvie (LABTEC) se retire tranquillement de la Hesse (FABIAN) et retourne dans ses terres sauf une division qui se rend sur la côte (suévienne) et embarque vers une destination inconnue. De son côté, l’armée du Prince de Fer la suit pour éviter “qu'elle ne se perde” en route. Une véritable valse des espions se produit néanmoins, chacun s’interrogeant sur les intentions des autres. La confiance est clairement une chose qui s’est perdue.

La disparition de Slanir

La paix règne certes dans le Nord, sauf pour une faction. Slanir (ENDWARS). En effet, alors même que ses possessions à proximité du continent sont déjà considérablement réduites. Entre le viol de l’île principale par les troupes de l’Empire d’Arthorie (SILVIO), la conquête de l’un de ses villages par l’Anglie (MARV), l’échange de Mourmaosk aurpès de la Hesse (FABIAN) contre un comptoir. Comprenant que la colonie bérusienne est au plus mal, et n’a probablement pas les forces de se défendre, les pirates (BERLIOZ) réunirent toutes leurs flottes et tous leurs hommes (ou presque) pour lancer un énorme assaut sur l’île de Lancastre. Près de 4 régiments de boucaniers et 4 escadres attaquèrent l’île. Les deux régiments placés en garnison se battirent avec courage, mais la bravoure n’est pas suffisante face à une armée deux fois plus nombreuse et disposant de nombreux navires de guerre. Les pirates ne pillèrent pas l’île. Ils s’y installèrent et décrétèrent qu’il s’agit désormais de leur quartier général.

L’inéluctable schisme du Vultisme

L’élection d’un patriarche conciliant envers les autres religions provoque de nombreux remous au sein du clergé vultiste. Tout le monde sait très bien que l’élection s’est produite dans une situation tendue. La seule chose ayant permis sa tenue est la présence de troupes de Sesar Autnihillo (LUCIUS) pour rassurer les cardinaux et tenir le peuple en respect. La foule de Firazano est elle-même particulièrement opposée à ce nouveau patriarche. Il est certes plus pieux que l’ancien, mais bien trop clément avec les païens et notamment Vladimir Varic, l’homme qui a osé renoncer à Vult. De plus en plus de voix s’élèvent en faveur d’une nouvelle élection qui aurait lieu dans un endroit neutre, et surtout loin de l’énorme menace païenne. Les plus téméraires parlent même de déplacer le siège patriarcal pour éloigner la menace des païens sur la religion vultiste. Il paraît clair que dans ses conditions, n’importe quel cardinal soutenu par un Etat capable d’assumer une position anti-infidèles serait capable de renverser le patriarche en place, ou tout du moins, de former une Eglise concurrente. Plusieurs candidats semblent intéressés par cette perspective, notamment le Baden (PNJ). Qui verrait d’un bon œil l’installation du palais patriarcal dans la ville de Kolberg, afin d’avoir un patriarche soumis à un hypothétique royaume d’Alémanie (PNJ ou FABIAN).

L’Empereur-Dieu rejoint le ciel, vive l’Empereur-Dieu

L’Empereur-Dieu Akkar (SERGUEI), après sa prise de Anassam, n’a plus vraiment d’obstacle l’empêchant de s’emparer de la capitale des décadiens (HGH). La ville sainte de Mecca. Mais alors que tous les décadiens tremblent en attendant leur fin. Mystérieusement, Akkar n’est jamais venu les chercher. Son plan est bien différent. En effet, face à la menace qui gronde désormais à l’Ouest de ses terres, il décida non pas seulement d’épargner les décadiens, mais également fait plus surprenant, de s’allier à eux et de leur donner une grande partie de ses terres. A ses opposants qui ne comprennent pas sa décision, il se contente de répondre : “ Les voix d’un Dieu ne peuvent être comprises par de simples mortels.” Et effectivement, aucun des membres de sa Cour, à part ses deux frères ne comprirent. Il rédigea une missive qu’il remit à sa femme, lui demandant de la remettre à son fils lorsque ce dernier serait en âge, puis prit la direction d’Osroènopolis. Une fois dans sa capitale, sa priorité fut de reconstituer son armée en laissant ses troupes se reposer, il donna des instructions en ce sens. La nuit commençant à être avancée, il se rendit dans sa chambre, laissant sa femme s’occuper de sa famille qui venait tout juste d’arriver de Kolberg. Il garda néanmoins son fils, Akkaran avec lui. L’Empereur-Dieu sombra rapidement dans un lourd sommeil. Il n’entendit pas quelqu’un bloquer sa porte, et il ne se réveilla même pas lorsque la fumée de l’incendie qui avait été déclenché dans l’aile de son palais l’étouffa. Ainsi mourut Akkar, le vainqueur des arthoriens, alémans et décadiens. Le petit corps brûlé de son fils fut extrait des décombres le lendemain. Toute la population fut sous le choc, son plus grand héros, et son Dieu venait de mourir. Sa femme, apprenant la mort de son jeune fils devient folle. Personne ne sait vraiment ce qu’il lui arriva. C’est le puissant Dastan qui prit la relève. L’Empereur-Dieu Akkar n’est plus, vive l’Empereur-Dieu Dastan.

Le duel des Empereurs

A peine remis de la perte de leur Empereur-Dieu vénéré. La population se mit à gronder contre la perte des territoires de l’Est, vénérant Akkar, le vainqueur de tous, et refusant de croire qu’il avait pris une telle décision, toute la faute fut placée sur ses conseillers. Des nobles furent massacrés dans les rues. C’est un événement extérieur qui calma la populace. La nouvelle de l’arrivée d’une flotte arthorienne (SILVIO) qui se dirigeait droit sur Mesopt. L’Empereur-Dieu Dastan prit immédiatement la tête de l’armée, pour protéger sa ville. Mais, à peine arrivé à Akkarabad, une nouvelle armée fut signalée à l’Ouest. Comprenant à quelle point la situation était critique, Dastan se décida à écraser d’abord l’armée qui arrivait en direction d’Akkarabad.  Les troupes, pas encore complètement recomposées de l’Osroènie tendirent un piège au corps d’armée qui avançait en direction de la ville qui portait le nom de leur ancien Dieu bien aimé. Utilisant les plans mis en place par Xerk une année auparavant. Les troupes Osroèniennes, à égalité divisionnaire, mirent en déroute l’armée arthorienne. Les vétérans et même les immortels, désormais non plus simplement vétérans, mais troupes de la garde, étaient bien supérieurs qualitativement, aux troupes arthoriennes. Mais, alors que Dastan allait lancer une poursuite pour maximiser les pertes ennemies, le corps d’armée qui avait pris Mesopt arriva en vue d’Akkarabad. Ayant pris le soin d’exterminer toute la population de Mesopt, Artyom Slavisc (KEVIN.A) avait un peu tardé. Néanmoins, son arrivée sauva la situation. Empêchant l’Empereur-Dieu d’éliminer définitivement un de ses ennemis. Les deux armées se regardent désormais en chien de faïence, aucune n’ayant les moyens de prendre l’avantage sur l’autre, à moins de s’affaiblir de telle façon qu’elle risquerait la destruction complète à la prochaine bataille.

L’Ours et le lion

Front Nord :

Le plan de Vladimir Varic impliquait aussi un assaut sur les villes du Nord de l’Osroènie. Se rendant compte qu’une puissante armée était sur le point de leur fondre dessus, les décadiens envoyèrent des émissaires auprès de Vladimir Varic afin de lui énoncer le fait que les villes étaient désormais décadiennes, et donc qu’il n’avait aucune raison de les attaquer. Vladimir leur rigola au nez, puis les fit rapidement décapiter. Comprenant que ses émissaires ne reviendraient pas, Drocco décida de réaliser sa tactique favorite. Il envoya sa cavalerie pour réaliser de la terre brûlée et du harcèlement pour ralentir au maximum l’avancée de Vladimir Varic. Ce qui ne perturba pas tant que ça Vladimir, qui prit assez rapidement le village d’Alafez, massacrant les traînards n’ayant pas eu le temps de fuir. Puis il fonça sur Stambouli (ancienne ville de Basra), pour se retrouver face à une très forte garnison mêlant à la fois des unités de la garde, des vétérans, et des soldats classiques. Se rendant compte qu’il n’avait pas les moyens, de prendre la ville par un assaut classique. Il posa donc un siège.

Front Sud :

La bataille la plus improbable de l’histoire du continent eut lieu au large d’Algir (anciennement Isapan), alors que la flotte de Valentar (KANGLE), garnie d’hommes était en route pour prendre la ville. Elle rencontra une flotte de la Hesse (FABIAN) qui naviguait pour piller une ville à l’Ouest. Après une courte hésitation, les hessois engagèrent le combat avec la flotte de Valentar. Les deux flottes, à exacte égalité numérique et disposant d’amiraux tout aussi compétents, terminèrent leur affrontement sur un statu quo. Aucune des deux flottes n’arrivant à prendre l’avantage sur l’autre. Ce fut donc un match nul tactique, mais une victoire stratégique pour la Hesse qui a réussi à empêcher la prise de la ville d’un de ses alliés.

L’attentat sur le Ostsen

Malgré leur victoire sur les pirates, les Ostseniens (KITANA) ne relâchèrent pas leur vigilance. Leur flotte patrouillant dans les mers de l’Est afin d’assurer la sécurité de leurs îles mais également des marchands. Informés par un espion, ils envoyèrent des agents à Stet, pour se rendre compte que la crique était déjà déserte. Elle avait été semble-t-il, déplacée. Très rapidement, les Ostseniens se rendirent à l’évidence. Les pirates avaient fui cette zone, et ils n’étaient pas prêts d’y remettre le pied. La vigilance se relâcha.

Une grosse flotte marchande accosta au sein du port de Wurtzen, les navigateurs dépensèrent des sommes folles en alcool, prostituées… Cela attira un peu l’attention, mais pas suffisamment. Une énorme explosion fut déclenchée dans le port de la capitale du Ostsen. Explosion qui fut suivie d’un incendie qui ravageant les quais. Des centaines de personnes moururent dans l’attentat, et le port fut considérablement endommagé. La duchesse des neiges pesta, mais lança immédiatement des chantiers pour tout réparer. Reste à savoir qui est le commanditaire de cet acte odieux.  

Les premiers crimes coloniaux

Les explorateurs du Ostsen (KITANA) avaient trouvé, lors des derniers mois, un petit village d’autochtones sur Calitdum. Peu adeptes des solutions diplomatiques, ils envoyèrent un régiment pour s’en emparer et expulser les habitants. Quelle ne fut pas leur surprise lorsqu’ils découvrirent les locaux atteints par des maladies provenant d’Alnethya. La plupart des indigènes jonchaient le sol, vomissant leurs tripes. Les soldats, par acte de “pitié” massacrèrent tout le monde. Ils découvrirent dans le village, une pile de couvertures contenant des puces. Visiblement, l’épidémie n’était pas accidentelle. Les Ostseniens mirent également la main sur une ressource de luxe.

L’attaque de Zàl

Les zlatiboriens exilés vivaient tranquillement, convertissant les locaux, conformément aux instructions de l’ancien patriarche. Ils réussirent même à intégrer pacifiquement un petit village de locaux à leur territoire. Néanmoins, un événement inconnu de taille se produisit. Une puissante flotte suévienne, qui comportait également près de deux divisions arriva au niveau de Zàl, la capitale des exilés. Des discussions s’établirent entre les deux parties, les suéviens revendiquaient, au nom d’une charte provenant de feu l’ancien patriarche, la primauté sur les territoires du nouveau continent. Les zlatiboriens énoncèrent qu’eux-mêmes, disposaient d’une charte de l’ancien patriarche qui leur accordait les terres qu’ils arriveraient à convertir. La discussion s’éternisant, les suéviens perdirent patience, remontèrent dans leurs navires, et lancèrent l’attaque. Les troupes présentes dans la capitale se battirent vaillamment, mais trop peu nombreuses, elles finirent par être écrasées par les deux divisions suéviennes. Cependant, aucun pillage ne fut à déplorer dans la ville. Les zlatiboriens, une fois de plus attaqués, doivent désormais réfléchir à une éventuelle risposte, ou vassalisation.

Le supplice de Tenet Davork

Ancien général du Zlatibor (KOYO), Lord Davork s'était battu vaillament face à la coalition qui avait envahi son pays. Depuis la prise de la capitale, il croupissait dans une obscure geôle. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque Vladimir Varic (SILVIO) le sortit de sa cellule pour le mettre sur un navire à destination de Slanir et de la famille Erceg (AETHWULF). Une fois sur la place, les Erceg ne perdirent pas de temps, ils le déshabillèrent en place publique, puis l'attachèrent à un piquet. Les Erceg commencèrent par lui fouetter dix fois le fessier. Valeureux, Davork ne poussa pas un cri. Ce qui déplu beaucoup à la foule, en particulier les jeunes enfants qui voulaient voir un spectacle. On coupa donc des bouts d'oreille au malheureux, mais encore une fois, pas un son ne franchit ses lèvres. On passa alors à l'arrachage des ongles. Un râle se fit entendre, ce qui motiva ses bourreaux. L'horreur continua, ses pieds furent placés dans une marmite bouillante, et ils ne furent sortis qu'après le départ de la peau. Davork commença enfin à hurler face à ce supplice. Finalement, on lui creva les yeux et les testicules avec une aiguille. Ainsi mourrut Tenet Davork.

Rumeurs :

Il se raconte que le repeuplement de la Rasina et de Slanir serait presque terminé

Une espionne aurait tenté d’agir contre l’Empereur-Dieu Dastan, les services de contre-espionnage de la Décadie et de l’Osroènie auraient tenté de la capturer, mais ils n’auraient réussi qu’à la mettre en fuite.

Les indigènes de Calitdum semble affectés par des maladies ramenées par les colons. De son côté, une nouvelle maladie transmissible uniquement par des relations sexuelles commence à toucher les colons. Les arthoriens semblent particulièrement affectés.

La guerre des contrebandes semble terminée. Ni la Francie, ni l’Arthorie ne s’envoient des produits de leur cru.

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Ilthanir

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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMar 22 Fév - 19:33

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Missive de l'Empereur Aurélien,

Aujourd'hui est un grand jour pour la Bérusie. L'ordre est revenu, la guerre civile est terminée. L'heure est venue pour notre Empire de retrouver sa stabilité, de se réformer. Pour autant, nous ne pouvons pas négliger nos vassaux.

La perte de Slanir est une tragédie, d'autant plus dure qu'elle a eu lieu pendant que notre brave vassal se battait en notre nom. C'est pourquoi, pour essayer de compenser cette perte, nous élevons le Prince Arcanius, et sa famille, à la dignité royale. Il sera désormais Roi d'Arcanie, nous donnons son nom à la zone qu'il a colonisé sur Calitdum. Nous incitons également tous les habitants de l'Empire qui ont perdu leur foyer du fait de la guerre à se rendre en Arcanie, notre colonie a besoin de nombreux bras.

Nous annonçons également reconnaître l'indépendance de la Principauté de Valentar. Le prince Cornelius devra néanmoins racheter ses terres. Car elles appartiennent à l'Empire.

Nous, Aurélien, avons reçu un serment de fidélité de la part des exilés zlatiboriens présents sur Calitdum. Le prince Venor est désormais notre vassal. Nous transmettons sa vassalité au Royaume d'Arcanie, qui sera chargé de le faire prospérer, et de le guider dans l'intérêt de l'Empire.

Finalement, nous sommes prêts à discuter la restitution de la capitale de Zàl contre des contreparties financières. Nous chargeons notre vassal, le Roi d'Arcanie, de se charger de cela.

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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMer 23 Fév - 9:45

La Suévie félicite son ami Arcanius pour sa récente promotion au rang de roi d'Arcanie. Nous sommes certains qu'un compromis sera trouvé concernant la situation des petits zlatiboriens en Calitdum.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMer 23 Fév - 9:56

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La principauté de Zal, descendant d'Arthorie et du Zlatidor reconnait sa vassalité à son unique  Empereur, sa majesté Aurélien, ainsi qu'au Roi Arcanius du royaume d'Arcanie.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMer 23 Fév - 10:11

Le roi Ulrik Swedes annonce anoblir la dénommée Avilda la Rouge, qui sera désormais connue comme Alvida de la maison Scarlett. Lui est accordé le titre de Duchesse de Lancastre et Seigneur de l'Océan des Singes, ainsi que le poste de Grande Amirale Royale de Suévie. L'ancien Grand Amiral Sven Hass est promu au rang de Vice-Roi des colonies suéviennes du Nouveau Monde.
Alvida Scarlett jurera fidélité au royaume de Suévie et à son suzerain, le roi Ulrik Swedes ainsi qu'à tous ses descendants (basiquement Berlioz devient mon corsaire, comme prévu dans les règles).
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMer 23 Fév - 10:15

Nous confirmons l’annonce de la Suévie et sommes heureux de collaborer avec le roi Ulrik Swedes, seul roi à être un tant soit peu respectable.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMer 23 Fév - 15:32

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Annonce du Ostsen :

Nous, Duchesse du Ostsen, avons décidé d'interdire la prostitution sur notre territoire. L'attentat que nous avons subi est clairement le fait de la volonté divine. Les pratiques non pieuses qui ont eu lieu au sein de notre duché en sont très certainement la cause. Nous retournons donc vers une forme plus proche du vultisme initial, et abolissons les pratiques pécheresses
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeDim 27 Fév - 11:56

La Suévie signe la paix avec les exilés zlatiboriens du Nouveau Monde :

- La ville de Zal sera restituée sans pillage à ses propriétaires légitimes, ainsi que tous les otages,
- 100% des revenus de Zal seront versés en tribut annuel à la Vice-Royauté suévienne du Nouveau Monde,
- La Suévie et les exilés zlatiboriens jurent devant Vult de signer une pacte de non-agression éternel.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeDim 27 Fév - 12:19

La Principauté de Zal signe la paix avec la Suévie du Nouveau Monde :

- La ville de Zal sera restituée sans pillage à ses propriétaires légitimes, ainsi que tous les otages,
- 100% des revenus de Zal seront versés en tribut annuel à la Vice-Royauté suévienne du Nouveau Monde,
- La Suévie et les exilés zlatiboriens jurent devant Vult de signer une pacte de non-agression éternel.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeLun 28 Fév - 10:00

Tout comme l'Ostsen, la Principauté de Zal vise a se rapprocher du Vultisme initiale.
Ainsi, la prostitution deviens elle aussi illégale sur le territoire de la Principauté.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeLun 28 Fév - 10:14

La princesse Elfrid de Stelfist annonce l'ouverture prochaine de l'établissement "Les Délices d'Alnethya" dans le quartier commerçant de Stockhol. Venez découvrir toutes les douceurs du continent réunies en un seul lieu ! Le mot plaisir n'aura plus le même sens pour vous !
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeSam 19 Mar - 17:38

Tour 6 : L’affrontement final


Carte

La neige s’abat sur la Francie

La Francie (EMILEEN), effrayée par la brutale attaque ayant eu lieu sur l’Empire d’Osroènie (SERGUEI), multiplia les préparatifs militaires afin de mener une campagne en direction de l’Arthorie (SILVIO, KEVIN.A, AETHWULF). Le jeune royaume s’attendait également à recevoir des renforts de la Suèvie (LABTEC) et de la Hesse (FABIAN) afin de mener les opérations. Mais, ne voyant pas arriver de potentielles troupes des autres coalisés, le Roi Arthur Valkirk-Toussaint décida de s’élancer seul contre le géant arthorien.  Après tout, ce n’est qu’une question de temps avant que l’ogre n’en finisse avec ses ennemis à l’Est. Réunissant un gros corps d’armée le Roi et deux généraux de Prévalitane prirent la route du Sud, en direction de Pest et Lolska. Si la marche pour arriver aux objectifs était assez courte, Arthur multiplia les précautions afin d’éviter de tomber dans un piège de son ennemi. Lorsque les franciens arrivèrent enfin en direction des villes convoitées, et que les préparatifs pour effectuer un siège des bastions ennemis furent débutés, une terrible nouvelle arriva au Roi. La Francie (EMILEEN° fait l’objet d’une attaque par ses voisins du Nord !

En effet, comprenant que la majorité des troupes franciennes se rendaient au Sud pour attaquer la puissante Arthorie, la grande menace du continent, le Roi de Suèvie (LABTEC) se décida que c’était sa chance d’écraser ce royaume qui avait le potentiel de lui tenir tête (et qui pouvait techniquement prétendre aux terres de son allié d’Anglie). Il fit donc partir son armée de Olst, suivit la route de Lobourg, et arriva rapidement en vue de Prédeleau. Il fut surpris de découvrir un bastion dans cette petite ville tranquille. Cependant, l’absence d’une garnison importante n’entraîna aucune entrave pour ses plans. Mettant en batterie ses canons, Swedes pilonna la muraille extérieure pendant une poignée de jours avant que, finalement, une brèche n'apparaisse dans les fortifications.  Une fois ce point de détail réglé, les troupes suéviennes chargèrent et massacrèrent assez rapidement les défenseurs qui étaient bien inférieurs en nombre. Tout se passant comme prévu, il décida de diviser son armée en deux pour s’emparer à la fois de Villeboisée (PNJ anciennement OZYMANDIAS), mais également de Orléas. Pour lui aussi, tout ne se passa pas comme prévu. Effectivement, lui-même reçut alors une mauvaise nouvelle. Son propre territoire était en train de se faire attaquer. L’arroseur fut lui-même arrosé, d’autant plus qu’aucune garnison n’avait été prévue pour protéger le sol de son Royaume. Ulrik Swedes devait désormais prendre une décision, continuer l’attaque, ou rebrousser chemin ? Choix cornélien, mais il se devait de trancher rapidement.




Vengeance ou mise au pas ?

La Suèvie n’attaqua pas seule son adversaire francien, en effet, l’alliance passée avec l’Anglie (MARV) lors des derniers mois, bien qu’étrange aux yeux des chroniqueurs, venait de trouver sa raison d’être. Voyant une opportunité de reprendre les terres de son frère aîné perdues lors du partage en deux du Royaume de Brittonie, le Roi Lambert d’Anglie, se coordonna secrètement avec les suéviens pour lancer un double assaut. Alors que Swedes devait attaquer la Francie (et le Vanbois, pourtant son allié), Valkirk devait quant à lui s’occuper uniquement du vassal, le Vanbois.

Prenant la tête d’un corps d’armée quasi complet, le jeune Lambert Valkirk mit au point un plan ambitieux. Réaliser à la fois une attaque par la mer, et une attaque par la terre. Il fut également aidé dans son entreprise par des mercenaires venu de Suèvie (LABTEC), et le duché de Lancastre de la maison Scarlett (BERLIOZ), c’est près de 7 régiments qui attaquèrent avec leur flotte la ville de Valfleuri. Devant l’absence de garnison et de résistance, aucun pillage ne fut mené. Les habitants se soumirent rapidement devant Valkirk, qui était après tout, de la famille de leur ancien Roi (et de leur actuel).

Une autre colonne se rendit rapidement à Villeboisée, quelques cavaliers du Vanbois tentèrent de stopper la progression de l’armée ennemie, mais face à une division complète anglienne, ils se replièrent assez rapidement. Là encore, la ville n’opposa pas de résistance aux troupes d’Anglie, qui là-aussi se comportèrent très bien avec la population locale.

Finalement, une dernière colonne se mit en route vers la capitale du Vanbois, la division avait reçu des nouvelles de la prise de Valfleuri, et s’attendait elle aussi, à une vraie partie de plaisir. Quelle ne fut pas son erreur. La garnison du Vanbois était composée de deux divisions, dont une de vétérans, et d’un bastion avec les régiments afférents. Se rendant compte de la futilité de tenter un assaut, les troupes angliennes commencèrent à opérer un repli, tout en informant les autres colonnes de la raison de cette retraite. Les troupes du Vanbois sortirent de leur capitale et se lancèrent à la poursuite de leurs envahisseurs. Ils finirent par rattraper la division anglienne et l’affrontèrent, leur victoire faillit être totale. Si des renforts en provenance de Valfleuri et Villeboisée n'étaient pas arrivés à temps. Permettant ainsi aux angliens de se ressaisir et de reprendre l’avantage dans la bataille en cours. Les troupes du Vanbois furent finalement battues, mais réussirent à se replier en bon ordre jusqu’à leur capitale. Le Duc du Vanbois, Gareth, mourut en commandant l’arrière garde qui permit à son armée de se replier. Les troupes du Vanbois se retrouvent assiégés au sein de sa capitale, incapables de sortir sans se faire détruire.

Le sort de Vanbois paraît donc fixé, d’autant plus, que le Roi d’Anglie promit à ses troupes un droit de pillage sur la ville, afin de se venger de leur vaniteux ancien vassal. Néanmoins, les éclaireurs dépêchés au Sud par le Roi, ramenèrent des nouvelles alarmantes.


OSS 117, Mélano nid d’espions

Loin de tous ces conflits meurtriers, le royaume de Mélonie (LUCIUS) reste bien tranquille, dans son coin, en attendant que tous ses voisins finissent de s’entretuer. La boucherie allait laisser place à la reconstruction, ce qui faisait bien les affaires des marchands de Melano. Les Meloniens eurent simplement l’air de ne rien faire officiellement, à part le tribut versé aux arthoriens. Ce n’est cependant qu’une simple illusion. En sous-main, les espions du Royaume se trouvent partout, et ont commencé à créer le plus vaste réseau d’espionnage de tout le continent. Un dicton populaire commence à faire son apparition dans la populace “les services secrets méloniens savent ce que vous allez manger avant même que le plat ne sorte de la cuisine". Mais ses services ne se contentent pas d’espionner, ils se mettent également à verser de l’or à des “amis” afin de soutenir telle ou telle cause. Bref, les méloniens ont pour ambition de décider de l’avenir du continent, mais d’une manière plus subtile que le reste du monde.

Le Roi Sesar s’amusa également à corrompre tous les religieux qu’il put trouver afin d’éviter que son patriarche ne soit détrôné par une éventuelle cabale. Il apaisa partiellement la colère des clercs, mais ceux qui étaient les plus éloignés du Saint-Siège continuèrent néanmoins leur agitation. Notamment au Baden (PNJ). Qui bien qu’allié avec un païen, a une haine toute particulière pour l’Osroènie (Dastan ayant assassiné le père du dirigeant actuel), et est désormais également en guerre contre l’Arthorie.



La chute de l’aigle

Le miracle de la défense de Akarabad lors des derniers mois avait gonflé le moral des troupes osroèniennes (SERGUEI). C’était la troisième fois qu’ils avaient réussi à battre leur adversaire arthorien (SILVIO). Pour autant, l’Empereur Dieu Dastan (SERGUEI) ne partage pas cet optimisme. Il sait très bien que sans une attaque de ses alliés au cœur de l’Empire ennemi, la disparition de son propre Empire n’est qu’une question de temps, mois dans le meilleur des cas, semaines dans le pire. Il fut néanmoins surpris de l’absence d’attaque ennemie immédiate. Il prit néanmoins deux décisions, la première, armer des civils pour qu’ils viennent se battre aux côtés de l’armée, la seconde, prévoir un plan d’évacuation de la capitale en cas d’attaque massive de la ville, il confia cette tâche à son courageux frère Xerok, et à ses escadres.

Un mois passa, avant que les troupes arthoriennes ne se relancent à l’attaque. Cette pause stratégique avait été nécessaire pour amener deux nouveaux corps d’armée, afin d’en finir avec les Osroèniens. A plus de quatre contre un, l’armée de l’Empereur ne se fit aucun illusion sur ses chances de succès. Même les vétérans et les immortels ne peuvent tenir face à une telle force. Pourtant, bien conscients que l’ennemi était venu pour les massacrer, eux ainsi que leurs familles, aucun ne chercha à s’enfuir. Avant la bataille, une bonne nouvelle anecdotique arriva à Dastan. Un régiment de renfort rejoignit la ville pour se battre aux côtés des Osroèniens. Un régiment composé de Poméniens, dirigés par l’ancien prince et son héritier (PNJ). Cette nouvelle donna un petit boost au moral des défenseurs, ne se sentant plus complétement seuls face à l’armée ennemie. Après un bombardement de principe, les troupes arthoriennes se lancèrent à l’assaut, sûres que leur victoire serait rapide. Leur surprise fut de taille face à la résistance acharnée livrée par les troupes de l’Empereur-Dieu. Chaque rue avait été transformée en un piège, des pots enflammés, des tireurs bien cachés, des embuscades… L’avancée se fit lentement, chaque quartier pris recevait une terrible contre-attaque quelques fois menées en personne par l’Empereur-Dieu. Ce dernier n’hésitait pas à se battre en première ligne à chaque fois que ses fonctions de général en chef lui permettaient. C’est d’ailleurs lors d’une contre-offensive qu’il tomba face à face avec l’héritier de la principauté de Rasina (KEVIN.A). Ce dernier, aussi brave qu’il fût, ne résista pas longtemps face à la lame du champion. Dans une autre rue, c’est le Prince de Rasina qui triompha du Prince de Poménie, après une rapide passe d’arme. Malgré les lourdes pertes (qui restaient d’ailleurs limitées par rapport à l’immensité de leur armée), les arthoriens continuèrent à avancer, et finirent par prendre la quasi totalité de la ville. Ne restèrent bientôt plus que le quartier général et une petite route sûre en direction du Nord, vers laquelle Dastan envoya quelques immortels pour les mettre à disposition de son frère, afin qu’il puisse un jour reformer le régiment si jamais il en avait l’occasion. Finalement, le quartier général de Dastan fut encerclé, les derniers hommes, et en particulier les immortels se battirent pendant près d’un jour complet avant de tous mourir.  L’héritier de la Poménie fut parmi les derniers à mourir, un membre de la famille Erceg (AETHWULF) le décapita avec sa lourde épée à deux mains. On ne retrouva pas le corps de l’Empereur-Dieu, enterré sous la masse des cadavres de ses fidèles.

Après la prise de la ville, une partie de la population fut exterminée, et le reste fut partagé pour devenir esclaves. Les Erceguiens se mirent à massacrer les femmes et les enfants qui leurs étaient attribués, non sans commettre des atrocités sur leurs corps avant de les tuer. Même les priznéniens furent choqués. Le fait qu’ils ne gardent que des hommes en vie, lança également des rumeurs sur leur sexualité.

Une fois le massacre terminé, les troupes se rendirent au Nord, en direction d’Osroènopolis, le temps d’en finir avec leurs ennemis était arrivé.


La gloire du lion

Encerclé dans Babylon, le sultan (HGH) n’était pourtant pas inquiet outre-mesure de la situation, en effet, il disposait d’assez d’hommes pour tenir tête à un assaut direct de son ennemi, et qui plus est, il avait réussi à faire passer une note comportant un seul mot à Babylon : “ DJEHAD”. Et de tout le sultanat, les volontaires se rassemblèrent à Babylon pour lancer la guerre sainte contre l’ennemi arthorien. Des troupes en provenance du Baden les rejoignirent également pour aider leur allié qui avait été attaqué sur son propre territoire. C’est donc un ost composé de près de 4 corps d’armée qui se mit en route en direction du village d’Alafez. 3 avaient pour objectif d’entrer directement en Arthorie et d’avancer le plus possible, en essayant de profiter d’une éventuelle attaque de la part de la Francie pour avancer le plus possible. Le dernier corps d’armée avait lui pour objectif d’aller vers le Sud, afin de lever le siège de Stambouli.

Les trois corps eurent la surprise de rencontrer un corps d’armée et deux divisions arthoriennes sur leur route, qui se rendaient elles-mêmes à Stambouli pour soutenir le siège. Face à une armée plus nombreuse, motivée par le Djehad, et en pleine campagne, une première défaite fut infligée aux arthoriens. Qui se réfugièrent dans Bud, tout en appelant un maximum de renforts des alentours. L’armée décadienne lança directement un assaut pour prendre la ville, et donc s’ouvrir la route de Priznan. La bataille fut sanglante et violente, mais la supériorité numérique des décadiens leur permit d’avancer dans la ville. Une bataille d’arrière garde pour contenir l’arrière garde décadienne fut menée par le prince héritier de l’Empire (SILVIO) . Et c’est à ce moment-là qu’il tomba face à l’héritier du Baden (PNJ). Les deux adversaires, aussi fines lames l’un que l’autre, se blessèrent mutuellement à de multiples reprises. Enchaînant parades et feintes à l’épée. Jusqu’à ce que la lame du prince du Baden n’embroche l’épaule de l’arthorien. Ce dernier, désespéré, surprit son adversaire en se jettant dessus. Il réussit à le tuer en frappant à la gorge. Cependant vu la gravité de ses blessures (pourtant non mortelles), Ivan Varic dut être évacué de la ville par ses troupes pour être emmené à Priznan. Les décadiens s’emparèrent de ce fait, de Bud.

De l’autre côté, sur le front de Stambouli, l’armée de Vladimir Varic, qui assiégeait la ville, se retrouva attaquée de dos par les renforts décadiens qui descendaient, pour sauver la ville. Profitant de la confusion, les troupes de Droco présentes dans la ville firent une sortie. En sous-nombre, face à des troupes plus expérimentées, et plus motivées, l’armée de Vladimir se replia du mieux qu’elle put en essayant de foncer vers le Sud afin d’atteindre le gros de l’armée et ainsi de sauver sa vie. Mais face à la puissance cavalerie décadienne, le corps d’armée était en permanence sous attaque. Se plaçant en arrière garde pour prendre le plus gros des attaques, Vladimir se battit comme un lion. Le sultan décida d’aller affronter en duel singulier son rival. Le combat fut épique, les deux hommes étaient de la même trempe. Les épées virevoltaient en cherchant une faille chez l’autre duelliste. Droco attaqua directement au niveau du torse pour tenter de blesser grièvement son adversaire dès le début du combat. Ce dernier para puis riposta en visant les bras de son ennemi. Sans succès. Le duel dura longtemps, très longtemps. Jusqu’à ce que finalement,  la lame du sultan finisse par trouver la jugulaire de l’Empereur Arthorien. Ainsi mourut Vladimir Varic, l’unificateur des païens. Après la mort de son chef, le corps d’armée païen, déjà malmené, s'enfuit vers le Sud, et certains d’entre eux réussirent à atteindre l’armée principale.



Valentar et l’étrange jeu du Ostsen

Le Valentar (KANGLE), échaudé par son match nul lors des trois précédents mois décida d’envoyer toute sa flotte à l’attaque. Elle appela également son allié du Ostsen (KITANA), qui naïvement, ou innocemment envoya également sa flotte, ne se rendant pas compte qu’il y aurait un conflit avec son suzerain (FABIAN). De leur côté, les troupes du prince de fer ne furent pas en reste, elles construisirent deux nouvelles escadres, mais à Mourmaosk ! Les navires se firent donc interceptés et mis en déroute par la flotte de l’Arthorie qui protégeait les côtes du Zlatibor, et se trouvait en supériorité numérique de deux contre un.

Les navires du Valentar se lancèrent à l’assaut de la flotte de la Hesse, et prirent très rapidement l’avantage, du fait de leur surnombre. De leur côté, les escadres du Ostsen restèrent bêtement derrière, ne voulant pas attaquer leur suzerain et allié. Lorsque la flotte hessoise finit par se replier vers l’Est, les Ostseniens entrèrent en jeu, et foncèrent sur Osroènopolis, qu’ils attaquèrent avec le soutien du Valentar. Et alors que l’armée de l’Arthorie piétinait à Akarabad, la flotte des deux alliés put remonter tranquillement le fleuve. Averti le brave Xerok mit en place son plan d’évacuation, il recoula une partie de sa flotte pour former un nouveau pont, puis envoya le reste pour ralentir un maximum les deux alliés. Il fit franchir le fleuve à un maximum de civils avant que finalement, Valentar et le Ostsen ne réussissent à avancer, à détruire le pont, et à s’emparer de la capitale. Pillant en règle la ville, ils ne massacrèrent néanmoins pas la population. L’armée d’Arthorie finit par arriver, reste à savoir quelles seront les conditions du partage de l’ancienne capitale ennemie.

Les crimes coloniaux continuent

Le Ostsen (KITANA) et Valentar (KANGLE), désormais les meilleurs amis du monde, se mirent aussi en tête de s’emparer de divers territoires indigènes sur le continent de Calitdum. Là encore, ils ne s’intéressèrent même pas à l’idée de faire un pacte avec les sauvages afin de les faire adhérer pacifiquement à leur empire colonial. Ils se contentèrent d’exterminer la population locale. C’est ainsi que deux villages subirent un sort cruel entre les mains de colons peu scrupuleux.



L’autre voie coloniale

De leur côté, les anciens et nouveaux vassaux de l’Empire de Bérusie, l’Arcadie (ENDWARS) et les exilés zlatiboriens (KOYO), cherchèrent une autre voie, l’établissement d’une relation de confiance avec les indigènes. Enfin, c’est ce que les arcadiens énoncèrent. Ils n’hésitèrent pas à s’emparer par la force des villes qui leur résistaient, et c’est ainsi qu’en trois mois, ils s'agrandirent d’une nouvelle ville, et d’un nouveau village. Ils n’exterminèrent pas la population locale, se contentant de la convertir.

De leur côté, les exilés zlatiboriens continuèrent leurs manoeuvres pour convertir les indigènes et les ajouter pacifiquement à leur territoire. Cela marcha en partie, les habitants des villages finirent par les rejoindre. Les villes quant à elles, ne furent pas réellement intéressées par le marché proposé par cet étranger roux. Les exilés commencèrent les tracés pour la construction d’un hôpital, bien conscients que l’augmentation du nombre de malades chez les indigènes nécessitait une réponse.



La neige ne tient pas en juin

Ulrik Swedes (LABTEC) prit une décision rapide, sans ses terres, il ne lui serait plus possible de continuer  dans tous les cas, son offensive. Il donna plusieurs instructions à ses troupes, la première, adressée aux soldats qui se trouvaient directement à ses côtés, fut de marcher vers le Nord, mais pas trop rapidement néanmoins. Swedes voulait à la fois épargner à ses hommes une marche forcée qui les aurait affaiblis avant la bataille finale, mais également, déjouer un éventuel piège de son concurrent. Puis, il envoya rapidement des messages à ses troupes mercenaires qui se battaient aux côtés des angliens afin de leur demander de rembarquer à bord de la flotte, pour qu’ils attaquent Stockhol directement, dès qu’ils verraient le signal. Le plus grand feu que le nord n’ait jamais vu. Troisième instruction, il décida de demander également le soutien de son vassal, de la maison Scarlett, pour appuyer l’assaut naval. Finalement, il envoya une série de lettres en direction de Stockhol, mais dont le contenu ne fut pas divulgué à ses troupes.

De son côté, le Prince de Fer (FABIAN) s'étonna de ne rencontrer aucune résistance. Il passa la frontière sans le moindre problème, il prit rapidement la ville de Olst, qui se trouvait sur la route, puis continua sa balade bucolique jusqu’à Stockhol, qu’il prit également sans rencontrer de troupes ennemies. Il s’installa rapidement dans la ville, s’attendant à ce que son ennemi, occupé au Sud, ne revienne pas à temps, ou au contraire, qu’il fonce sans réfléchir. Le Hessois attendit longtemps, les jours se succédaient sans la moindre trace de l’armée ennemie. Jusqu’à un cri d’alarme. “Au feu”

Hans Lauda n’eut qu’à pencher la tête par la fenêtre du donjon de Stockhol pour s’apercevoir que toute la ville était en train de devenir un immense brasier. Il donna rapidement des instructions pour tenter de limiter l’incendie, fit pendre quelques pyromanes, mais rien n’y fit. Qui plus est, c’est à ce moment là que ces éclaireurs laissés en arrière lui apprirent que les troupes de Swedes marchaient sur lui depuis le Sud. Se rendant compte qu’il ne pouvait pas rester dans la ville en flammes, il se mit en route pour tenter d’éliminer Swedes en bataille rangée.

Les deux armées se croisèrent légèrement au Nord du pont de Olst, et la bataille fut terrible. L’armée hessoise (FABIAN) était néanmoins composée de vétérans, et elle prit rapidement l’avantage sur l’armée adverse. Le combat dura des heures, et fut enragé. Jusqu’à l’arrivée des renforts suéviens. Les mercenaires et les troupes de la maison Scarlett modifièrent l’équilibre des forces. Furieux de voir la victoire lui échapper, le prince de fer s’acharna plus que de raison. Pour rien. Il finit par jetter l’éponge et ordonner le repli vers l’Est, les troupes ennemies sur les talons. Les suéviens n’arrêtèrent de le poursuivre qu’après qu’il soit à l’intérieur de Olst. La victoire revenait à la Suèvie, qui avait réussi à repousser l’adversaire et à lui infliger de lourdes pertes. Mais à quel prix ? Stockhol en ruine, il paraissait désormais compliqué pour les suéviens de continuer la guerre. D’autant plus que le retrait de leurs troupes du front sud ne fut pas sans conséquences.

La bataille des deux frères


Le Roi Lambert (MARV) se tenait toujours sous les murs de Vanbois, prêt à donner l’assaut dès que les renforts suéviens arriveraient. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque non seulement ils ne vinrent jamais, mais qu’en plus, les troupes "prêtées" par la Suévie firent marche arrière et rentrèrent chez elles. Le Roi d’Anglie, de plus en plus inquiet, (d’autant plus que ses éclaireurs avaient aperçu l’armée de Francie qui remontait vers le Nord), se décida à opérer une retraite. Les troupes du Vanbois ne lui permirent pas le luxe d’une retraite calme, la cavalerie du duché se mit à le harceler et à tout faire pour le ralentir. Si bien que lorsque les troupes du Roi Lambert retrouvèrent enfin la sécurité de sa capitale, leur repos fut bref avant que l’armée de Francie ne rejoigne son vassal et se mirent à faire le siège de Londaris. Au vu de leur énorme supériorité numérique, les troupes de Francie n’hésitèrent pas et lancèrent rapidement un assaut sur la ville.

Les troupes angliennes résistèrent du mieux possible, mais très rapidement, la supériorité numérique ennemie fut telle qu’ils ne purent tenir longtemps. Et pour la première fois en moins de deux ans, les rues de Londaris furent remplies de sang. Cependant, la surprise fut de taille pour les conquérants, lorsqu’ils se rendirent compte que le roi Lambert n’était plus là. En réalité, il n’avait jamais été là. Amiral de formation, il avait reprit le contrôle de sa flotte à Valfleuri pour quitter la ville. Empêchant aux franciens de le capturer et d’ainsi, terminer la guerre. Épuisées, les troupes franciennes n’allèrent pas plus loin.  



Autres nouvelles :

Des espions méloniens auraient réussi à récupérer quelques oeuvres d’art osroèniennes avant la prise de la ville.

Le commerce a chuté partout à cause des guerres, les Etats commencent à avoir des difficultés financières
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeMer 11 Mai - 22:42

Epilogue Première partie : La fin des guerres, le nouvel équilibre s’installe

281 - 282


Carte


La fin de la grande guerre du Nord

L’affrontement entre les deux puissances du Nord, les a toutes les deux, mises à terre. Leur situation est catastrophique. Du côté suévien (LABTEC), les flammes brûlant Stockhol continuent de se répandre, des milliers de personnes se retrouvent sans le moindre abri alors que le terrible hiver arctique est sur le point de s’abattre. Des cadavres d’enfants et de vieillards sont ramassés et jetés dans des fosses communes chaque jour. L’armée, bien que victorieuse, a subi de nombreuses pertes, les régiments sont loin d’être garnis, la solde n’arrive plus, et la faim commence à poindre le bout de son nez au sein des troupes. Pour autant, les soldats sont encore confiants dans la faculté du Roi Ulrik de l’emporter sur son adversaire, et son charisme motive ses hommes à continuer la lutte face à l’envahisseur. Les pirates de la maison Scarlett (BERLIOZ) se joignirent aux troupes suéviennes.

De leur côté, les Hessois (FABIAN), bien que défaits, ont réussi à garder leur cohésion, sur la défensive du fait de leur large infériorité numérique, ils ne souffrent pas de la faim. Cela n’empêche pas le froid de commencer à ravager des rangs déjà bien vides. Pour autant, comme leurs adversaires, les Hessois ne sont pas prêts de se rendre, ils suivront leur chef jusqu’en enfer. Surtout qu’ils tiennent toujours la ville de Olst, et qu’ils ont la possibilité de se replier sur la forteresse de Koenigsen.

Au vu de l’état de leurs armées respectives, les deux leaders savent qu’il leur faut agir vite avant de ne plus disposer des forces nécessaires pour vaincre leur adversaire. Le Lion du Nord prend l’initiative en décidant de  lancer un assaut sur Olst afin de chasser les Hessois de son royaume. Ces derniers, bien conscients que l’homme qui a ordonné de mettre le feu à sa capitale n’allait pas rester les bras croisés, se mirent à retraiter de la ville en direction de Koenigsen. Sachant pertinemment qu’ils ne disposent pas des forces sur place. Ils laissèrent néanmoins une arrière garde sur place afin de piller la ville, et couvrir la retraite.

Pris de court par la marche forcée suévienne, les troupes hessoises n’eurent pas le temps de piller complètement la ville, mais elles partirent tout de même avec nombre de richesses. Quelques affrontements se produisirent, mais ils restèrent limités, les hommes du Prince de Fer cherchant avant tout à se replier. Poursuivant son adversaire, l’armée affamée de Swedes se retrouva à faire le siège de Koenigsen, mais la forteresse, bien défendue, n’était pas prête de tomber. Bien qu’officiellement toujours en guerre, aucune des deux factions n’a les moyens de prendre l’ascendant sur l’autre. Des premières négociations de paix se produisirent à partir de 282, mais elles traînèrent en longueur. Aucun des camps n’avait envie d’abandonner ses alliés respectifs, il fallut donc attendre la perspective d’un règlement global pour conclure une paix durable. Et c’est la solution que leur proposa Sesar Autnihilo (LUCIUS).

Le combat des deux frères 

La prise de Londaris ne fut pas la victoire décisive à laquelle s’attendaient les franciens (EMILEEN). Premièrement, car les deux armées furent affaiblies par la prise de la capitale solidement fortifiée. L’une fut en grande partie détruite, l’autre, considérablement amochée. Le “vaincu”, le Roi Lambert Valkirk (MARV) n’avait aucune intention d’abandonner le combat, et potentiellement son trône. Ayant pris connaissance de la victoire des suéviens lors de la bataille de Stockhol, il reprit espoir d’un renversement de la situation. Levant les hommes et les mercenaires (grâce à une réception de coffres d’or en provenance d’une puissance inconnue), le Roi Lambert se mit en tête de résister à l’envahisseur. N’ayant pas les forces pour mener une attaque directe tant que ses alliés du Nord ne viennent pas à son secours, il mena une intense guérilla afin d’affaiblir son adversaire en attendant des renforts. 

De leur côté, les franciens, bien que ivres de vengeance d’avoir été attaqués par surprise, ne cherchèrent pas à maltraiter ni les prisonniers, ni la population de Londaris. Bien conscient que toute action négative sur les angliens provoqueraient aussi des troubles au sein de leur propre population. D’autant plus du fait du statut de ville mixte de Londaris. Ils concentrèrent une partie de leurs forces sur l’Anglie, pour en finir, et une autre sur la reprise de leur propre territoire, dont une partie était toujours aux mains des suéviens. Profitant de la mobilisation au Nord des troupes de Swedes (LABTEC), ils s’emparèrent rapidement de Prédeleau, puis avancèrent et prirent Lobourg. Ils s’arrêtèrent à cette conquête, ne souhaitant pas d’une guerre éternelle contre les hommes du Nord. 

Par contre, leur progression en Anglie fut terriblement lente et coûteuse, ralentie en permanence par la guérilla ennemie, le mauvais accueil des locaux qui eux et les rudes conditions climatiques hivernales. Néanmoins, toujours largement plus puissants que leurs adversaires, les franciens continuèrent leur avancée. Ordre leur fut donner d’arrêter leur marche alors qu’ils approchaient dangereusement d’Oxfort. La signature d’une trêve temporaire devant permettre une négociation à Mélano, la capite des Méloniens bloqua les troupes. 

L'Ours vs le Lion 

Si les conflits dans la partie Nord du continent avaient engagés des milliers hommes, ce n’était que des escarmouches face à la guerre qui se déroulait dans le Sud. D’autant plus que la prise d’Osroènopolis et de Bud avaient changé la face du conflit. Actant à la fois la fin de l’Empire Osroène (SERGUEI) et une potentielle défaite des arthoriens (SILVIO). Le terme de l’année 281 fut marqué par d’énormes mouvements de troupes pour les deux camps. Se rendant compte que Priznan était désormais vulnérable, les troupes arthoriennes firent marche arrière pour se rendre le plus vite possible à leur capitale. Ils utilisèrent même les navires de Valentar (KANGLE) pour acheminer le plus vite possible des troupes à Priznan (on raconte que l’ancienne régente de Valentar se rendit elle-même dans la capitale des arthoriens).

De leur côté, les décadiens (HGH) se mirent en tête que le djehad leur apporterait la victoire sur les infidèles. Ils se mirent donc en tête de foncer sur la capitale adverse pour en finir avec l’empire ennemi. Assurés d’avoir des renforts sous peu, les troupes ayant battu Vladimir Varic, ils se décidèrent à avancer le plus vite possible, pour ne pas laisser le temps aux arthoriens de réaliser une défense efficace.  Ils s’emparèrent assez facilement de la ville de Proznav, laissant juste quelques troupes pour envoyer une partie de la population en esclavage. De même, ils attaquèrent également Krakow, qu’ils prirent tout aussi facilement. Ils réservèrent le même sort à la population locale. L’esclavage. La voie vers Priznan est désormais libre.

Tout du moins c’est ce les hommes du désert pensaient, car alors qu’ils avançaient en direction de leur objectif, ils entendirent des cors arthoriens. Ces derniers, profitant du temps nécessaire aux pillages de leurs villes, avaient rattrapé leur adversaire. 

La bataille débuta par un duel entre les artilleries des deux puissances. Mais très rapidement, les canons arthoriens, bien plus nombreux, prirent l’avantage sur ceux de leurs ennemis. Les troupes décadiennes furent donc contraintes à l’assaut pour éviter de se faire décimées à distance. La mêlée, sanglante, resta pendant longtemps serrée, aucun vainqueur n’émergeant réellement. Des centaines puis des milliers de cadavres s’accumulèrent sur le champ de bataille, rendant les combats difficiles. Les deux armées, épuisées par les derniers mois de batailles sans interruption, se battaient désormais sur des montagnes de cadavres. Profitant de leur supériorité numérique, les arthoriens finirent néanmoins par prendre l’avantage. Leur centre repoussant lentement l’ennemi jusqu’à ce que ces derniers soient au bord de la déroute. 

C’est le moment que choisit Droco et sa cavalerie pour arriver, et ainsi changer l’équilibre de la bataille. Sa garde d’élite percuta de  plein fouet l’aile droite de la formation arthorienne, qui n’échappa que de peu à la dislocation. Seule l’intervention de la réserve, et l’action du brave Artyom Slavisc (KEVIN.A), qui se rendit directement sur ce front, permit à l’armée de tenir. Mais c’était désormais au tour des arthoriens de reculer.

Alors que la retraite était sur le point d’être sonnée, ce fut au tour des arthoriens de recevoir des renforts en provenance de Priznan. La garnison de Priznan renforcée par les troupes débarquées par la flotte de Valentar, arrivèrent sur le flanc droit de l’armée décadienne. Droco comprit tout de suite qu’il n’obtiendrait pas de victoire en ce jour. Ne voulant pas reproduire l’erreur qui lui avait coûté un fils face aux osroèniens, il fit sonner le repli, se préparant à devoir défendre une rive de l’Arax.

Les arthoriens engagèrent une timide poursuite, mais elle ne dura pas longtemps. La succession des batailles et des marches forcées avaient épuisés les forces de la famille Varic au-delà du raisonnable. Les deux armées sont en pièces, et il leur faudrait au moins une année entière pour se rééquiper et se refournir en hommes. Lorsque la proposition du Roi de Mélano leur arriva, les deux belligérants acceptèrent une trêve et se rendirent dans la capitale du Royaume de Mélonie (LUCIUS). 


L’histoire d’un homme

Dans les ruines d’Akkarabad, un homme se réveille. Du sang s’écoule lentement le long de son visage. Surpris, il porte sa main sur le côté droit de son crâne, mais une vive douleur le saisit. L’homme regarde ses vêtements, il porte une armure qui aurait pu passer pour magnifique autrefois, mais qui n’est désormais plus qu’une ruine. A ses pieds, de nombreux cadavres. La puanteur de la mort le saisit alors. Il sort brusquement du bâtiment pour respirer un air moins vicié par les immondices. Mais au final, l’homme ne voit qu’un spectacle de désolation encore plus important. Des cadavres couvrent toutes les rues. Malgré l’horreur ambiante, l’homme se décide à avancer, il a faim et surtout, soif. En fouillant les cadavres, il finit par trouver une gourde et un peu de pain rassis, lui permettant ainsi de se sustenter. Des éclats de voix le sortent de son frugal repas. Deux soldats approchent, ils sortent leurs armes en le voyant. Agissant par réflexe, l’homme prend l’épée qui se tient sur son flanc et leur fonce dessus. Avec une rapidité extraordinaire, il tue les deux fantassins adverses. Certains souvenirs lui reviennent en mémoire, des batailles épiques, son épée tailladant des ennemis en grand nombre… Mais rien de suffisamment précis pour qu’il arrive à retrouver son propre prénom. Haussant les épaules, il continue sa route dans la ville en ruine, à force de recherches, il finit par croiser quelques survivants, ces derniers, le voyant vêtu d’une armure, se mettent à le suivre. L’homme prend rapidement la direction d’un petit groupe de plusieurs dizaines d’individus. Il ne sait pas qui il est ou encore comment survivre. Mais cela lui importe peu. Il a un but désormais, sauver la petite bande qui le suit, et il est prêt à tout pour ça.


Le concile de Mélano

Si Sesar Autnihillo n’a que faire que des gueux s’affrontent aux portes de son magnifique royaume, l’arrêt quasi-total du commerce le gêne beaucoup. Les revenus commerciaux ont chuté, triste résultat des guerres totales livrées à ses frontières. Il se décida donc à utiliser son influence pour asseoir tous les protagonistes à une table de négociation pour les pousser à faire la paix et à redéfinir les frontières du continent de manière à éviter des conflits à brève échéance. 
Ainsi début le Concile de Mélano.

Des hurlements, des insultes, des chouineries, tout y passa dans la salle des négociations. Il fallut des mois entiers pour au final arriver à un accord de tous les protagonistes pour conclure la paix. Les termes de l’accord furent pour la partie Nord : 

La reconnaissance de la maison Scarlett comme maison noble du continent. Et la reconnaissance de sa possession de Lancastre. 

La victoire des franciens, qui obtiennent Londaris et Lobourg, en échange du versement de 200 000 PO.

Le Vanbois n’obtient rien.

La transmission de Mourmaosk à l’Anglie, de même que la reconnaissance de Zeventaor comme territoire de jure de l’Anglie. 

La reconnaissance d’un titre d’Empereur de Suèvie et du Stelfist à la famille Swedes, qui reçoit également la charge de protéger le royaume d’Anglie. 

La Hesse reçoit en échange de la cession de son village, un accord secret avec la Francie et la Suèvie.


La Mélonie obtient un statut de neutralité qui est garanti à la fois par l’Arthorie, et la Francie. 

Au Sud : 

L’Arthorie est reconnue en tant qu’Empire non vultiste. Tous ses citoyens fait captifs sont libérés, en particulier les rasiniens. Elle obtient la ville de Mesopt pour son vassal rasinien. Et un statut de neutralité sur le reste du territoire osroènien. 

Valentar reçoit un comptoir commercial sur la côte sud de l’Osroènie. 

La Décadie reçoit toutes les terres entre l’Arax et l’Océan Jadeoste, ses villes capturées sont libérées. Elle reçoit la ville de Dastagrabah.

L’Osroènie devient un État neutre dirigé par Xerok. Tous les soldats ayant trempés dans les massacres en Rasina sont envoyés à Vilna pour être pendus. Des agents officiels de la Décadie et de l’Arthorie doivent “aider” le nouvel “Empereur” à gérer son territoire. 
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitimeLun 20 Juin - 23:13

Titres :

Glorieux devant l'Eternel :

Tu as été le plus craint du MV pendant 4 tours. Tu as réussi le miracle de survivre à une coalition bien plus forte que toi. Mais, ta volonté de rééquilibrer le MV et confiance en des alliés pas fiables a causé ta perte. Malgré ta défaite, tu as marqué le MV par ta prestation :

Serguei :

Pour ton interprétation magistrale de l’Empereur Dieu, je te donne le titre "Xerxès"

Pour avoir sacrifié ta faction pour le bien commun tout en jouant des types sanguinaires, je te donne le titre de "Christ Aztèque"


Les grands gagnants :


Vous avez été fourbes, rusés, glorieux et cela a payé. Pour cette raison, vous faîtes parti des grands gagnants du MV. Vos factions ont prospéré sous votre règne, et peu auraient été capables d'atteindre un tel résultat :

Silvio :

Pour avoir manipulé tous les joueurs, y compris ton vassal et tes alliés pour former ton grand empire, je te donne le titre de “Otto von Bismarck”

Pour ne pas avoir arrêté de te décrire comme un cuck en mp sur l’histoire avec Valentar, je te donne le titre de “Cuck assumé”

Hgh :  

Pour avoir survécu alors que les Osroèniens étaient sur le point de t'exterminer du fait d’un élément de politique extérieure, tout en obtenant par la suite les territoires que tu revendiquais, je te donne le titre de “Frederick II”

Pour ta politique extérieure variable selon les jours, je te donne le titre de : “Looping de l’agence tous risques”

Emileen :

Pour avoir pris le contrôle d’un royaume en un tour grâce à un assassinat, je te donne le titre de “Cersei Lannister”

Pour avoir fortifié tout ton territoire afin de repousser une invasion qui est effectivement arrivée, je te donne le titre de : “Vauban”

Labtec :  

Pour avoir transformé ton pays de tas de neige en grande puissance capable de rivaliser avec tous les grands, je te donne le titre de “Vachette sous hormones”

Pour avoir brûlé ta propre capitale afin d’augmenter tes chances de battre un puissant adversaire, je te donne le titre de "Koutouzov"

Lucius :

Pour avoir unifié ton royaume grâce à une puissance militaire étrangère qui a fait la majorité du travail, je te donne le titre de “Victor-Emmanuel II”

Pour avoir créé un réseau d’espionnage le plus important du continent, et d’avoir fourni de l’or à toutes les parties durant le conflit, je te donne le titre de : “CIA”

Fabian :

Pour avoir tabassé comme une grosse brutasse durant tout le début du MV, je te donne le titre de "Conan le barbare"

Pour ta loyauté envers tes alliés qui t’a empêché de réaliser tous tes objectifs, je te donne le titre de “Bien brave”

Kangle :

Pour avoir changé de camp à trois reprises tout en cherchant ton intérêt personnel, je te donne le titre de “Manuel Valls"

Pour avoir réussi à mastermind Silvio, je te donne le titre de “Le jeu de la Dame”


Les glorieux survivants :


Kevin.A :

Pour avoir survécu à une extermination quasi-totale de ta population par un ennemi extérieur, je te donne le titre de “Biélorusse de 1944”

Pour avoir changé de religion et suivi Silvio de façon loyale dans toutes ses entreprises militaires par la suite, je te donne le titre de “Perceval de Galles”

Kitana :


Pour avoir passé une grande partie de ton MV à chasser les pirates je te donne le titre de “Woodes Rogers”

Pour avoir mené une politique coloniale basée sur l’extermination des indigènes, je te donne le titre de “Lothar Von Trotha”.

Marv :  

Pour avoir été le souffre douleur de tous tes voisins, mais avoir relevé la tête et presque obtenu la victoire je te donne le titre de “Steve Rogers”

Pour tes joutes verbales avec Ozy qui ont beaucoup amusé le MJ, tu reçois le titre de "chiffonnier".

Berlioz :

Pour être passé de pirate à corsaire, je te donne le titre de “ Benjamin Hornigold”

Pour avoir réalisé un attentat dans le MV tout en utilisant de l’alcool et des prostituées, je te donne le titre de “Oussama Ben Kouffar”

Ozymandias :

Pour tes joutes verbales avec Marv qui ont beaucoup amusé le MJ, tu reçois le titre de “chiffonnier”.

Pour avoir passé ton temps à frapper les païens histoire d’essayer d’empêcher leur union, je te donne le titre de “Jin Xizong”.


Les morts-vivants :


Endwars :

Pour ta conception assez étrange des alliances qui consiste plus à du racket qu'à une relation d'amitié, je te donne le titre de "Donald Trump"

Pour avoir perdu ta terre natale alors que tu étais au loin en train d’aider ton Empereur, je te donne le titre de “ Pas de repos pour les braves"


Aethwulf :  

Pour t’être comporté comme un bourrin alors que tu jouais une Cité-État, la deuxième puissance économique du continent, je te donne le titre de "Condottieri bourgeois”

Pour ta barbarie une fois devenu un païen sauvage, je te donne le titre de "Ramsay Bolton”

Koyo :


Pour avoir été manipulé, envahi et déguisé en femme par Silvio, je te donne le titre de “Femboy malgré lui”.

Pour avoir réussi à établir une colonie prospère tout en collaborant avec les indigènes de Calitdum, sans chercher à les éradiquer, tu reçois le titre de “Samuel de Champlain”.
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MessageSujet: Re: Chroniques d'Alnethya, chapitre 1 : Chaos post-Rébellion   Chroniques d'Alnethya, chapitre 1  : Chaos post-Rébellion - Page 5 Icon_minitime

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