SergueiBorav L'homme que nous aimons le plus
Messages : 2631 Date d'inscription : 30/10/2011 Age : 34
| Sujet: Re: Naissance des Civilisations Lun 24 Nov - 20:55 | |
| TOUR 4 - L'AGE DES EMPIRESPrès de 600 ans après l'instauration du royaume de Shaal, premier état au monde, les peuples sont toujours présents, certains prospèrent sous la protection des empires, d'autres s'affaiblissent sous leur botte. Le monde a changé, les empires émergents ne manqueront pas de s'unir et de se battre pour la puissance et la domination, mais ils ne doivent pas négliger que l'ennemi le plus mortel vient souvent de derrière.- Ethlans, Nurod et Heijan:
L’émergence de la coalition de Biométris
Les alliances et les offensives barbares Dès les premiers siècles de son histoire, le royaume des Ethlans s’est présenté en bouclier de la civilisation contre les barbares de l’est. Situé en plein milieu du continent, il est rapidement devenu un carrefour des cultures et des voies commerciales qui ont fait sa prospérité. Riche, stable et doté d’une bonne puissance militaire, le royaume Ethlans a honoré ses alliances avec ses voisins Nurod et Vhaare à de nombreuses reprises. L’envoi de fonds, de troupes et de matériel ne suffiront pas à enrayer la progression des hordes Kerdres, mais les Ethlans gagneront une reconnaissance et une renommée régionale qui leur sera très bénéfique.
La fuite des Vhaare Après des siècles de harcèlements et de petites opérations, les Kerdres lancent une grande campagne d’invasion du territoire Vhaare, les forces Vhaare sont complètement dépassées par le nombre et les chefs de tribu Vhaare les plus importants finissent par se rendre au chef Kerdre. Le traitement qui fut réservé aux Vhaare par leurs nouveaux maître fut d’une rare violence, s’apparentant à certains endroits à de l’extermination pure et simple. Les Vhaare quittèrent leur pays en masse, vers les territoires Nurod et Ethlans pour la plupart, mais aussi chez les Advaryn, les Heijan ou colonisèrent de nouveaux territoires plus au sud.
Les Iianjin En conflit permanent avec leurs voisins Rikkors, les Heijan ont adopté des stratégies de défense très efficaces, pièges, stratégies militaires à long terme, réseaux d’évacuation des civils. Pourtant, la violence des assauts, le nombre des soldats Rikkors et la vitesse de déplacement de ces derniers ont causé la perte de grands territoires à l’est. La toute puissante administration Heijan leur a permis pendant un temps de contrôler l’ensemble du territoire, mais la complexité de l’appareil d’état causa aussi son déclin. Plusieurs Hans influents ont ainsi réussi à remplacer la famille royale en place et ont formé un conseil. Le système consulaire n’a pas tenu longtemps, des troubles ont éclaté et le pays s’est morcelé en plusieurs provinces. Plusieurs de ces provinces, peuplée d’une sous-culture Heijan, les Ianjin, au sud-est, directement en proie aux attaques Rikkors ont amorcé un phénomène d’intégration au royaume Ethlan qui se poursuivra pendant des siècles, plus à même de les protéger. Les Ethlans et Heijan ont réussi à repousser les envahisseurs.
La deuxième campagne Kerdre et le serment Nurod A l’est, les hordes Kerdres ne ralentirent pas leurs avancées, les Vhaare vaincus, c’est tout naturellement qu’ils en sont venus à s’opposer aux Nurod et à leur royaume. Après quelques batailles perdues et des pertes vertigineuses, l’aristocratie Ethlan estima qu’elle ne participerait plus au conflit sans de lourdes garanties. Le roi Ethlan appuya leurs demandes et le roi Nurod pris alors la décision de se soumettre sans condition au royaume Ethlan, mettant ainsi fin à toute discussion. Les troupes Ethlans arrivèrent en masse, renforcée par des éléments Ianjin et parvinrent à remporter une grande bataille et à y tuer le chef de guerre Kerdre en place. Sa mort fut un coup fatal porté à l’expansionnisme Kerdraï dans la région, les luttes intestines et les assassinats fratricides entre chefs de guerre ont occupé les Kerdre pendant des siècles. De grandes célébrations eurent lieu et le roi Ethlan annonça la création de la Coalition de Biométris, lui-même étant désormais titré « Empereur », il devint alors pour tous « l’unificateur ». Nurods, Ethlans et Ianjins saluèrent cette décision qui annonçait une nouvelle ère de paix pour les peuples de la Coalition.
Les accords avec les Advaryn Les relations avec les Advaryn à l’ouest s’enflammèrent après quelques escarmouches de frontière et le rapprochement des Advar et des Abins. Les Ethlans menèrent une campagne punitive droit vers la capitale Advar, mais celle-ci échoua et l’expédition fut massacrée sur les bords de la mer Es-Abina. L’échec de l’expédition et les troubles dans l’est contraignirent la Coalition de Biométris à signer une paix défavorable avec les Advaryn et leurs alliés, cédant des territoires et garantissant la paix avec les Abin dont le commerce et la richesse s’accrurent fortement.
L’empire décrété La paix que connut alors la Coalition, les succès à l’est et l’intégration progressive des provinces Heijan donnèrent à l’empereur d’officialiser son titre en se dotant d’une administration impériale et en créant une assemblée des peuples fidèles de Biométris ou étaient représentés les Heijan, Ianjin, Nurod et Vhaare, mais aussi les peuples non Coalisés comportant une proportion suffisante de fidèles de Biométris, plusieurs cités Abin, Khaam, Kerdres et Rikkors.
L’intégration Heijan La création de l’empire et de l’assemblée accéléra l’intégration des sous-cultures Heijan frontalières et, après un processus de deux siècles, le royaume Heijan négocia son entrée dans l’empire, récupérant au passage son ascendant sur plusieurs provinces anciennement intégrées.
La paix de Biométris Les décennies suivantes furent calmes, les territoires de l’est sont ravagés par des guerres civiles et les attaques sur les royaumes Nurod cessèrent. La paix relative avec les Advaryn développa le commerce et l’empire s’enrichit et se stabilisa.
La stagnation Ces temps de prospérité ne durèrent pas, les luttes de pouvoir au sein de l’assemblée, les fortes dissensions des territoires Vhaare qui soutenaient une reconquête de leurs territoires sur l’empire Kerdre et la mort successive de plusieurs empereurs firent entrer la Coalition dans une époque de stagnation, l’empire dut réprimer les velléités indépendantistes de plusieurs territoires et affronter un appauvrissement de sa population.
Les réformes L’arrivée au pouvoir d’un empereur élu par l’assemblée après la déchéance de l’ancien empereur réaffirma le pouvoir central. L’empereur remplit ses obligations en réformant l’empire de fond en comble. Il créa notamment les Échiquiers impériaux, subdivisions impériales à l’efficacité renommée et totalement sous contrôle de l’empire.
Le siècle doré La nouvelle organisation de l’empire permit au commerce et à l’exploitation des ressources de l’empire de croître, connaissant des croissances exponentielles. L’empire connut alors une ère d’enrichissement sans précédent. L’implantation de marchands Masciens, le ralliement de plusieurs petits territoires et même quelques victoires défensives contre l’empire Kerdre ont permis à la Coalition de Biométris d’exploiter de nouvelles ressources et de développer leur commerce maritime.
Les troubles internes Rapidement, l’enrichissement fulgurant de l’empire apparut comme une bénédiction de Biométris pour la population centrale de l’empire, mais comme une spoliation par les peuples frontaliers, ces derniers payant de lourds impots ne voyant pas leur vie quotidienne s’améliorer commencèrent à gronder et même à quitter l’assemblée. Certains dirigeants des échiquiers prirent suffisamment d’assurance pour tenter d’obtenir une autonomie plus grande. Les conflits internes de l’empire de la Coalition de Biométris font rage.
- Advaryn, Masciens, Khäams, Abin, Ashaal, Tsuuls et Kyukeï:
L’émergence de l’empire Advaryn
L’union des républiques
En Advaryn, la civilisation s’étoffe et prend forme. Sur les conseils avisés des Masciens et grâce aux échanges commerciaux entre les deux peuples, les Advars constituent un gouvernement élaboré. Puisque leur amitié et leurs alliances durent depuis des siècles, les Masciens et les Advars décident de renforcer leur alliance en s’apportant une aide mutuelle sincère et en développant leur commerce.
Les campagnes advars
Les années passent, et les Advars, forts de leur commerce florissant avec les Masciens, gagnent l’envie de montrer au monde leur force et leur civilisation. Le général Esatanos engage alors, sur ordre du Ridus, l’opération Hedera. Comme le lierre, les armées advars quittent leurs frontières et s’étendent dans toutes les directions afin d’apporter de la démocratie de cuivre trempé à leurs voisins.
La campagne contre les Ashalites
Même si les Ashalites se comportaient en bons voisins et que leurs étranges friandises brunes et sucrées commençaient à doucement faire leur apparition sur les tables d’Advaria, il était évident que laisser ces gens errer dans le désert sans vraies routes pavées, sans vrai gouvernement, et même sans aqueducs, était insupportable aux Advars. Ils furent donc les premiers à bénéficier des avantages d’une vie civilisée. La campagne, connue sous le nom de Guerre des Sables, dura longtemps, très longtemps. Les fils des premiers soldats envoyés prirent la relève, et leurs fils également. Pourtant, après un affrontement final où les morts se comptèrent par dizaines de milliers, les Ashalites finirent par se soumettre. Les Advars les considérèrent presque autant que les Masciens, en raison de leur ténacité au combat, qui a été grandement éprouvée et appréciée. Le Patriarche de l’époque, Albrashul, apporta lui-même les clés de la capitale ashalite au Ridus Arimevos.
Le pacte commercial
L’empire advar est maintenant une réalité. Masciens et Ashalites vivent en paix sous la bannière advar, et le commerce, mené avec brio par les Masciens, enrichit chaque peuple. Le désert du sud commence à se repeupler, des ports se construisent un peu partout, de même que des temples et des autels ashalites. L’aide contre les Ethlans De puissants voisins, les Ethlans, menacent cependant la prospérité de l’empire advar. Aucun conflit n’est engagé, les deux partis se contentant de s’observer de loin, jusqu’à ce que les Abins, eux aussi commerçants, deviennent les proies de plusieurs raids Ethlans. Devant la violence des expéditions, le Ridus Pelipomeni charge un contingent de cavaliers légers rendre compte de la situation. Les éclaireurs rapportent avoir vus des villages incendiés, des familles brisées, et des chatons abandonnés. Selon les rumeurs, on parle aussi d’un enlèvement des Abines, de nombreuses femmes et jeunes filles ayant été faites prisonnières. Aussitôt, le Ridus convoque ses armées afin de prêter main forte aux Abins en difficulté, et seulement quelques semaines plus tard, les Ethlans concèdent aux Abins leur liberté. De ce fait, nombre de terres abins, reconnaissantes, intègrent l’Empire.
Les accords avec les Ethlans
Suite à cette guerre tiède, les Ethlans choisissent d’entamer des accords de paix. Le conseil advar les accueille avec déférence, et un pacte de non-agression est signé. Les deux partis décident également de la division des terres et les frontières se dessinent sur les nouvelles cartes.
La campagne Kyukei
Les Kyukei menacent le commerce impérial, tes flottes leur ont mis une bonne rouste Toute la richesse brassée par l’Empire attire évidemment les convoitises. Au sud, alors que les rapports de l’ALPHA n’en avaient plus fait mention depuis 1464, les Kyukeis se manifestent. Raids, abordages, pillages de comptoirs, très vite les plaintes des marchands arrivent aux oreilles du Ridus. Les flottes de guerre masciennes et abines sont réquisitionnées, et on équipe même des navires marchands de catapultes. Les Kyukeis sont vite vaincus devant l’énorme flotte venue les rappeler à l’ordre, et, sans faire partie de l’Empire, en deviennent un allié plutôt fiable.
La fuite des Khäms
Après la famine qui a ravagé les terres Khäms, nombre de ses habitants s’exilent, et le Ridus, les prenant en pitié, leur offre des terres à l’est du territoire advar. Les Khäms s’attèlent aussitôt à la tâche d’aménager leur nouvelle contrée, et sont bientôt rejoints par un groupe de prêtres ashalites venus prêcher leur foi. Une nouvelle religion prend forme, dérivée de la foi ashalite.
La conversion d’état
Les prêtres ashalites, de plus en plus nombreux dans l’Empire, gagnent le respect des Advars et des Masciens. Certains se convertissent, non par conviction, puisque tous les Advars et Masciens bénéficient d’une éducation à la pointe des derniers progrès des savants, mais plutôt par envie : les Ashalites sont en effet connus pour distribuer leur « sokola » à qui veut bien se convertir, et d’en faire la base même de leur alimentation religieuse. Le Ridus finit donc assez vite par adopter la religion ashalite comme religion d’état. Les prêtres reçoivent le statut de fonctionnaire de l’état, ainsi que tous les privilèges qui l’accompagnent.
L’empire
L’Empire gagne ses frontières définitives en 1728, et le Ridus déclare sa création officielle. Jusqu’alors connu comme un empire seulement à l’intérieur des territoires en faisant partie, le monde entier est maintenant informé de la puissance des Advars et de leurs alliés. Une partie des Seleyuls rejoint l’Empire, les Tsuuls et les Kyukeis conservant leur statut de royaumes-partenaires.
Les grandes réformes
L’Empire devient une institution ordonnée et civilisée. Chaque peuple bénéficie des mêmes richesses et opportunités que les Advars, éducation, monnaie et religion uniques, et chaque province devient un duché, dont le duc conserve ses traditions et son gouvernement. Sous l’égide de la Foi, la cohésion entre les peuples devient plus forte, et l’Empire Advar, selon les pronostics de l’ALPHA, est destiné à perdurer mille ans.
- Kerdraï, Vhaare et Rikkor:
L’émergence de l’empire Kerdraï
Les campagnes contre les Vhaare L’empire Kerdrai continua ses avancées dans le territoire Vhaare et son incorporation. Les Vhaare furent contraints à l’exil ou à l’acculturation progressive. Les nouveaux territoires furent cependant difficiles à contrôler, les populations d’origine n’ayant jamais accepté leur défaite.
L’intégration progressive des Rikkors Les Kerdraï et les Rikkors ont toujours eu des relations amicales, tant par la proximité de leurs cultures et de leurs traditions que par les alliances qu’ils formèrent lors de campagnes militaires. Les Seigneurs Rikkors prétèrent allégeance au chef de guerre Kerdraï alors en place pour obtenir sa protection et en bénéficièrent longtemps.
La reprise des campagnes Les guerres au sud, contre les Nurod ou les Vhaare ont occupé les troupes Kerdres pendant des décennies, après la défaite des deux armées assemblée face aux cavaliers Kerdres, il ne restait plus que le royaume Nurod, campé sur ses montagnes et dans les sombres forêts du sud pour leur résister. Les Kerdres annexèrent alors les campagnes, les nouvelles cités Nurod au sud-est et poussèrent leur territoire bien plus au sud que jamais, pourchassant les populations Vhaare qui fuyaient leur approche.
La rébellion Vhaare Après des siècles de répréssions et d’occupation, les Vhaare menèrent une ultime révolte pour bouleverser l’ordre établi par leurs envahisseurs et formèrent une armée digne de ce nom, soutenus par les Nurod et les Ethlans, la guerre qui s’ensuivit fut acharnée, mais se termina par leur défaite. Cette « diversion » permit pourtant aux Nurod de signer des accords avec les Ethlans leur abandonnant leur indépendance pour une protection que seul l’empire Ethlan pouvait leur procurer, mettant fin aux attaques sur leurs territoire. Les Kerdres et les Ethlans se livrèrent alors une course vers le sud pour acquérir de plus en plus de territoire.
Troubles internes L’empire Kerdre, basé sur la force et l’autorité de ses chefs, ne pouvait pas durer éternellement, rapidement des troubles ont éclaté dans l’ensemble de leurs territoires. Plusieurs chefs se déclarant indépendants sous le nom de « Jeune Horde », d’autre refusant de s’acquitter des tributs envers l’empereur.
Éclatement et renégociations L’empire éclata, les Rikkors se divisèrent en deux, certains préférant la liberté absolue de leur territoire, d’autre préférant la protection Kerdre, les guerres civiles qui s’ensuivirent ne furent pas influencées par les Kerdres, trop occupés à briser les forces des seigneurs rebelles du sud qui se levaient pour prendre la place de l’empereur. Les défaites de ces seigneurs rebelles furent l’occasion d’inviter tous les belligérants à une table pour renégocier l’empire et les liens entre l’empereur et ses vassaux qui obtinrent une autonomie plus grande contre des garanties de leur loyauté. L’empereur y gagna une légitimité autre que sa force, annonçant des lendemains glorieux pour l’empire.
- Whanan-Ghor, Hordnogs et Seleyul:
Les Whanan Ghor
Perte de vitesse de la religion Avec l’union des républiques Masciennes et Advaryn, les fidèles de l’Ancien de Whanan-Ghor sentirent qu’ils venaient de laisser s’échapper de potentielles expansions vers le sud aux Ashaalites. L’expansion de leur foi se limita à assurer leur pouvoir théocratique sur les territoires et populations qu’ils avaient déjà convertis. Si les Whanan-Ghor perdirent à cette époque leur ambitions prosélytes, ils ne cessèrent pas de renforcer leur contrôle, administratif, militaire et culturel sur les villes et l’ensemble se mua en union de cités dirigées par les religieux et s’autogérant, presque sans implication du pouvoir central.
Campagnes militaires infructueuses Les cités Whanan-Ghor, mais également Hornog et Seleyul entreprirent d’assurer leur pouvoir temporel et menèrent de grande campagnes militaires, au sud contre les Masciens et les Khäams, mais également à l’est contre les clans Shaalites des montagnes, tout en poussant un peu plus leurs frontières chez les Heijan. Ils affrontèrent également quelques révoltes Tsuul qu’ils réprimèrent. Ces campagnes si elles furent une réussite par l’annexion de quelques territoires frontaliers, ne remportèrent pas les immenses victoires attendues lorsqu’elle affrontèrent des armées organisées, le prestige des armées des cités Whanan-Ghor en patirent.
Stabilisation du territoire Le pouvoir central mena des réformes ambitieuses pour stabiliser l’ensemble du territoire, accueillant en son panthéon des dieux mineurs locaux, assimilant les cultures et formant de nouvelles élites. La région se stabilisa, mais se renferma un peu également.
Extension de la religion Comme pour saluer ces réformes, les peuples alentours se convertirent de plus en plus à la religion, nourrie des cultures locales, les Seleyul et les Hordnogs furent totalement acquis à la cause, les Shaalites également. Ils parvirent même à convertir quelques population masciennes, ce qu’ils avaient jugé impossible depuis l’union des républiques.
Les cités du soleil Célébrant leurs récents succès religieux, les cités théocratiques des Whanan-Ghor, Hordnogs et Seleyul sont désormais connues sous le nom des « Cités du soleil », un ensemble de cultures, de villes et de territoires puissants, menant souvant de petits conflits internes pour l’obtention d’une suprématie ou de territoires riches, mais surtout, alliés indefectibles dans leurs combats contre les envahisseurs ou contre leurs voisins.
- Les soldats Shaalites:
Le royaume Shaalite
Guerres Les Shaalites sont un peuple montagnard, de soldats, reclus dans leurs cités. Leur ouverture au monde date de l’invasion Heijan. Contraints de trouver d’autres sources de richesse que le pillage, les Shaalites ont développé en un temps record des techniques d’exploitation des métaux, d’agriculture en montagne et d’élevage très avancées.
Stabilisation du royaume Peu à peu, le royaume Shaal s’est stabilisé, basé sur une organisation de clans soumis à la volonté du pouvoir central. L’administration s’est développée, leurs relations avec leurs voisins se firent plus cordiales, les Shaalites commencèrent à expérimenter le négoce avec leurs voisins Khaäms et Heijan, ils subirent en revanche des attaques Whanan-Ghor pour le contrôle de la chaine de montagne. Ils repoussèrent difficilement ces invasions.
Clans mercenaires Les clans, toujours combattifs et assoiffés de gloire se sont mués en clans mercenaires, louant leurs armes à qui voulait bien les payer. Leurs succès militaires dans l’empire Ethlan ou Advar leur offrirent une grande renommée, ils sont connus comme de terribles combattants et d’excellents archers.
La fuite des Khaams Près de réaliser une union de royaumes avec les Khaäms, ils furent abattus par la fuite de ces derniers quittant leur pays. Le royaume Khaäm s’effondra et les Shaalites prirent sous leur protection de nombreux Khaäms. C’est à peu près à cette époque que les sous-cultures Shaalites et Heijan formées aux frontières créèrent un sixième clan Shaal dans un petit territoire au nord est. Nous sommes entrés dans la phase suivante, technologiquement l'antiquité. Comme convenu, vous ne jouez plus des civilisations, mais des factions bien précises dans un monde morcelé et pourtant uni. Puisqu'il faut choisir une faction, en voici la liste :- Les factions:
Pour commencer, voici la CARTE DES FACTIONS : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2014/48/1416853377-carte-factions.jpgEMPIRE ADVAR (Rouge) :L'empire Advar est subdivisé en duchés, tous soumis à la volonté de l'empereur, mais il accueille aussi d'autres entités ... Le territoire impérial et ses ducs (Priorité Marv) : Le territoire impérial est le coeur de l'ancien royaume Advar et le centre économique et politique de l'empire, l'endroit vers ou tout converge et dont tous dépendent. Les duchés accueillent des populations Khäms au nord, Masciennes au nord-ouest, Abin, Khäms et Ashal près de la mer intérieure au sud-est et Ashals et Tsuul dans la péninsule Ashal. L'ordre reigne dans l'empire qui est à peu près stable mais trouve sa faiblesse dans un grand morcellement. Il puise à la fois force et faiblesses dans la multiculturalité de son territoire et trouve une unité dans la légitimité de l'empereur et la religion Ashal, religion d'état dans l'empire. La ligue Mascienne (Priorité Silvio) : Composée de nombreuses cités sous la domination de la ville de Mascia, les cités Masciennes prospèrent sous la domination de l'empire dont ils sont les principaux commerçants internes, recemment, la question de l'adhésion à la ligue de certaines cités Abins qui le demandent pose problème, l'équilibre entre ces deux pôles marchands (Masciens et Abins) qui profitait à tous est sur le point d'être rompu. Les cités Abin (Priorité Arzgluf) : Les autres marchands de l'empire sont essentiellement tournés vers l'extérieur, la coalition de Biométris et les îles Kyukei, recemment, plusieurs cité Abin ont demandé leur adhésion à la ligue Mascienne, ce que la majorité des autres cités refuse avec force, n'ayant jamais oublié l'idée de reformer l'antique royaume du Nejd. Le royaume de Visar (Priorité Hames) : L'arrivée dans la région de nombreux Khäms fuyant leur pays, leur rencontre sur ce lieu de passage avec des populations Advar, Abin et Ashal a donné un résultat interessant. La nouvelle culture qui s'y est installée a fondé son royaume avec la bénédiction de l'empereur Advar avec qui pourtant les relations semblent se déteriorer. Le grand patriarche Ashal (Priorité Arkantos) : Avec la conversion d'état de l'empereur et l'instauration de la religion Ashal en loi dans l'empire, le poste de grand patriarche est apparu tout naturellement pour réguler l'immensité des terres des croyants. Influent, propriétaire de nombreux biens fonciers à travers l'empire, le grand patriarche n'est pas à prendre à la légère depuis qu'il a installé son trône dans le royaume de Visar. LA COALITION DE BIOMETRIS (Bleu) : La coalition est formée des pays reconnaissant la véritable Foi, le culte du terrifiant Biométris ! L'Empire (Priorité MKI) : L'empire Ethlan, basé sur leur ancien royaume s'est débrouillé pour être un allié loyal et un ami sincère, il a ainsi pu exporter sa croyance en Biométris à ses voisins et instaurer des réformes impériales audacieuses. Il est découpé en plusieurs échiquiers dont les gouverneurs rendent compte à l'empereur et appliquent ses décisions. L'empire seul est stable, mais il doit faire face à la montée en puissance de ses vassaux et voisins, les royaumes Nurod et Heijan. Le Royaume Heijan (Priorité Varden) : Le royaume Heijan a su résister sans faillir face aux puissantes invasions Rikkor pendant des siècles, il est encore debout aujourd’hui et plus puissant que jamais ! Le royaume Nurod (Priorité Fabian) : Lourdement affaibli par les invasions Kerdres sur son territoire, le royaume Nurod a évité l'extermination de très peu, encore une fois grâce à l'aide des Ethlans. Aujourd'hui le royaume Nurod est fort, très fort et les Kerdres qui occupent ses territoires ancestraux sont divisés ... Les échiquiers (Priorité à Fabian pour l'échiquier Nurod) : Les gouverneurs sont les servants de l'empereur, ils appliquent ses décisions et lui envoient ses tributs. Les implantations Rikkor (Priorité à Aedhr) : Pour ralentir le rythme des agressions Rikkor, les Heijan ont eu l'habile idée de donner des terres à plusieurs de ces groupes d'invasion. Aujourd'hui encore ils occupent ces terrains et se sont mélés avec la population Heijan sur place, il s'agit de Kör-Dekr, Rikeï et Hakrès. Les peuples autochtones : Lorsque l'empire Ethlan a envahi des terres neutres, il a choisi de coexister avec les populations sur place, celles ci, bien qu'acculturées totalement, gardent de leur héritage sauvage une passion pour l'indépendance et bénéficient au sein de l'empire d'une relative autonomie, il s'agit de Ekkia, Fincorn et Xar Tsaroth. La GRANDE HORDE KERDRE (VIOLET)La grande horde des monteurs d'élan Kerdre a ravagé le monde pendant des centaines d'années, aujourd'hui ils semblent en proie à des problèmes qui leurs sont inconnus. L'empire et ses hordes (Priorité à Temudhun) : L'empire Kerdre a eu du mal à se former, et à encore plus de mal à se maintenir. Ne parvenant pas à asseoir une véritable légitimité à son trône, l'empereur est confronté à une révolte générale dans le sud de son empire et à une grogne chez ses subordonnés qui ne se sont pas encore révoltés. Il peut toutefois compter sur sa cavalerie qui n'a, pour le moment, jamais été vaincue pour assurer son emprise. Les Hordes Vhaare (Priorité à Hgh) : Afin de calmer les révoltes Vhaare qui n'en finissait pas, l'empereur Kerdre a offert à certains chefs Vhaare influent des dignités dans son administration. Et comme il est malin, il en a offert trois pour qu'ils se mettent sur la gueule sans arrêt ! Il s'agit des hordes de Silkör, Vodjär et Ekun. La Jeune Horde : La révolte gronde dans le sud de l'empire Kerdre, les seigneurs locaux ont pourtant obtenu une immense autonomie très recemment après renégociation avec l'empereur, assurant son pouvoir ... mais certains ne sont jamais satisfaits ! Il s'agit des hordes de Kemdur, Temdrakud, Draralbaï, Adrakrul, Timarun, Kemalni, Baïnikan, Kermeraï, Temdur et Taïdal. Les villes marchandes Rikkör (Priorité Aedhr) : Ces villes ont obtenu une autonomie vis à vis du royaume Rikkor en étant les premières à être entrées dans l'empire Kerdre, ces villes ont bénéficié de leur position centrale pour s'enrichir du commerce. (Il s'agit de Sakär et Ikinyun) Le royaume Rikkor oriental (Priorité Aedhr) : Le royaume Rikkor s'est scindé en deux lors de son intégration à l'empire Kerdre, la guerre civile qui le ravagea se solda par un statu-quo et les escarmouches de frontière sont nombreuses. LES CITES DU SOLEIL (VERT)Les cités du soleil forment un puissant ensemble de cités croyantes et indépendantes les unes des autres, elles restent toutefois sous la domination relative de Whana qu'elles reconnaissent comme la plus ancienne d'entre elles. Les cités du soleil (Priorité Koratos) : Les cités du soleil adorent le même dieu : L'ancien. A la fois puissances militaires et économique, cet ensemble malgré sa taille est l'un des plus puissants du monde ... si seulement les cités parvenaient à s'entendre ... Les cités du nord sont peuplées de Whanan-Ghor et de Tsuuls, celles du sud sont peuplées de Khäms, de Hordnogs et de Seleyul LES AUTRES FACTIONS :Le royaume Rikkor occidental (Priorité Aedhr) : Le royaume Rikkor s'est scindé en deux lors de son intégration à l'empire Kerdre, les habitants de la partie occidentale revendiquent fièrement leur liberté et leur rapprochement avec des civilisations moins barbares comme les Heijan et les Ethlans avec lesquels ils entretiennent des rapports cordiaux et commerciaux. Le royaume Shaal (Priorité Dodo) : Le plus ancien royaume du monde comme ils s’appellent eux même (et avec raison), le royaume Shaalite est composé de plusieurs clans qui se sont reconvertis dans le mercenariat et forment les troupes les plus appréciées par les têtes couronnées de l'ouest. Le clan Shidaï (Priorité Dodo) : Ce jeune clan est composé de populations Shaal et Heijan, ces derniers fuyant la région de Kör-Dekr, confié à l'unique volonté d'envahisseurs Rikkors. Tsuula, Druthaal et Crovaa (Priorité Mido) : Les cités Tsuules sont des commerçants et des pécheurs, pacifiques et bons navigateurs, ces cités s'enrichissent par l'échange de ressources avec le continent. Si elles ne font pas partie intégrante de l'empire, elles sont généralement inclue dans le nombre de ses alliés et participent systématiquement aux guerres impériales. Le royaume Kyukei (Priorité Kevin13) : Puissance militaire indéniable, le royaume Kyukei a subi une lourde défaite maritime face à l'empire Advar dont ils reconnaissent aujourd'hui le droit à exister et la présence dans ses eaux. En pratique, le royaume Kyukei est un très proche allié de l'empire Advar. Les Clans Shedaï et Meij (Priorité Kevin13): Ces clans Kyukei se sont progressivement éloignés du royaume auquel ils jurent pourtant toujours allégeance, leur présence sur la côte est sans cesse remise en question par les hordes Kerdres et les échiquiers de Biométris. D'autres cartes pour vous aider dans votre choix :
Carte des cultures : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2014/48/1416858566-carte-culture.jpg Carte des religions : https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2014/48/1416858569-carte-religion.jpg |
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